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    Le vaccin Pandemrix a condamné des milliers d’enfants à une vie d’ handicapés suite à une narcolepsie, maladie auto-immune entièrement prévisible à cause de l’adjuvant squalène utilisé – mais les avertissements ont été ignorés. Aujourd’hui le British Medical Journal (BMJ) vient de publier une étude qui prouve que l’adjuvant ASO4 du Pandemrix provoque la narcolepsie. 

     

     

    Par Heidi Stevenson, 6 mars 2013

     

    Le nombre des cas de narcolepsie provoqués par le vaccin Pandemrix de GlaxoSmithKline est beaucoup plus généralisé que l’on a initialement pensé quand les articles de presse ont évoqué.

    Quelque 800 cas de vies dévastées en Europe. Le British Medical Journal (BMJ) a révélé que sur un plan mondial les cas devaient se compter par milliers. Il s’est avéré inexact que ce problème ait été uniquement observé en Scandinavie. SUITE

     

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    tomate

     

    Nous sommes tous opposés aux OGM, mais qui connaît les Plantes mutées : ces OGM qui ne disent pas leur nom ?

    Dépourvues d’étiquettes, ces plantes se retrouvent à notre insu dans nos assiettes.

    Leur existence n’a jamais été aussi bien expliquée que dans l’article de Christophe Guyon, publié dans le numéro 144 de Rebelle-Santé en avril 2012.

     

    Ci-joint l’article complet :

    Les plantes mutées, d’un point de vue scientifique, sont bel et bien des organismes génétiquement modifiés. Pourtant les technologies utilisées pour manipuler leurs gènes ne sont pas soumises à la réglementation sur les OGM. Résultat : les plantes mutées échappent aux études, à l’étiquetage, et se retrouvent dans nos assiettes sans que nous puissions les repérer.

    Depuis l’apparition des OGM (organismes génétiquement modifiés) dans l’agriculture, la situation était relativement simple. Il y avait d’un côté les plantes conventionnelles et de l’autre les plantes génétiquement modifiées. Depuis peu, on découvre qu’à l’intérieur de ces OGM, il existe un groupe de variétés végétales qui avancent masquées : les plantes mutées. En quelques années elles se sont retrouvées dans notre assiette sans que personne ne s’en rende compte. La raison à cela : elles échappent à la réglementation des OGM alors qu’elles font bien partie de ces organismes génétiquement modifiés. SUITE

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    Ondes

     

    Peut-on imaginer notre vie sans électricité ? Songeons à une coupure totale de courant survenant vers 21 heures dans une grande ville au mois de janvier. Obscurité totale ! Tous les appareils électriques s’arrêtent. Plus de télévision, plus de radio, plus d’ordinateur, plus de cuisinière, plus de radiateur, plus de réfrigérateur, plus de congélateur…

    Bon, pas de panique, le courant va revenir d’un instant à l’autre. Prenons patience. Avons-nous des bougies ? Ah oui ! Dans un placard de la cuisine. J’y vais à tâtons. Bing ! Je me suis cogné dans la porte. Zut ! J’ai cassé un bol. Voilà les bougies. Où sont donc les allumettes ? Ah ! les voici. Crac ! Oh quelle jolie lumière ! Qu’est-ce qu’on fait ? On joue aux cartes ? Pas la peine de s’y mettre, le courant va sûrement revenir d’un instant à l’autre.

    Oui, mais s’il ne revient pas ? Si la panne dure des heures, des jours, des semaines, parce qu’il a fallu arrêter une centrale nucléaire où l’on avait décelé un risque d’accident ? (Le 14 août 2003, 50 millions d’Américains sont restés sans électricité pendant deux jours). Alors, c’est toute la vie de la cité qui est bouleversée. Plus rien ne fonctionne, plus rien ne s’éclaire. Les machines sont inertes, les usines se ferment, les magasins sont aussi sombres que des tombeaux…

    Les hommes connaissent l’électricité depuis la plus haute Antiquité. Le mot vient du grec elektron, qui était le nom de l’ambre jaune, une résine fossile ayant des propriétés électrostatiques. La laine est également électrostatique. On connaît de longue date des poissons électriques, représentés sur des bas-reliefs égyptiens. Et le poisson-torpille, dont les décharges électriques sont utilisées contre la migraine ou la goutte par les Romains au 1er siècle de notre ère. SUITE

     

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  • lingettes-bebes

     

    Un lecteur vigilant a bien fait de nous signaler cette Xième contradiction préoccupante: alors que l’Agence française du Médicament (ANSM) vient récemment de recommander d’éviter chez les enfants de moins de 3 ans les lingettes pour bébés à base de phenoxyéthanol - suspecté d’être toxique pour la reproduction- lorsqu’elles sont destinées au siège et  d’en réduire fortement les doses pour les lingettes destinées à d’autres usages, la présence de cette même substance dans les vaccins, pourtant profondément injectée par voie intra-musculaire à de jeunes enfants au système reproductif encore largement immature, ne semble pas véritablement émouvoir cette même agence.

     

    Il faut toutefois rappeler que c’est la même Agence qui a tout récemment refusé de financer la poursuite des travaux de l’équipe du Pr Gherardi du CHU Henri Mondor de Créteil sur la toxicité de l’aluminium vaccinal alors même que cette agence avait pourtant explicitement recommandé en 2011 de réduire la concentration d’aluminium dans les déodorants et de ne pas utiliser des anti-transpirants à base d’aluminium sur une peau lésée. Là aussi, on peut donc dire qu’il s’agit d’une énorme incohérence quand on sait que les vaccins à base d’aluminium sont injectés profondément dans l’organisme par voie intramusculaire! SUITE

     

     

     

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  •  Les vaccins antigrippaux n’ont pas vraiment… le vent en poupe!

     

    vaccin-grippe-a_382

    En revanche, de nouvelles annonces dramatisantes commencent à se faire jour. Le 30 décembre dernier, un site anglophone rapportait des informations émanant notamment du New Scientist:

    Des scientifiques disent avoir découvert que les virus grippaux, dont le fameux virus H5N1 de la grippe aviaire peuvent se répandre par le vent et qu’il faut « craindre le pire ».

    N’a-t-on pas déjà entendu cela mille fois? En gros, on est dans la préparation de l’opinion publique puisque des équipes de chercheurs officiels travaillent d’arrache-pied à rendre les virus grippaux aviaires plus virulents et plus transmissibles. On a donc la succession suivante des faits, pour ceux qui sont encore un peu « lents à la détente »:

     

    1. On détecte il y a un peu plus de 10 ans un virus aviaire. On sent que ça peut faire un beau business, car la peur fait vendre, ça peut être mortel etc.

    2. On se met à travailler sur des vaccins pandémiques. Et on trouve des autorités complices qui achèteront ces vaccins expérimentaux en dilapidant l’argent public au nom du « principe de précaution ».  SUITE

     

     

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