• Vaccin coqueluche : Encore un vaccin dont on doute de l’efficacité à long terme

     

    Vaccin coqueluche : Encore un vaccin dont on doute de l’efficacité à long terme

     

    Encore un vaccin dont on doute de l’efficacité à long terme

    En 2010, ne épidémie de coqueluche a tué onze nourrissons et affecté plus de 8 000 personnes, dans le comté de Marin, en Californie. La plus grande partie des enfants touchés par l'épidémie étaient vaccinés et avaient de huit à douze ans.

    Ce fait divers a occasionné une étude menée sur 15 000 enfants par l’équipe du Dr David Witt, infectiologue au Kaiser Permanente Medical Center de San Rafael, qui vient d’être publiée, et signale que « cette vulnérabilité correspondait à une période de trois ans et plus depuis la dernière dose de rappel du vaccin ». Les chercheurs ont constaté que la plus grande partie des enfants touchés par l'épidémie dans ce comté étaient vaccinés. « Ces enfants avaient ainsi jusqu'à vingt fois plus de probabilités d'être infectés que ceux dont le dernier rappel de vaccination était plus récent » et les plus touchés étaient les enfants âgés de 8 à 12 ans.

    Ce qui n’a pas empêché le Dr Witt de préciser que même si le vaccin perdait de son efficacité, il fournissait « une très bonne protection les deux ou trois premières années ».

    Aux États-Unis, le vaccin contre la coqueluche est administré à 2 mois, 4 mois, 6 mois, entre 15 et 18 mois puis à 5 ans et à nouveau à 12 ans. Un rappel est également recommandé pour les adultes, particulièrement pour les professions en contact étroit avec des enfants.

    En France, les nourrissons sont vaccinés dès l'âge de 2 mois, avec une deuxième injection à 3 mois, et une troisième à 4 mois et subissent des rappels entre 16 et 18 et mois, puis entre 11 et 13 ans. à présent, on conseille aux couples ayant un projet parental ainsi qu'aux femmes enceintes, et plus généralement à toute personne en contact avec un nourrisson, de faire aussi un rappel. Et chez nous, selon le Haut Conseil de la santé publique, et parce que nous sommes meilleurs que les autres, l'immunité ne diminue qu’au bout de dix ans.

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    Cette publication va renforcer les arguments de ceux qui refusent la vaccination et dont le nombre augmente chaque jour. En Californie c’est le cas de 3 à 10 % des parents. Les accidents récents qui sont signalés partout à travers les États-Unis font grandir la défiance envers la vaccination, tout comme cela se passe aussi en France. Des études vont être menées de chaque côté de l’Atlantique pour vérifier si les mêmes résultats ont été observés ailleurs, mais rien ne prouve que ces études ne seront pas biaisées puisqu’elles lèsent gravement les fabricants de vaccins qui persistent à affirmer que la résurgence des maladies infectieuse est due au « faible taux de vaccinations » alors qu’en moyenne la couverture vaccinale dépasse les 95 %.

    Mais le constat de non efficacité de ce vaccin n’est pas récent et la coqueluche reste endémique dans certaines régions malgré une couverture vaccinale importante comme ce fut le cas en Afrique du Sud en 1988-89 (cf. J. Trop. Pediatr. vol 37 - 1991). « L’efficacité du vaccin ne peut être considérée comme acquise », reconnaissait en 1994 le New England Journal of Medicine (vol 331-1994-p.16). Aux États-Unis, dans le Massachusetts, 218 étudiants furent atteints par la coqueluche en 1993, alors que 96 % d’entre eux étaient vaccinés.

    Le vaccin anticoquelucheux a fait disparaître les symptômes de la maladie qui, aujourd’hui, n’existe presque plus sous sa forme habituelle, mais il a fait apparaître des formes différentes de la maladie qui atteignent à présent les adultes et les adolescents avec plus de gravité la plupart du temps. La coqueluche est devenue une maladie de l'adulte.

    Non seulement ce vaccin apparait comme inutile, mais il présente de nombreux effets secondaires. Depuis belle lurette, les Allemands l’ont supprimé de leur calendrier vaccinal car pour eux, la régression de la coqueluche n'a rien à voir avec la vaccination qui présente plus de dangers que la non vaccination. Le 11 décembre 1975, le professeur Ehrengut, qui a étudié les complications de la vaccination depuis 35 ans, affirmait qu'elles sont largement sous-estimées (cf. Quick-Nachrichten, n° 51).

    En Grande-Bretagne, en 1976, les parents d'enfants gravement handicapés par le vaccin menèrent des procès retentissants pour réclamer des indemnisations. Le gouvernement accorda une indemnité forfaitaire de 10 000 livres aux victimes invalides à plus de 80 %, indemnité à laquelle devait succéder un versement d’indemnités régulières. Mais, comme le signale le Sunday Times du 21 juillet 1985, Mme Thatcher, alors premier Ministre, ne donna pas suite au projet, et la Cour Suprême estima que les pressions des parents n’étaient pas justifiées.

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    C’est en différant la vaccination contre la coqueluche après l’âge de deux ans, que les Japonais ont constaté une baisse très importante de la mort subite et inexpliquée du nourrisson, ce qui prouverait bien que le vaccin joue effectivement un rôle dans le syndrome (cf. J. D. Cherry « Pertussis vaccine encéphalopathie », Jama - 1990).

    D’après Trevor Gunn, médecin anglais, lors d’une baisse de la vaccination contre la coqueluche en 1982 et l’apparition simultanée de quelques cas, les officiels de la Santé du Maryland aux États-Unis avaient conclu à une épidémie de coqueluche à virus sauvage (cf. The International Vaccination Newsletter, décembre 1995). J. Anthony Morris, bactériologiste au Walter Reed Army Institute of Research, expert en maladies d’origine bactérienne et virale à l’université du Maryland, a analysé ces cas. Dans le Maryland, cinq cas sur quarante et un furent confirmés comme étant la coqueluche alors que les sujets avaient été vaccinés. Même constat dans le Wisconsin, où les seize cas confirmés concernaient, de nouveau, des sujets vaccinés (cf. The International Vaccination Newsletter - décembre 1995). Voilà de nouveaux constats qui démontrent, s’il était encore nécessaire, que le danger de contagion vient des vaccinés et non de ceux qui refusent ces vaccinations.

    En Suède, la baisse de mortalité due à la coqueluche n’a pas été modifiée par l’introduction du vaccin mais, lorsque celui-ci fut retiré à cause de ses effets secondaires, le taux de mortalité n’en continua pas moins de baisser. C’est en 1979 que ce pays a abandonné la vaccination contre la coqueluche, pour deux raisons. D’abord parce que des épidémies survenaient parmi les populations parfaitement vaccinées, ensuite à cause des nombreux effets secondaires dus au vaccin, particulièrement les atteintes cérébrales (cf. British Med. Journal - vol 320 - n° 2 - 1967).

    En 1984, le Laboratoire britannique de recherche épidémiologique a publié une étude qui conclut : «
    Depuis le déclin de la vaccination anticoquelucheuse, les admissions dans les hôpitaux et les cas de décès dus à la maladie ont décliné de manière inattendue. »
    Nombre de publications, la plupart en anglais, ont évoqué les effets nocifs du vaccin anticoquelucheux et elles sont suffisamment nombreuses pour que le lecteur s’interroge sérieusement sur la validité d'une telle vaccination face à une maladie infantile bénigne, mais il ne peut compter sur nos instances de santé pour l’informer en toute indépendance.

    Source: Sylvie Simon

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