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    Les vaccins sont « inévitablement dangereux »

     Barbara Loe Fisher

     

    « L’Amérique ne sera jamais détruite de l’extérieur. Si nous hésitons et perdons nos libertés, ce sera parce que nous nous serons détruits nous-mêmes. »

    Abraham LINCOLN

     
    Révolution de la liberté sanitaire et vaccinations obligatoires

    Barbara Loe Fisher, NVIC, 24 août 2011 (Extraits)

    Les vaccins sont « inévitablement dangereux »

    L’Amérique d’aujourd’hui subit une attaque sans précédent contre le droit des personnes de pouvoir jouir d’un consentement libre et éclairé par rapport à des pratiques médicales à risque. Tout ceci est orchestré par les empires corporatifs les plus puissants et les plus riches du monde :l’industrie pharmaceutique mondiale.

    Ce dont il est ici essentiellement question pour Big Pharma, c’est d’ un marché d’un trillion de dollars pour la prescription de médicaments et de vaccins. Ce dont il est ici essentiellement question pour le peuple Américain c’est de sa santé et sa liberté.

    Le monopole lucratif de Big Pharma en matière de soins de santé

    Depuis plus d’un siècle les corporations pharmaceutiques ont créé un monopole lucratif en matière de santé aux Etats-Unis. Tout ceci a pu être rendu possible grâce à l’alliance créée entre un groupe sélectionné de médecins et de scientifiques à l’intérieur, comme à l’extérieur du gouvernement pour développer et promouvoir une vaste utilisation de médicaments et de vaccins. Dans leur pratique privée, les médecins qui sont encouragés à distribuer médicaments et vaccins sont devenus de facto – peut-être sans pouvoir bien le réaliser – les représentants des compagnies pharmaceutiques.

    […] La moitié de toute la population Américaine dont 25% d’enfants prennent un ou plusieurs médicaments.

    Aujourd’hui les enfants américains reçoivent 3 fois plus de vaccins qu’ils n’en recevaient dans les années ’80. Trois fois plus de vaccins veut dire 3 fois plus de bénéfices pour les compagnies pharmaceutiques et les médecins qui vendent les vaccins.

    Alors qu’en 1986 il en coûtait 80 $ pour qu’un enfant reçoive les vaccins recommandés par le gouvernement, il en coûte en 2011 2.200 $, sans compter les honoraires administratifs des médecins.

    Le gouvernement fédéral dépense à peu près 4 milliards de dollars par an pour acheter les vaccins qui sont destinés aux différentes cliniques où la moitié des enfants sont vaccinés.

    Comment dès lors pouvoir s’étonner que le secteur vaccins connaisse le développement le plus rapide de l’industrie pharmaceutique. En 2013 Big Pharma jouira d’un marché de 36 milliards de dollars.

    Huit grosses compagnies pharmaceutiques qui vendent des vaccins obtiennent totale protection contre toute forme de responsabilité…

    Si ceux qui fabriquent, qui accordent des licences, vendent ou administrent des vaccins sont libérés de toute responsabilité, il n’y aura évidemment plus ni frein ni contrepoids pour pouvoir s’assurer que les vaccins sont sûrs et efficaces.

    Les médecins auxquels on a fait croire que les microorganismes infectieux devaient être éradiqués de la surface de la terre au moyen de toute une série de vaccins obligatoires sont en fait aussi mûrs pour l’exploitation que les gens qu’ils vaccinent…

    En février de cette année les compagnies pharmaceutiques ont obtenu ce qu’elles ont toujours souhaité : la Cour Suprême des Etats-Unis a accordé une immunité totale aux compagnies pharmaceutiques par rapport à des poursuites judiciaires éventuelles –même si ces compagnies parvenaient à créer des vaccins moins dangereux – Les vaccins, a déclaré la Cour, sont « inévitablement dangereux » (« Unavoidably unsafe »)

    La seule et unique barrière qui existe encore à l’encontre des appétits lucratifs des producteurs de vaccins est la liberté que possèdent les Américains de choisir et de décider si oui ou non ils vont se faire vacciner avec les nouveaux vaccins produits par Big Pharma qui souhaite les rendre obligatoires. La liberté de choix est une chose que Big Pharma et le lobby medical ne veulent pas que vous ayez.

    Ils savent que de très nombreux consommateurs aux Etats-Unis et dans le reste du monde ne sont plus satisfaits du vieux paradigme basé sur la conception pharmaceutique des soins de santé. Ils savent que 63% de tous les Américains, y compris 76% du personnel des soins de santé se procurent eux-mêmes l’information pour pouvoir choisir les moyens les moins toxiques, les moins chers, les plus naturels afin d’ assurer et maintenir une bonne santé. Aujourd’hui des millions d’Américains choisissent d’acheter et de manger « bio » et d’abandonner les nourritures génétiquement modifiées. Ils choisissent d’acheter et de boire de l’eau pure sans addition de produits chimiques ;ils choisissent de se débarrasser des amalgames dentaires au mercure ; ils choisissent de faire de l’exercice et de pratiquer la méditation ; ils choisissent les accouchements libres, sans médicaments, comme l’allaitement maternel ; ils choisissent de jeter leurs médicament traditionnels pour demander conseil à des praticiens holistiques qui leur proposent des alternatives moins toxiques comme l’acupuncture, la chiropraxie, l’homéopathie et la naturopathie.

    Et donc les Américains se demandent pourquoi eux et leurs enfants devraient se voir obligés d’avoir recours à une longue liste de vaccins qui présentent parfois de sérieux risques et qui parfois ne sont pas du tout efficaces.

    […] Big Pharma finance les organisations médicales qui profitent des campagnes massives de vaccinations pour qu’elles pressent les politiciens de faire voter rapidement des lois qui contraindront les Américains à acheter et utiliser des douzaines de vaccins. Le but étant que tout un chacun s’incline gentiment et obéisse aux ordres des médecins, ou se voit refuser l’accès à l’éducation, l’assurance santé, les soins médicaux ou tout simplement un emploi. Le but est en effet de faire qualifier les citoyens qui refuseraient de se faire vacciner comme des ennemis de l’Etat pour qu’ils puissent être emprisonnés ou recevoir une amende.

    Personne n’est responsable

    Que se passe-t-il si un vaccin administré à un enfant sans le consentement de ses parents entraîne complications de santé ou décès ?

    Est-ce que quelqu’un est responsable ?

    Non. Personne n’est responsable dans une Cour de Justice si nos enfants ou petits-enfants subissent des dommages de santé ou décèdent après avoir été vaccinés – ni les compagnies pharmaceutiques qui ont fabriqué les vaccins, ni les officiels fédéraux de la Santé qui ont autorisé et recommandé les vaccinations, ni le médecin ou l’infirmier qui a administré les vaccins, ni les politiciens qui ont voté les obligations vaccinales…

    Personne n’est responsable quand un enfant voit sa santé endommagée ou quand il décède, à part les parents de l’enfant dont le droit au consentement libre et éclairé a été violé par des concitoyens exerçant un pouvoir dont ils n’auraient jamais dû disposer.

    Révolution pour la liberté en matière de santé

    Après 50 années de lourdes prescriptions médicamenteuses et de vaccinations, les Américains sont en train de se réveiller au fait qu’ils ne sont pas en meilleure santé, mais qu’ils sont plus malades que jamais auparavant. Ils commencent à poser des tas de questions.

    De plus en plus de citoyens se demandent pourquoi les médecins au sein ou à l’extérieur du gouvernement insistent pour que chaque enfant reçoive 70 valences de 16 vaccins à partir de la naissance et pourquoi cette liste comprend des nouveaux vaccins très chers pour des maladies bénignes comme la varicelle et pour des maladies qui ne peuvent s’attraper dans un local scolaire, comme l’hépatite B.

    Nous sommes de plus en plus nombreux à nous demander pourquoi nous devons nous faire vacciner contre la grippe chaque année et pourquoi les membres du personnel de santé perdent leur job s’ils ne se font pas vacciner.

    Nous sommes aussi nombreux à examiner de plus près les études publiées sur les vaccins dans la littérature médicale. Nombre d’entre elles sont financées par les compagnies pharmaceutiques ou les agences de santé publique qui recommandent des politiques de vaccinations passe partout.

    Le public découvre finalement que nombre de ces études relèvent de la meilleure des sciences de pacotille que l’on ait jamais vues.

    Nombreuses aussi sont les personnes qui ont pu observer des médecins payés par Big Pharma pour persuader des journalistes de diaboliser quiconque s’autorise à poser des questions sur la vaccination de sorte que les gens craignent de parler pour ne pas être victimes d’humiliation et de persécution.

    En dépit du fait que la vaccination n’a pas permis un meilleur état de santé, ni public, ni individuel, 3.000 nouveaux essais cliniques sur les vaccins sont malgré tout actuellement en cours. Pharma fabrique des vaccins selon le génie génétique. Ceci va contribuer un peu plus à manipuler notre système immunitaire et même modifier notre ADN et cela pour éviter n’importe quoi : des caries dentaires, de l’acné, le fait de fumer, l’hypertension, l’herpès, la gonorrhée et le sida.

    Il est temps que nous nous levions tous et cessions d’accorder notre participation au paradigme de Big Pharma qui a fait faillite pour pouvoir reprendre en mains notre propre santé et recouvrer la liberté.

    Si les vaccins sont sûrs et efficaces pour tous, qu’auraient à craindre les personnes vaccinées de la part de personnes non vaccinées. Si les vaccins ne sont ni sûrs, ni efficaces pour tout le monde, alors le fait d’exiger la vaccination sans qu’il y ait consentement volontaire libre et éclairé, ne cadre plus avec les règles fondamentales de l’éthique.

    Le droit de l’homme de protéger l’intégrité de son corps l’emporte sur toute forme d’autorité que l’Etat accorderait à certaines personnes pour contraindre des concitoyens à prendre quelque risque médical que ce soit contre leur volonté. Si l’Etat se permet aujourd’hui d’épingler, d’étiqueter, de traquer et de forcer des personnes à se faire injecter des produits biologiques dont la toxicité est connue ou inconnue, il n’y aura demain plus aucune limite aux libertés individuelles que l’Etat pourrait se permettre de supprimer au nom du plus grand bien.

    VIDEO et suite du texte en anglais :

    http://www.nvic.org/NVIC-Vaccine- News/August-2011/The-Health-Liberty-Revolution---Forced Vaccination.aspx

    References:

    [1] VFA (Association of Research-Based Pharmaceutical Companies) – Germany. Statistics:

    The Global Pharmaceutical Market . Apr. 14, 2010.

    [2] Weinberger J. America’s Top Selling Prescription Drugs. CNBC. May 23, 2011.

    [3] Rosenberg M. Current USA Population . About.com. July 21, 2011.

    [4] Liptak A. U.S. prison population dwarfs that of other nations. New York Times  . Apr. 23, 2008.

    [5] IAC. State Immunization Mandates.

    [6] Miller NZ,, Goldman GS. Infant mortality rates regressed against number of vaccine doses routinely given: Is

    there a biological or synergistic toxicity? Human and Experimental Toxicology: Published online May 4, 2011.

    [7] Matthews AW. So Young and So Many Pills: More Than 25% of Kids and Teens in the U.S. Take

    Source:  Sylvie Simon           

     

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    Des vendeurs de drogue en blouse blanche

    Des images de l'extérieur d'une clinique de la douleur à Fort Lauderdale.
    Photo: Nicolas Bérubé La Presse

     

    (Floride) La dernière fois que Maureen Barrett a vu son fils, il montait dans sa voiture, une épave qui démarrait une fois sur deux et dont la batterie se trouvait dans le coffre. Il s'en allait à Miami, à une heure de route, et n'avait pas assez d'essence pour faire le trajet.

    «Je le sais parce que c'est moi qui faisais son plein d'essence, dit Mme Barrett. Je ne lui donnais jamais d'argent comptant.»

    Malgré tout, son fils, Drew Parkinson, a trouvé le moyen de se rendre à Miami. Là, il est allé à la clinique du Dr Jerome Waters et s'est fait prescrire 60 comprimés de Soma, 90 Xanax, 105 Dilaudid et 240 pilules de méthadone.

    M. Parkinson, dont les avant-bras étaient couverts de marques de piqûres, se plaignait d'une douleur au dos. Sur l'ordonnance, le Dr Waters a écrit: «Dernier avertissement. Rayons X obligatoires à la prochaine visite.» La consultation a coûté 75$.


    C'était un vendredi. Deux jours plus tard, Drew Parkinson a été trouvé mort dans son appartement, victime d'une surdose de médicaments antidouleur.

    Dans son bungalow confortable de Fort Lauderdale, Maureen Barrett garde un portrait géant de Drew, mort en 2002 à l'âge de 25 ans. Elle garde aussi quatre sacs Ziploc qui contiennent 495 bonbons M&M, pour illustrer le nombre de pilules que son fils a achetées le week-end de sa mort.

    «Durant les deux derniers mois de sa vie, mon fils s'est fait prescrire 1455 pilules, dit-elle. Qu'il ait pu obtenir ça, alors qu'il n'était pas malade, je n'arriverai jamais à le comprendre complètement.»

    Épidémie

    La dépendance aux médicaments antidouleur ne fait pas les manchettes.

    Pourtant, en février, le Center for Disease Control a déclaré que le problème est une épidémie aux États-Unis. Selon ses données les plus récentes, l'abus de médicaments d'ordonnance a causé plus de 27 000 morts en 2007, une hausse de 500% depuis 1990.

    «L'abus de médicaments vendus sur ordonnance, particulièrement les opiacés, représente une crise alarmante de santé publique», a conclu le secrétaire adjoint à la Santé des États-Unis, Howard Koh, selon qui le problème est pire que ceux causés par le crack dans les années 80 et l'héroïne dans les années 70.

    L'antidouleur de loin le plus populaire est l'oxycodone, un dérivé de l'héroïne vendu sous le nom commercial d'OxyContin. Les 50 médecins qui prescrivent le plus d'OxyContin aux États-Unis sont tous établis en Floride, devenue le plus grand supermarché d'opiacés en Amérique du Nord.

    Lorsqu'on roule dans la banlieue de Fort Lauderdale, on voit partout des cliniques de la douleur (Pain Clinics) établies dans de petits locaux, souvent près des magasins à 1$ ou des boutiques de prêt sur gages.

    En juillet dernier, La Presse a vu dans le stationnement de la clinique Pain Center des plaques minéralogiques du Tennessee, de la Géorgie et de la Louisiane.

    À l'intérieur, des clients, dont plusieurs avaient le regard vitreux, patientaient dans la petite salle d'attente. La réceptionniste a dit qu'il était impossible de voir un médecin sans rendez-vous. La liste d'attente était de plus de trois semaines.

    Travis Mandell, détective de la police de Fort Lauderdale, a baptisé ce type de cliniques pill mills - usines à pilules.

    «Les médecins qui y travaillent sont essentiellement des vendeurs de drogue en blouse blanche, dit-il en entrevue dans son bureau, au centre-ville de Fort Lauderdale. Ces gens-là n'ont aucune éthique. Ils peuvent faire 25 000$ comptant par jour. Certaines femmes paient même la consultation en nature.»

    Une fois exporté de la Floride, l'OxyContin prend de la valeur. Une pilule payée 10$ en Floride est vendue entre 30$ et 80$ sur le marché noir ailleurs aux États-Unis.

    Dépendance extrême

    Les experts disent que la Floride est devenue le pusher de l'Amérique car, jusqu'à tout récemment, l'État n'avait pas de système de suivi des médicaments d'ordonnance. De plus, les patients peuvent voir plusieurs médecins - et recevoir plusieurs ordonnances -, souvent dans la même journée.

    Les conséquences de cette offre abondante tiennent en une seule statistique: sept personnes meurent en moyenne chaque jour d'une surdose de médicaments d'ordonnance en Floride, ce qui représente plus de 5000 morts depuis deux ans.

    Pat Costillo, vice-présidente du comité sur les drogues de l'organisme United Way du comté de Broward, a vu la situation se détériorer au fil des ans.

    «Le problème a commencé à apparaître sur notre écran radar vers 2004-2005. Depuis, nous avons vu une explosion du nombre de cliniques qui prescrivent de l'OxyContin.»

    La substance, dit-elle, crée une dépendance extrême. Et l'épidémie toucherait particulièrement les jeunes: selon une projection de l'École de médecine de l'Université de la Pennsylvanie, jusqu'à 25% des jeunes adultes âgés de 18 à 25 ans vont abuser des médicaments d'ordonnance à un moment de leur vie.

    «Quand on est accro, la vie bascule. On ferait n'importe quoi pour consommer. Les drogués mentent, volent, tuent même pour avoir leur dose.»

    Les cliniques, elles, n'aiment pas se faire montrer du doigt. Paul Sloan, président de la Société de gestion des cliniques de la douleur de Floride, dit que l'abus des médicaments est réel mais que les médias et le gouvernement en exagèrent les conséquences.

    «Oui, il faut trouver une solution, dit-il en entrevue téléphonique. Chaque mort est déplorable. Or, 78 personnes meurent chaque jour en Floride à cause de la cigarette, et 16 à cause de l'abus d'alcool. Pourtant, le gouvernement ne parle pas d'épidémie et ne parle pas de changer la loi sur l'alcool.»

    Premier pas vers l'héroïne

    Maureen Barrett, dont le fils Drew a succombé à une surdose en 2002, veut que l'abus de médicaments fasse les manchettes.

    Aujourd'hui, elle s'occupe de son fils cadet, Tod, 29 ans, également aux prises avec une dépendance à l'OxyContin. La femme de Tod, Stephanie, est morte d'une surdose de pilules antidouleur il y a trois ans, à l'âge de 26 ans. Tod a une fille de 4 ans, dont il est incapable de s'occuper. C'est Mme Barrett qui s'en charge.

    Elle a rencontré le gouverneur de la Floride, a paru dans le documentaire indépendant OxyContin Express et a milité pour l'adoption d'une loi, entérinée plus tôt cette année, qui donne plus de pouvoir à l'État pour contrer les «usines à pilules».

    «On peut fermer toutes les cliniques fautives; ça n'empêchera pas les gens de magasiner les médecins et de recevoir plusieurs doses, dit Mme Barrett. Et lorsqu'ils ne peuvent plus se procurer de pilules, les gens accros à l'OxyContin commencent à consommer de l'héroïne. Il faut investir dans la prévention et les centres de désintoxication.»

    Elle ne croit pas que son fils sera guéri un jour. Tod est abstinent, ces jours-ci, mais il a fait plusieurs rechutes. Les séjours au centre de désintoxication n'ont rien donné. Moins de 5% des gens accros aux antidouleurs s'en sortent.

    Mme Barrett prépare les repas de son fils, l'encourage à rester fort. Elle lui dit qu'elle l'aime.

    «Pour nous, et pour des milliers de familles, ce n'est pas un combat quotidien. C'est un combat seconde

    par seconde.»

    Les surdoses de médicaments antidouleur représentent désormais la première cause de mort accidentelle dans 17 États américains, avant les accidents de la route.

    En hausse au Canada

    L'abus de médicaments antidouleur est de plus en plus répandu au Canada.

    En Ontario, le nombre de morts liées à la consommation d'oxycodone s'est multiplié par neuf de 1991 à 2006, selon les plus récentes données.Selon l'Organe international de contrôle des stupéfiants (ou OICS), le Canada est le deuxième consommateur d'oxycodone au monde, après les États-Unis et devant l'Australie. La stratégie antidrogue du gouvernement fédéral est pourtant davantage axée sur la lutte contre les drogues illicites, et non contre celles qui sont fabriquées et vendues légalement.


    Source Cyberpresse  


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     Canular ? HAARP ? Phénomène naturel ?

    Sons étranges à travers le monde

     

    Avez-vous remarqué une hausse des anomalies aériennes auditives et visuelles? Des bruits bizarres provenant de la terre et du ciel semblent être rapportés de différents pays au cours des dernières années. Aussi récemment que ce mois-ci, il y a eu des témoignages du Canada et de l'Ukraine où les gens décrivent soit des bruits mécaniques étranges provenant du ciel ou une combinaison de bourdonnements à basse fréquence.



    Tout au long des dernières années, il y a eu une augmentation des anomalies aériennes signalées à travers le monde. La spirale de Sydney qui a été signalé l'été dernier ainsi que la spirale impressionnante de Norvège qui a capturé l'attention du monde.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Source: http://www.choix-realite.org/5097/sons-etranges-a-travers-le-monde


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  • Vaccins : Le Scandale HPV (Col utérus)



    Dr Julian WHITAKER, M.D.

    Fait n°1 *Il y a pratiquement 100% de chances que la firme Merck va pour commencer réaliser un chiffre de 12 milliards de dollars, quand les 34 millions de jeunes filles de 9 à 26 ans recevront le vaccin HPV qui coûte la somme de 360 dollars pour la série des trois injections.

    Fait n°2 *Il y a pratiquement 100% de chances qu’il s’agisse ici d’un nouvel accord (deal) entre les compagnies pharmaceutiques et les législateurs. Ceci semble bien avoir commencé avec les politiciens du Texas où le vaccin a été rendu obligatoire par l’Etat. Merck aurait gratifié le gouverneur Rick Perry d’une somme rondelette et le même jour huit parlementaires ont donné des instructions au chef du personnel qui s’occupait des vaccins. Il est intéressant de noter que l’ancien chef de ce personnel fait actuellement du lobbying pour Merck. Les politiciens (VA) se préparent maintenant à voter pour rendre officiellement le vaccin HPV obligatoire.

    Fait n°3 *Il n’a jamais été démontré que le vaccin HPV pouvait véritablement prévenir le cancer du col de l’utérus, mais simplement qu’il pouvait réduire le risque de modifications précancéreuses dans le col de l’utérus.

    Fait n°4 *Seuls 2% des femmes Américaines sont porteuses des deux souches HPV pour lesquelles le vaccin peut s’avérer efficace.

    Fait n°5 *Alors que les frottis de routine détectent de manière précoce ce type de cancer à développement lent, les traitements traditionnels s’avèrent presque toujours parfaitement efficaces.

    Fait n°6 *La plupart des femmes qui ont été exposées au HPV peuvent en être débarrassées naturellement, même sans savoir qu’elles ont été infectées ; seul un faible pourcentage présente des problèmes. L’Etat exige que 100% des jeunes filles reçoivent le vaccin sans qu’elles puissent avoir la preuve qu’elle pourront en retirer quelque bénéfice. Mais ne risquent-elles pas de développer des problèmes de santé ?

    Fait n°7 *Les vaccins ne sont pas des produits bénins. Au cours des quelques derniers mois, des centaines de rapports concernant les effets secondaires du HPV sont parvenus au CDC. (Centre de Contrôle des Maladies). L’approbation du vaccin par la FDA a fait l’objet d’un processus accéléré. Il n’y a personne, je dis bien personne qui puisse avoir la moindre idée de ce que pourraient représenter les effets secondaires à long terme !

    Nous devrions nous arrêter avant de refiler une nouvelle vaccination à nos jeunes filles.

    Merck a démontré qu’ils sont davantage prêts à jouer à la roulette russe avec la santé de nos enfants en utilisant un vaccin qui n’a pas fait ses preuves et cela en échange de gigantesques profits. Utiliser des enfants de pareille manière… l’étendue du mal est rare même pour une compagnie pharmaceutique. La santé de ces enfants pourrait s’en trouver endommagée sans qu’il y ait quelque bénéfice significatif en perspective.

    Il y a moyen de s’en sortir. Si vous souhaitez que votre fille soit vaccinée contre la HPV, parfait. Nous vivons dans un pays libre. Mais si vous ne voulez pas que votre fille soit vaccinée vous n’avez pas à supplier l’état ou à demander l’asile pour échapper à cette obligation. Au pire, cette situation qui relève plutôt du roman orwéllien totalitaire doit tout simplement être arrêtée.

    Ecrivez aux médias et à vos parlementaires ! http://whale.to/vaccine/hpv.html

    Dr VIERA SCHEIBNER : le canular de la médecine moderne

    http://equipapatriot.webs.com/damningvaccineevidence.htm

    Le dernier scandale est le vaccin contre le cancer du col de l’utérus. Très rapidement après que ce vaccin ait été administré à de très jeunes filles, on s’aperçut qu’il était susceptible de provoquer de très graves réactions comme des syncopes, des évanouissements, des chocs anaphylactiques, des paralysies (Guillain Barre) et même des décès. Une épidémie de dénégations n’a pas tardé à proliférer malgré que plusieurs de ces réactions aient été ajoutées à la liste des rapports post-marketing. Bien sûr l’avertissement (Disclaimer) habituel accompagnait cette liste, précisant que le lien causal avec le vaccin n’avait pas été démontré sans pourtant préciser ce qu’ils considéraient être des preuves de causalité. Il est cependant à noter que les réactions aux vaccins remplissent tous les neufs critères de Bradford Hill, le père des statistiques médicales.

    Pour quelles raisons ces troubles auraient-ils été enregistrés si les jeunes filles n’avaient fait que les imaginer ? Il est à signaler que plusieurs jeunes filles furent menacées d’institutions psychiatriques si elles continuaient à dire que les réactions graves qu’elles avaient observées avaient été provoquées par le vaccin. Quelles sont en fait les personnes qui devraient être envoyées dans des institutions psychiatriques ? Sûrement pas les jeunes filles qui ont souffert de ces effets secondaires, mais bien les médecins et les officiels de santé qui les accusent d’imaginer leurs réactions, bien que ces dernières soient reprises dans la liste PI.

    * * *

    Disclaimer

    Les textes qui sont présentés ci-dessus, leurs commentaires, les témoignages sont exclusivement destinés à l’information. Ils représentent les vues de leurs auteurs et n’engagent qu’eux seuls. Ces textes sont destinés à éveiller l’intérêt, la recherche et à entraîner le discernement ; chacun étant responsable d’examiner toute chose et d’en retenir ce qui est vrai et bon. Il incombe à tout un chacun de les utiliser comme il lui paraît le plus raisonnable et le plus utile. La désinformation étant une marque flagrante de notre époque, chacun est encouragé à approfondir par lui-même les sujets qui lui sont présentés par tous les moyens à sa disposition. Il est important que cette information soit soumise au médecin qui a la confiance du lecteur pour une évaluation et adaptation éventuelle à chaque cas. Ces informations ne sont nullement destinées à établir un diagnostic , à conseiller un traitement ou à prévenir quelque maladie que ce soit. Au cas où des personnes tenteraient de mettre en pratique les informations reprises ci-dessus sans l’avis d’un médecin, elles en prendraient l’entière responsabilité. Nous choisissons de ne rien censurer des informations qui pourraient éventuellement être biaisées, traditionnellement peu acceptables ou choquantes pour certaines personnes fragiles auxquelles nous déconseillons la lecture de ce document. L’entière responsabilité de ces extraits appartient à leurs seuls auteurs.

    Source : Sylvie Simon             


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  • On dit qu’une image vaut mille mots !

    Moi je suis sans mot, que dire face à cette horreur …

    Lizette


     Une usine de papier-toilette chinoise en photos

     

    Une usine de papier-toilette chinoise en photos

    Suite des photos ici

     

     

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