• lingettes-bebes

     

    Un lecteur vigilant a bien fait de nous signaler cette Xième contradiction préoccupante: alors que l’Agence française du Médicament (ANSM) vient récemment de recommander d’éviter chez les enfants de moins de 3 ans les lingettes pour bébés à base de phenoxyéthanol - suspecté d’être toxique pour la reproduction- lorsqu’elles sont destinées au siège et  d’en réduire fortement les doses pour les lingettes destinées à d’autres usages, la présence de cette même substance dans les vaccins, pourtant profondément injectée par voie intra-musculaire à de jeunes enfants au système reproductif encore largement immature, ne semble pas véritablement émouvoir cette même agence.

     

    Il faut toutefois rappeler que c’est la même Agence qui a tout récemment refusé de financer la poursuite des travaux de l’équipe du Pr Gherardi du CHU Henri Mondor de Créteil sur la toxicité de l’aluminium vaccinal alors même que cette agence avait pourtant explicitement recommandé en 2011 de réduire la concentration d’aluminium dans les déodorants et de ne pas utiliser des anti-transpirants à base d’aluminium sur une peau lésée. Là aussi, on peut donc dire qu’il s’agit d’une énorme incohérence quand on sait que les vaccins à base d’aluminium sont injectés profondément dans l’organisme par voie intramusculaire! SUITE

     

     

     

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  •  Les vaccins antigrippaux n’ont pas vraiment… le vent en poupe!

     

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    En revanche, de nouvelles annonces dramatisantes commencent à se faire jour. Le 30 décembre dernier, un site anglophone rapportait des informations émanant notamment du New Scientist:

    Des scientifiques disent avoir découvert que les virus grippaux, dont le fameux virus H5N1 de la grippe aviaire peuvent se répandre par le vent et qu’il faut « craindre le pire ».

    N’a-t-on pas déjà entendu cela mille fois? En gros, on est dans la préparation de l’opinion publique puisque des équipes de chercheurs officiels travaillent d’arrache-pied à rendre les virus grippaux aviaires plus virulents et plus transmissibles. On a donc la succession suivante des faits, pour ceux qui sont encore un peu « lents à la détente »:

     

    1. On détecte il y a un peu plus de 10 ans un virus aviaire. On sent que ça peut faire un beau business, car la peur fait vendre, ça peut être mortel etc.

    2. On se met à travailler sur des vaccins pandémiques. Et on trouve des autorités complices qui achèteront ces vaccins expérimentaux en dilapidant l’argent public au nom du « principe de précaution ».  SUITE

     

     

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    Une pandémie silencieuse : Dans le monde entier l’industrie chimique est en train de détériorer le développement cérébral des enfants.

    Boston, MA. L’exposition du fœtus et du nouveau-né aux substances chimiques industrielles de l’environnement peut endommager le cerveau en cours de développement et peut mener à des désordres du développement neurologique (NDDs) – autisme, désordre du déficit de l’attention, et retards mentaux.

    Aujourd’hui encore, il n’y a pas suffisamment d’études réalisées pour identifier les substances chimiques individuelles qui peuvent provoquer des dommages dans les cerveaux en développement des enfants.

    Dans une nouvelle étude, mise en ligne dans « The Lancet » du 8 novembre 2006, et dans la version papier du « Lancet », des chercheurs de l’Ecole Harvard de Santé Publique et de l’Ecole de Médecine du Mont Sinaï ont systématiquement examiné les données publiques disponibles sur la toxicité chimique pour identifier les substances chimiques industrielles qui sont les plus susceptibles d’endommager le cerveau en cours de développement.

    Les chercheurs ont découvert que 202 produits chimiques industriels peuvent endommager le cerveau humain, et ils concluent que la pollution chimique peut avoir abîmé le cerveau de millions d’enfants dans le monde.

    Les auteurs concluent plus loin que les effets toxiques des produits chimiques industriels ont été souvent négligés.

    Pour protéger les enfants contre les substances chimiques industrielles qui peuvent nuire au développement cérébral, les chercheurs exhortent à une approche basée sur le principe de précaution pour les essais et les contrôles chimiques. 

    Une telle approche commence à être appliquée dans l’Union Européenne. Elle met en place des règlementations fortes, qui pourraient être plus tard assouplies, si le nombre d’accidents se révèle inférieur à ce qui était prévu, au lieu des règlementations actuelles qui nécessitent un niveau élevé de preuves. SUITE

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