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    Le potassium: êtes-vous en manque?

     

    Bien que le calcium soit le minéral le plus connu, le potassium fait partie des minéraux absolument essentiels à notre survie. En fait, le potassium travaille en étroite collaboration avec le sodium et le chlore; il s’agit là des électrolytes que le médecin vérifie de près si vous souffrez de diarrhées ou de vomissements graves.

     

    Le potassium remplit une multitude de fonctions au sein de l’organisme: contractions musculaires incluant les battements cardiaques, transmission de l’influx nerveux, stabilisation la pression sanguine, élimination des toxines du sang par les reins, maintien de l’équilibre acido-basique du corps, régularisation des taux d’oligo-éléments dans la cellule, participation aux nombreuses réactions enzymatiques, à la synthèse des protéines et au métabolisme des glucides, tranquillisant nerveux, protection et réparation des cellules des nerfs, du coeur, des os, des muscles, des organes du système digestif, etc.

     

    Pour fonctionner convenablement, les cellules du corps nécessitent un apport bien équilibré de nutriments. Malheureusement, l’alimentation est couramment négligée de nos jours. Dénaturée, elle contient souvent trop de sodium (sel) et pas assez de potassium, ce qui cause un déséquilibre au sein de la cellule. Ceci entraîne une multitude de symptômes de mal-être dont tant de gens se plaignent.

     

    On retrouve le potassium dans les fruits et les légumes, les grains entiers et les légumineuses. Par exemple, une banane contient environ 450 mg de potassium, une pomme, 310 mg et une pomme de terre avec la pelure cuite au four jusqu’à 950 mg. Bien que les experts recommandent un minimum de 3000 à 4000 mg de potassium par jour, il semble que l’apport moyen des Canadiens et des Américains soit insuffisant. Pas étonnant que tant de gens souffrent de fatigue, de palpitations cardiaques et d’hypertension. Un régime riche en potassium pourrait même réduire les risques d’accident vasculaire cérébral (AVC) de 40%.

     

    Les antagonistes du potassium sont l’alcool, le café, le stress, la cortisone, les diurétiques (médicaments prescrits pour l’hypertension), l’usage abusif des laxatifs, l’excès de sel et de sucre, la sudation excessive, les diarrhées et vomissements prolongés. Lisez les étiquettes et notez tout ce qui se nomme “sodium”. N’oubliez pas que les aliments de restauration rapide contiennent des quantités faramineuses de sel et très peu de bons nutriments. Intégrez à votre alimentation des aliments aussi naturels que possible. Après tout, on ne le dira jamais assez, la santé commence dans l’assiette!

     

    Voici une liste de symptômes pouvant indiquer une carence en potassium:

    • fatigue physique et mentale;

    • faiblesse;

    • lassitude générale;

    • la confusion mentale (ne plus penser clairement);

    • épuisement;

    • hypertension;

    • arythmie cardiaque;

    • crampes musculaires, souvent nocturnes;

    • digestion difficile;

    • lenteur intestinale;

    • ballonnements;

    • douleurs abdominales;

    • constipation;

    • diarrhée;

    • faiblesse musculaire;

    • paralysie musculaire;

    • oedème (enflure);

    • faible résistance à la maladie;

    • intolérance au glucose;

    • acné;

    • insomnie;

    • troubles nerveux (irritabilité, nervosité)

    • dépression;

    • frissons;

    • peau sèche;

    • réflexes amoindris;

    • courbatures;

    • soif intense;

    • nausées, vomissements;

    • retard de croissance;

    • fragilité des os;

    • troubles rénaux;

    • protéines dans les urines.

     

    Publié par Gisèle Frenette 

    Source: http://gisele-frenette.blogspot.ca/2011/05/le-potassium-etes-vous-en-manque.html

     

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  • Le Cerveau et ses Automatismes : Le Pouvoir de L'inconscient


    Des séquences animées en 3D prouvent que notre capacité de raisonnement atteint vite ses limites et peine à influencer nos comportements.

    Des objets banals tels que des allumettes et des chaises permettent des expériences surprenantes quand ils sont manipulés par des chercheurs. Pour prouver le bien-fondé de leurs thèses, ces derniers n'hésitent pas à s'élancer sur une planche de surf ou à étudier les méthodes des prestidigitateurs. Autant de raisons de s'inquiéter parfois, notamment quand nous apprenons que notre cerveau prend les décisions sept secondes avant que nous en ayons conscience !

    Un fascinant périple aux quatre coins du monde, de l'Australie à l'Allemagne en passant par les États-Unis et la Suède, pour observer nos neurones dans tous leurs états.





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  • Documentaire très intéressant en Français sur les Crop circles appelés

    “Agroglyphes” ou encore “cercles de culture”.


     

    Pour voir la suite des vidéos

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    Qu’est ce que “l’agent orange”

    Aujourd’hui, c’est le premier jour de 2011, et cela fait quarante ans que l’agent orange empoisonne Gaïa au Vietnam. De 1961 à 1971, les USA ont utilisé massivement de la dioxine, sur des millions d’hectares, afin d’assassiner la végétation et en même temps le Front National de Libération du Vietnam.

    Il y a deux jours, un accord a été signé entre le Vietnam et les USA, accord qui « confirme la volonté mutuelle des deux gouvernements de coopérer dans l’espoir que la décontamination puisse commencer en juillet 2011 et être terminée en octobre 2013. »

    Non seulement c’est dans six mois, mais ce qui est concerné ici c’est une base utilisée par l’armée américaine, à Danang, un de trois grands sites contaminés. Quant à l’expression « dans l’espoir »… On voit bien ici le problème. SUITE


     

    L’agent orange de Monsanto utilisé pour déboiser la forêt amazonienne

     

     Qu’est ce que “l’agent orange”

     

    L’Agent Orange est l’une des armes de guerre moderne les plus dévastatrices qui soit, un produit chimique qui a tué ou blessé 400 000 personnes (selon les estimations) durant la guerre du Vietnam – et elle est maintenant utilisée contre la forêt amazonienne. Selon des déclarations officielles, des fermiers au Brésil ont commencé à avoir recours à l’épandage de cet herbicide hautement toxique pour déboiser plus discrètement, cette méthode étant plus difficile à détecter que des tronçonneuses et des tracteurs. Durant les semaines passées, des observations aériennes ont révélé que le composé chimique a été vaporisé sur près de 180 hectares de forêt pluviale – empoisonnant des milliers d’arbres et un nombre indéterminé d’animaux, potentiellement pour des générations. SUITE

     

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    Des enfants-rois? Vraiment?

     

    Je suis chaque fois bien étonné, après plus d’une centaine de jours de conflit étudiant, de lire encore sur les réseaux sociaux différents commentaires des plus clichés empreints de mépris et de condescendance envers les étudiants.

     

    Parfois, on les définit comme des enfants-rois, d’autres fois comme des profiteurs du système. Cette grande faiblesse dans l’argumentaire de certains démontre que, la plupart du temps, ce débat est émotif avant d’être rationnel. En fait, il suffit de comparer un peu la situation des jeunes d’aujourd’hui avec celle de leurs prédécesseurs pour voir le caractère totalement non fondé de certaines de ces affirmations. Alors que leurs parents ont bénéficié d’une scolarité quasi gratuite, ont eu accès à des services publics gratuits, militent ardemment pour des baisses d’impôts et souhaitent une retraite dorée payée par ces générations qui les suivront, les étudiants d’aujourd’hui eux, se verront coup sur coup imposer une hausse des frais de scolarité, des hausses de tarifs, devront prendre leur retraite beaucoup plus tard, devront probablement accepter sans broncher une tarification de certains services publics, et devront à eux seuls rembourser la dette que leurs prédécesseurs leur auront léguée. Et on ose les traiter d’enfants-rois, d’enfants gâtés? Vraiment?

     

    En fait, il est tout à fait remarquable que, même si l’avenir des jeunes Québécois peut paraître sombre, plusieurs d’entre eux acceptent encore de se battre pour réussir à se tailler une place de choix dans la société. Ils ne l’auront pas facile, il faut l’admettre. La démographie joue contre eux. Il sera toujours plus payant électoralement pour un gouvernement d’élaborer des programmes d’aide aux aînés plutôt que d’investir dans la jeunesse et ça, le gouvernement Charest l’a rapidement compris. Mais une véritable administration responsable ne devrait-elle pas plutôt faire fi des considérations partisanes, s’élever au-dessus de la mêlée et avoir une vision d’avenir?

     

    Plutôt que d’agir en visionnaire, Jean Charest a usé de stratégies politiques pour tenter de faire oublier ses fiascos successifs. Diviser pour mieux régner. Tel est son adage actuel. «Politiquement, nous ne pouvons pas nous permettre un tel compromis», a laissé tomber la ministre Courchesne lors de ses pourparlers avec les étudiants. L’affirmation en dit long. Pour les libéraux, le dossier du conflit étudiant n’est devenu qu’un jeu politique. Je crois même que certains députés et ministres libéraux devaient souhaiter secrètement qu’il n’y ait pas d’entente pour pouvoir continuer à surfer sur cette vague de loi et d’ordre. Malheureusement, ça semble bien fonctionner. Une frange de la population paraît bien gober les demi-vérités et les bobards colportés par le gouvernement.

     

    La stratégie de Jean Charest est facile à cerner. Il tente de démoniser le camp des étudiants en les présentant comme des écervelés violents et égocentriques qui croient que tout leur est dû. Il a la même attitude envers le Parti québécois. Actuellement, face à l’impasse dans le dossier, aucune issue ne semble possible. La formation politique de Pauline Marois ayant exhorté le premier ministre de trouver une piste d’atterrissage satisfaisante pour les deux parties s’est rapidement fait accuser de vouloir augmenter les impôts. «Impôts», ce mot qui fait tant frémir dans les chaumières du Québec. Quoiqu’il en soit, je suis profondément convaincu que si l’on disait au Québécois que leurs impôts seront augmentés de 5%, mais qu’en revanche, ils n’attendront plus 12 heures pour se faire soigner dans les urgences et qu’ils n’auront plus à avoir de craintes que des viaducs leur tombent sur la tête, la très vaste majorité de la population serait en faveur d’une telle hausse.

     

    Mais devant tant d’incurie et d’incompétence à gérer le Québec, même les plus gauchistes d’entre nous peuvent avoir des réticences à devoir plonger davantage leurs mains dans leurs poches. C’est d’ailleurs très compréhensible. Qui veut payer pour des contrats très lucratifs donnés à des membres de la mafia ou pour des garderies offertes aux amis du régime? Par contre, une hausse d’impôts pour les mieux nantis serait sans doute davantage de l’ordre de la juste part demandée à chacun. Mais comme plusieurs d’entre eux sont de grands argentiers du Parti libéral…

     

    Bon, comme je suis à l’aube de la trentaine, probablement qu’on me taxera à mon tour d’être un de ces enfants-rois, même si je suis sur le marché du travail et que mes préoccupations premières sont envers les générations qui me suivront. Pour certains, les débats sains et l’argumentation solide semblent être un horizon inatteignable. Il est néanmoins impératif qu’en tant que société, nous soyons en mesure de voir à un épanouissement collectif de toutes les strates, plutôt que de tenter de diviser les citoyens sur les enjeux ponctuels.

     

    À court terme, nous ne pouvons que souhaiter des élections rapides pour tenter d’assainir ce climat vicié par tous les multiples conflits et scandales qui ont meublé les dernières années. Et pour l’avenir, souhaitons-nous des gouvernements rassembleurs, inspirants et inspirés. Lamartine a écrit : «Ce qui peut créer dédaigne de détruire». Le temps est venu, au Québec, de commencer à faire place aux créateurs. L’ère de la division et de la destruction doit être révolue. Ça presse!

     

    Diplômé en journalisme, l’auteur est enseignant au niveau primaire dans la région métropolitaine. Il effectue aussi actuellement des études en création littéraire à l’UQAM.

     

    Source: La Presse JERRY BEAUDOIN Enseignant au primaire

     

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