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    Morgellons

    Une mystérieuse maladie de la peau, aux symptômes semblant sortir tout droit d’un film d’horreur, plonge des milliers de personnes dans un cauchemar auquel les scientifiques ne semblent être en mesure de mettre fin.

    Répertorier au Canada, aux États-Unis, en Australie et en Europe, la maladie des Morgellons se distingue par des symptômes peu habituels.

    Ainsi, la personne atteinte aura la sensation d’avoir des insectes ou des vers qui rampent sous sa peau, des éruptions cutanées qui démangent et qui laissent des lésions importantes, en plus de problèmes de mémoire et de concentration.

    À cela s’ajoute l’éruption de mystérieuses fibres qui sortent du corps. Ces bouts de fils, qui ont fait l’objet d’études à l’Université de l’Oklahoma, mystifient les experts.

    En effet, ces derniers ne sont pas parvenus à établir une correspondance avec les 800 fibres textiles qui sont commercialisées ou les 85 000 composés organiques connus.  SUITE

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  • La scène se passe le 26 juillet, à la jonction de deux chemins forestiers, à 250 kilomètres à vol d’oiseau au nord de l’élection québécoise en cours. Elle est triste et digne. Sauf qu’ici, l’oiseau que tient délicatement dans ses mains un neveu algonquin est un bébé qui ne sait pas encore voler. Il est tombé d’un arbre.

     

    Quel est le lien avec l’élection? À la mi-juillet, les médias nous ont rapporté que des Atikamekw bloquaient une équipe de bucherons de Produits forestiers Résolu de Montréal. Cette compagnie, armée d’un droit de coupe officiel, voyait son équipement et ses travailleurs empêchés de travailler sur leurs lots désignés. Après plusieurs jours de négociations, les Atikamekw résistants acceptaient, le vendredi 20 juillet, d’accepter la demande de la compagnie. Cela, sans en discuter avec d’autres membres de leur famille. Le 26 juillet, l’équipe de la compagnie se heurte à nouveau à un barrage bien dérisoire à la jonction de deux chemins forestiers.

     

    La caméra nous montre d’abord une Grand-Mère autochtone qui prend son bâton de parole et se dirige vers un groupe qui se tient debout au milieu de la route. Le groupe auquel elle s’adresse est composé du sergent Saint-Louis de la SQ, de Guy Dionne, chef d’équipe de la compagnie forestière, d’un agent de conservation de la nature qui filme le groupe autochtone et de deux observateurs blancs qui se tiennent au bord de la route.  SUITE


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  • Oui merci, merci enfin on voit à qui on a affaire et de longues vacances vont être bonnes pour vous, il vous donneront l’occasion de méditer sur ce qu’est la loyauté envers un peuple qui vous a donné sa confiance et dont vous avez abuser outrageusement encore et encore. Vous aviez beau jeu parce que le peuple dormais à poings fermés mais……..de jeunes gens de notre futur génération de dirigeants ayant une vision plus claire et plus neuve ont décidés de sortir et de réveiller ce grand peuple trop longtemps endormi et enlisé dans le pareil au même. Non M. Charest nous ne voulons plus du pareil au même, ça va changer.

    Lizette

     

    Monsieur Charest,

    Je désire saisir l’occasion du déclenchement des élections pour vous remercier pour les grandes réalisations de votre dernier mandat.

    Vous avez tout d’abord réussi l’inespéré : sortir une très grande partie du peuple québécois de sa torpeur et son cynisme, et ce, par votre seule obstination par rapport aux revendications étudiantes.

    Les deux mains enfin sur le volant, merci de nous avoir conduit vers votre grande vision du Québec : vente de nos ressources au rabais, corruption, multiples scandales, mauvaise gestion des finances, fausses promesses, mépris de la jeunesse et, pire que tout, mépris de l’essence même de la démocratie.

    Quand vous associez le pouvoir de la rue au chaos et à la violence, vous vous montrez indigne de ce pouvoir que les Québécois vous ont confié. Vous vous montrez indigne de ce peuple pacifique et tranquille, indigne de ses aspirations nobles, indigne de son humanisme.

    Merci aussi pour votre honnêteté. Ces derniers mois, vous nous avez enfin montré, sans aucune retenue, votre vrai visage, celui d’un être machiavélique qui cherche, ouvertement et avec un simplisme choquant, à diviser pour mieux régner. J’ignore quel est votre pari stratégique, mais je devine la bienveillance paternelle d’un chef qui protège son peuple derrière l’écran de fumée (lacrymogène), l’empêchant de voir l’avancée des vraies priorités de son gouvernement. Priorités que son bon peuple pourrait probablement mal saisir, si elles lui étaient exposées clairement…

    Finalement, je vous remercie infiniment de nous avoir rappelé à quel point la prochaine élection sera cruciale pour l’avenir du Québec. En effet, je le crois aussi, elle déterminera dans quelle sorte de société nous désirons vivre : le pouvoir de la rue ou le pouvoir des lobbys.

    Cher M. Charest, votre vision de la politique a tiré grand profit de la démobilisation et du cynisme, qu’elle a grandement nourris en servant les intérêts du capital plutôt que ceux du peuple. Mais la jeunesse québécoise nous a ranimés. Et ce carré rouge, que vous avez tenté de piétiner, s’élèvera en étendard de nos consciences, symbole fondateur du Québec de demain.

    Merci !

    Tania Kontoyanni – Montréal, le 1er août 2012

    Source: http://www.ledevoir.com/politique/elections-2012/355950/merci-monsieur-charest

     

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