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    La grande majorité du Curcuma provient de l’Inde. C’est un des ingrédients des célèbres ‘currys’ leur donnant une couleur et odeur bien caractéristique. De la même famille que le gingembre, on utilise la racine et le rhizome pour leurs vertus médicinales. La médecine Ayurvédique utilise abondamment cette plante pour ses qualités dans les cas d’arthrite et autres inflammations, de même que pour les problèmes de vision. Au cours des vingt dernières années, l’efficacité du Curcuma dans le traitement des troubles digestifs et hépatiques a été confirmée par les études scientifiques.

    Les pigments curcuminoïdes du curcuma sont des antioxydants efficaces. Selon des études scientifiques, les curcuminoïdes du curcuma préviennent l’oxydation des matières grasses dans le sang plus efficacement que les antioxydants de l’écorce de pin et des extraits de pépin de raisin.

    Le curcuma contient un peptide unique appelé turmérine, une substance qui neutralise les radicaux libres, plus puissants que la curcumine et que l’antioxydant synthétique BHA.

    Les animaux nourris des curcuminoïdes présentent un taux plus élevé d’enzymes glutathion-S-transférase, un des plus importants antioxydants intervenant dans le système de désintoxication de l’organisme.

    Le Curcuma sera utile dans les cas suivants :

     

    -Troubles hépatiques

    -Troubles digestifs

    -Traitement des blessures (antibactérien)

    -Parasites intestinaux

    -Inflammations aigües ou silencieuses

    -Arthrite

    -Cholestérol

    -Équilibrer le système nerveux

    -Prévenir ou traiter le cancer

    -Stimuler le système immunitaire

     

    Bienfaits : SUITE

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  • Des chercheurs français ont étudié secrètement, pendant deux ans, 200 rats nourris au maïs transgénique. Tumeurs, pathologies lourdes… une hécatombe. Et une bombe pour l’industrie OGM.

    Photo du film "Tous cobayes ?".<br /><br /><br /><br /><br />
(Jean-Paul Jaud / ©J+B Séquences)” /></p>
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    C’est une véritable bombe que lance, ce 19 septembre à 15 heures, la très sérieuse revue américaine “Food and Chemical Toxicology” – une référence en matière de toxicologie alimentaire – en publiant les résultats de l’expérimentation menée par l’équipe du français Gilles-Eric Séralini, professeur de biologie moléculaire à l’université de Caen. Une bombe à fragmentation : scientifique, sanitaire, politique et industrielle. Elle pulvérise en effet une vérité officielle : l’innocuité du maïs génétiquement modifié.

     

    Lourdement toxique et souvent mortel

    Même à faible dose, l’OGM étudié se révèle lourdement toxique et souvent mortel pour des rats. A tel point que, s’il s’agissait d’un médicament, il devrait être suspendu séance tenante dans l’attente de nouvelles investigations. Car c’est ce même OGM que l’on retrouve dans nos assiettes, à travers la viande, les œufs ou le lait.

     

    En 2006, c’est comme un véritable thriller que commence cette recherche, dont le maître d’œuvre, Gilles-Eric Séralini, divulgue lui-même les conclusions dans un ouvrage à paraître la semaine prochaine (“Tous cobayes !”, Flammarion, en librairie le 26 septembre).

     

    Nom de code In Vivo

    Jusqu’en 2011, les chercheurs ont travaillé dans des conditions de quasi-clandestinité. Ils ont crypté leurs courriels comme au Pentagone, se sont interdit toute discussion téléphonique et ont même lancé une étude leurre tant ils craignaient un coup de Jarnac des multinationales de la semence.  SUITE

     

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    Une belle histoire du potager urbain de Drummondville.

     

    Au tout début du potager urbain, soit depuis le printemps de cette année (voir notre premier billet sur le sujet) nous n’avions jamais pu imaginer rencontrer tant de gens, mais surtout d’être témoin d’autant de générosité de la part de personnes qui, jusqu’alors, nous étaient inconnus.

     

    Comme nous l’avions déjà mentionné, ce potager nous a donné énormément, et non seulement des légumes.  Souvent les gens sont venus de loin pour nous saluer, nous encourager, nous offrir de l’aide et même nous apporter quelques cadeaux.  Dans tous les cas, nous rencontrions ces personnes et échangions avec eux et avions le loisir de les remercier de vive voix.  Du côté rapport humain ce fut un été des plus enrichissants. Mais comme on peut le constater, ce n’est pas terminé.

     

    En effet, depuis hier, nous nous demandons bien qui peut nous avoir laissé ce magnifique présent sur le seuil de notre porte (le sac avec la tomate…. pas le chat)

    SUITE:    http://sortirduchaos.wordpress.com

     

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    Morgellons

    Une mystérieuse maladie de la peau, aux symptômes semblant sortir tout droit d’un film d’horreur, plonge des milliers de personnes dans un cauchemar auquel les scientifiques ne semblent être en mesure de mettre fin.

    Répertorier au Canada, aux États-Unis, en Australie et en Europe, la maladie des Morgellons se distingue par des symptômes peu habituels.

    Ainsi, la personne atteinte aura la sensation d’avoir des insectes ou des vers qui rampent sous sa peau, des éruptions cutanées qui démangent et qui laissent des lésions importantes, en plus de problèmes de mémoire et de concentration.

    À cela s’ajoute l’éruption de mystérieuses fibres qui sortent du corps. Ces bouts de fils, qui ont fait l’objet d’études à l’Université de l’Oklahoma, mystifient les experts.

    En effet, ces derniers ne sont pas parvenus à établir une correspondance avec les 800 fibres textiles qui sont commercialisées ou les 85 000 composés organiques connus.  SUITE

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  • La scène se passe le 26 juillet, à la jonction de deux chemins forestiers, à 250 kilomètres à vol d’oiseau au nord de l’élection québécoise en cours. Elle est triste et digne. Sauf qu’ici, l’oiseau que tient délicatement dans ses mains un neveu algonquin est un bébé qui ne sait pas encore voler. Il est tombé d’un arbre.

     

    Quel est le lien avec l’élection? À la mi-juillet, les médias nous ont rapporté que des Atikamekw bloquaient une équipe de bucherons de Produits forestiers Résolu de Montréal. Cette compagnie, armée d’un droit de coupe officiel, voyait son équipement et ses travailleurs empêchés de travailler sur leurs lots désignés. Après plusieurs jours de négociations, les Atikamekw résistants acceptaient, le vendredi 20 juillet, d’accepter la demande de la compagnie. Cela, sans en discuter avec d’autres membres de leur famille. Le 26 juillet, l’équipe de la compagnie se heurte à nouveau à un barrage bien dérisoire à la jonction de deux chemins forestiers.

     

    La caméra nous montre d’abord une Grand-Mère autochtone qui prend son bâton de parole et se dirige vers un groupe qui se tient debout au milieu de la route. Le groupe auquel elle s’adresse est composé du sergent Saint-Louis de la SQ, de Guy Dionne, chef d’équipe de la compagnie forestière, d’un agent de conservation de la nature qui filme le groupe autochtone et de deux observateurs blancs qui se tiennent au bord de la route.  SUITE


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