• Homéopathie : Comment cela fonctionne

     

     

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    Quelques précisions sur la façon dont fonctionne l’homéopathie et que certains d’entre nous ignorent encore

    À l’encontre de la tendance dominante de la médecine allopathique, l’homéopathe considère que le corps possède en lui la force de générer un processus naturel de guérison et qu’il est plus important de trouver les moyens de stimuler le processus naturel de guérison inhérent à tout organisme vivant que de connaître la cause spécifique de la maladie ou même son nom.

    Ainsi, afin de découvrir tous les symptômes du patient pour déclencher ou soutenir le processus de guérison, le praticien cherchera donc à savoir quand et comment les symptômes se manifestent, les heures où ils apparaissent, ce qui les intensifie ou les amoindrit.

    Par conséquent, plusieurs patients souffrant de la même maladie se voient souvent prescrire des remèdes homéopathiques différents parce que leurs symptômes spécifiques ne sont pas identiques et que leur « constitution » diffère.

    L’homéopathie est donc basée sur la loi de similitude, principe qui remonterait à Hippocrate, selon lequel le semblable guérit le semblable. C’est ce principe qui a donné son nom à l’homéopathie, des mots grecs homeo et pathos signifiant respectivement « similaire » et « souffrance ». La loi de similitude est contraire  à l’approche médicale classique qui se base sur des médicaments dont le but est d’éliminer les symptômes ou de détruire les agresseurs. Dans le mot « allopathie », allo signifie « différent ».

     

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    Afin de potentialiser leurs effets curatifs, les remèdes homéopathiques sont dilués plusieurs fois dans de l’eau ou dans un mélange d’eau et d’alcool, au point qu’on n’y trouve habituellement plus de trace chimique des molécules qui composaient la substance originale. Et entre chaque dilution, on secoue fortement le remède — ce que les homéopathes appellent « succussions » — dans le but de le « dynamiser », ce qui est absolument essentiel pour l’efficacité du produit. Suivant le principe des hautes dilutions, plus grand est le nombre de dilutions, plus puissant est le remède, bien qu’il contienne de moins en moins de molécules.

    Or, ce procédé des hautes dilutions va à contre-courant de la pharmacologie moderne qui se fonde sur l’activité biologique de molécules précises. Du point de vue du chimiste, tout effet thérapeutique est attribuable à des molécules spécifiques, alors que dans la majorité des préparations homéopathiques, on ne trouve plus ces molécules. C’est sur ce point majeur que l’homéopathie est attaquée par la médecine allopathique qui considère ses effets comme des placebos.

    En 1994, le Lancet (n°344) a publié les résultats d’une étude qui montre la supériorité significative du remède homéopathique sur le placebo dans les cas d’asthme allergique, puis en 1997, la même revue publiait trois études qui confirmaient l’effet des hautes dilutions dans la même indication. Ces études, qui correspondaient parfaitement à tous les critères imposés et auraient validé n’importe quelle substance chimique, étaient commentées par deux « scientifiques » qui ne « croyaient » pas en l’homéopathie et ses effets biologiques. Ils déclaraient donc que ces résultats ne « pouvaient être interprétés ». L’un d’eux estimait même que ces résultats devraient avoir des « implications sur la confiance accordée aux essais cliniques en général ».

     

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    Pourtant, le Pr Jacques Benvéniste, tellement critiqué et jalousé, a déjà prouvé que ce n’est pas la matière qui agit pour la mémoire de l’eau, mais le rayonnement, la vibration. Comme il le fait remarquer dans son traité Ma vérité sur la Mémoire de l’eau, les biophysiciens décrivent les fréquences de vibration spécifiques des molécules simples comme une caractéristique physique essentielle de la matière, alors que les biologistes n'envisagent même pas que des rayonnements électromagnétiques puissent jouer un rôle dans les fonctions moléculaires elles-mêmes. « On ne trouvera les mots “fréquence” ou “ signal” (au sens physique du terme) dans aucun traité de biologie, et encore moins “EM”, cause d'excommunication par le Saint-Office Scientifique du biologiste qui en ferait usage », écrivait-il. 

    Cette théorie permet d’expliquer et d’inscrire dans le corpus des sciences le mode d’action des dilutions homéopathiques et annonce une révolution qui, tôt ou tard, bouleversera la médecine classique, uniquement fondée sur la chimie, alors que la physique quantique a révolutionné notre conception de l’univers.

    Les « rationalistes » qui éclatent de rire lorsqu’on leur parle de « mémoire de l’eau », devraient savoir que Benveniste n’a pas été le premier à démontrer le principe de la mémoire de l’eau. Avant lui, il y a eu le Pr G. Picardi de l’université de Florence, le Pr C. Capel Boute de l’université de. Bruxelles, une équipe de l’université de Milan, Claudine Luu et Dang Vinh Luu de l’université de Montpellier, C.W. Smith de l’université de Salford-Manchester et bien d’autres.

    De très nombreux scientifiques de haut niveau ont reproduit avec succès les travaux de Jacques Benvéniste. Toutefois, l’article de Nature qui a fait couler beaucoup d’encre et da déclenché des polémiques qui durent encore, n’est pas la première publication de Benvéniste sur la mémoire de l’eau et les hautes dilutions. En 1987, des résultats similaires furent publiés dans l’European Journal of pharmacology et en 1988 dans le British Journal of Clinical Pharmacology, sans provoquer des réactions aussi vives.

     

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    Plus tard, le Dr P.C. Endler et son équipe du Ludwig Boltzman Institut für Homöopathie-Graz-Autriche auraient confirmé des points fondamentaux de la théorie de Benveniste sur la mémoire de l’eau. Ils ont été publiés avec le soutien du Ministère Autrichien de la Science et de la Recherche.

    À son tour, l’association de quatre laboratoires de recherche indépendants, en France, Italie, Belgique et Hollande, dirigée par le Pr M. Roberfroid de l’Université Catholique de Louvain, en Belgique, a utilisé une version améliorée des expériences originales de Benveniste pour étudier un autre aspect de l’activation des basophiles. Trois des quatre laboratoires impliqués dans l’expérimentation ont conclu à une inhibition statistiquement significative de la dégranulation des basophiles par les solutions fantômes d’histamine par rapport aux solutions témoins. Le quatrième laboratoire donna un résultat presque significatif, donc le résultat global des quatre laboratoires était en faveur des solutions fantômes d’histamine.

    Une analyse cytométrique par flux de l'activation des basophiles, « Inhibition par l'histamine à des concentrations conventionnelles et homéopathiques », menée par V. Brown et M. Ennis, du Département de Biologie clinique de l'Institut des Sciences Cliniques de l'Université Royale de Belfast confirma à son tour les travaux de Jacques Benvéniste.

     

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    En juin 2008, la conférence Molecular Self-Organization in Micro-, Nano-, and Macro-Dimensions : From Molecules to Water, to Nanoparticles, DNA and Proteins fut organisée par l’Académie des sciences d’Ukraine à l’institut de physique théorique Bogolyubov en Ukraine. Trois chercheurs, Allan Widom (du département de physique de l’université de Boston aux États-Unis), Yogi Srivastava (du département de physique de l’université de Pérouse en Italie), et Vincenzo Valenzi (du centre de recherche CIFA à Rome, Italie) ont présenté leurs travaux qui montrent que l’activité biochimique de plus de cinquante systèmes biochimiques et même de bactéries peut être induite par des signaux électromagnétiques transmis au travers de solutions aqueuses (ce qui exclut l’eau pure et les dilutions éliminant statistiquement toute molécule). Les sources de ces signaux électromagnétiques sont des « enregistrements » de ces activités biologiques spécifiques. Pour les auteurs de cette étude, ces résultats suggèrent que l’information biochimique pourrait être stockée dans les molécules d’eau d’une manière totalement analogue à l’enregistrement d’informations sur un disque dur sous la forme de moments magnétiques.

    Quant aux professeurs Pang Xiao-Feng et Deng Bo, de l’Institute of Life Science and Technology, University of Electronic Science and Technology of China de Chengdu, ils décrivent un effet qu’ils nomment « magnetic water’s memory effect » (effet magnétique de la mémoire de l’eau). Sous l’action d’un champ magnétique, ils observent des modifications permanentes des propriétés physiques de l’eau — notamment l’absorption de la lumière dans l’infra-rouge et l’ultra-violet — ainsi qu’une diminution de l’hydrophobie de l’eau.

     

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    Déjà, en 1996, quatre chercheurs, issus de disciplines scientifiques aussi différentes que la physique et les mathématiques, sont parvenus à démontrer la validité des hautes dilutions homéopathiques. Pendant dix ans, sans financement des laboratoires et « simplement pour l’amour de la science », ils ont observé et mesuré les rayonnements bêta émis par les solutions homéopathiques. Leurs travaux – Théories des hautes dilutions et aspects expérimentaux – publiés par les éditions Polytechnica, auraient dû révolutionner la biologie, car leurs théories ouvrent enfin la porte à une nouvelle approche des êtres vivants. Lorsque la matière disparaît, elle laisse ce que les auteurs appellent un « trou blanc », par opposition au « trou noir » dans lequel la matière est « superdense ». Ceci implique que pour tout niveau de dilution, des ondes rémanentes de nature neutronique sont créées et réorganisent la structure du solvant. Ainsi, une solution diluée dynamisée contiendrait des ondes rémanentes en quantité proportionnelle à la densité de matière ayant disparu, et dont la fréquence est caractéristique de cette matière. Ce ne serait pas la molécule chimique qui produirait un effet, mais le signal lumineux qu’elle envoie aux cellules malades. Ce signal lumineux posséderait une fréquence qui lui permettrait d’agir sur l’ADN.

    Commentaire du professeur de biologie Dominique Padirac, dans Santé magazine de décembre 1996 : « S’il ne reste que de l’eau dans une dilution en 12 CH, cette eau est porteuse de réels pouvoirs observés au compteur de radioactivité et à la résonance magnétique nucléaire, les solutions homéopathiques émettent des rayonnements bêta caractéristiques ».

    Un dernier événement peut changer bien des réticences à l’égard de l’homéopathie. Il s’agit de la prise de position d’un prix Nobel de Médecine — certains y sont très sensibles —, celle du Pr Luc Montagnier qui a repris les travaux de Benveniste et confirme ses découvertes.

     

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    Lors d’une conférence qui eut lieu à Lugano le 27 octobre 2007, le Pr Montagnier n’a pas hésité à annoncer : « Cette conférence est un hommage à Jacques Benveniste, qui était un de mes collègues. Au début, je ne l'ai pas suivi dans ses percées tout à fait nouvelles, mais il se trouve que mes travaux sur le virus du sida ont conduit à me rapprocher de ses idées ». Il révéla alors que lorsque du sang infecté était filtré de telle façon que plus aucune bactérie ni virus ne pouvait subsister dans la solution, certaines structures vivantes réapparaissaient spontanément après une vingtaine de jours. Et d’ajouter que « l'information génétique peut-être transmise de l'ADN à quelque chose qui est dans l'eau ».

    Dans son dernier livre Les Combats de la vie paru en Février 2008, il confirme que la biologie moléculaire a atteint des limites et n'explique pas tout. « Certains phénomènes, comme l'homéopathie, restent mystérieux. Je fais allusion à certaines idées de Jacques Benveniste (le scientifique qui a inventé "la mémoire de l'eau") car j'ai récemment rencontré des phénomènes que seules ses théories semblent pouvoir expliquer. Je pars d'observations, pas de croyances. Certaines choses nous échappent encore, mais je suis convaincu qu'on saura les expliquer de la manière la plus rigoureuse. Encore faut-il pouvoir mener des recherches à ce sujet ! Si l'on commence par nier l'existence de ces phénomènes, il ne se passera rien. »

    Ces déclarations sans ambiguïté n’ont quasiment pas été relayées par la presse car elles exhortent les scientifiques à la modestie, et montrent que les travaux de Benveniste pourraient bouleverser la biologie comme la mécanique quantique l’a fait pour la physique.

    Le 27 octoble 2007, à la conférence de Lugano Nano-elements from pathogenic microorganisms, Luc Montagnier émit l’hypothèse de l’existence dans l’eau de nano-structures relativement stables capables de mémoriser au moins partiellement une information génétique. Cette hypothèse expliquait une expérience que Montagnier présenta comme parfaitement validée par son équipe : le plasma sanguin est capable d’émettre par résonance des signaux électromagnétiques caractéristiques témoignant que ce plasma a été mis en contact avec certains virus ou bactéries malgré l’absence de ces virus ou bactéries, celles-ci ayant été totalement filtrées. Écartant totalement l’idée d’une fraude de Jacques Benveniste, Luc Montagnier signala également que les expériences sur la mémoire de l’eau obtenaient « des résultats exacts mais qui étaient difficilement reproductibles ».

    En janvier 2009, Luc Montagnier publia un article avec Jamal Aïssa, ancien collaborateur de Jacques Benveniste, qui montre que certaines bactéries émettent, dans des solutions aqueuses, un signal électromagnétique spécifique comparable à ceux que Benveniste étudiaient en 1996. Ces signaux restent présents dans ces solutions à haute dilution alors qu'il n'existe plus la moindre molécule autre que de l'eau à de telles dilutions.

     

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    Ainsi, en filtrant bactéries et virus, on obtient une solution qui ne contient plus aucune structure vivante, ni ADN. Pourtant en 8 à 21 jours, cette solution présente à nouveau les virus ou autres mycoplasmes de départ. Contrairement à toute attente, plus on dilue, mieux le signal apparaît.

    Tous ces travaux devraient faire réfléchir ceux qui cherchent à décrédibiliser l’homéopathie par des moyens aussi stupides que non-scientifiques.

    Ainsi, en octobre 2004, l’Académie de Médecine réclamait l’arrêt du remboursement des préparations homéopathiques sous le prétexte que : « L’homéopathie est une méthode imaginée il y a deux siècles, à partir d’a priori conceptuels dénués de fondement scientifique. Elle a vécu jusqu’à maintenant comme une doctrine à l’écart de tout progrès et un secteur marginal complètement en dehors du remarquable mouvement scientifique qui a bouleversé la médecine depuis deux siècles en faisant de celle-ci un secteur essentiel de la vie de l’humanité. » En effet, la médecine a accompli le remarquable exploit d’avoir médicalisé la santé et fait de tout bien portant un malade qui s’ignore. Doit-on vraiment s’en réjouir ?

    Et l’Académie semble surprise que « cette méthode obsolète continue à avoir de nombreux partisans », car, pour elle, « la plupart des produits homéopathiques sont présentés abusivement comme efficaces dans des secteurs variés. Ici il faut souligner qu’ils se placent dans une illégalité totale. En effet, le Code de la santé spécifie qu’un médicament doit présenter un “intérêt thérapeutique”, et la preuve de cet intérêt doit être fournie par une succession d’essais pharmacologiques et cliniques y compris des comparaisons en double-aveugle. »


     

     

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    Cette docte Académie devrait parfois lire certaines parutions scientifiques qu’elle semble totalement ignorer et qui montrent bien la validité de cette technique thérapeutique. Elle passe également sous silence le fait que des centaines de milliers de gens se soignent ainsi à travers le monde et en sont satisfaits, tout comme elle préfère oublier le nombre incalculable et pourtant grandissant de médicaments pourvus d’AMM (Autorisation de mise sur le marché) qui sont retirés du commerce après avoir rendu malades ou tué de nombreux « consommateurs » en toute légalité, ce qu’elle ne peut plus feindre d’ignorer.

    Il est consternant de constater le tissu de mensonges et de mauvaise foi qui entoure l’homéopathie. Ainsi, le Lancet, qui avait annoncé en 1994 (n° 344) les résultats d’une étude démontrant la supériorité significative du remède homéopathique sur le placebo dans les cas d’asthme allergique, publiait, en 1997, trois études qui confirmaient l’effet des hautes dilutions dans la même indication. Ces études, qui correspondaient parfaitement à tous les critères imposés et auraient validé n’importe quelle substance chimique, étaient commentées par deux « scientifiques » qui ne « croyaient » pas en l’homéopathie et ses effets biologiques, ce qui leur a permis de déclarer, très « scientifiquement » dans le même journal, que ces résultats ne « pouvaient être interprétés ». L’un d’eux s’en expliquait en alléguant que ces résultats pourraient avoir des « implications sur la confiance accordée aux essais cliniques en général ». Cette déclaration met l’accent sur la mauvaise foi de certains scientifiques, alors que les essais cliniques ne seront pas remis en cause, car toute la médecine moderne s’appuie sur eux.

    Tous ces exemples nous prouvent bien que l’objectivité n’existe pas en médecine classique, puisque les médecines alternatives sont écartées et leurs études discréditées par les gardiens du dogme allopathique qui détiennent tous les postes clefs du milieu médical, mais n’utilisent pas les bons instruments pour étudier et mesurer le fonctionnement de l’homéopathie.
     

     Source: http://www.sylviesimonrevelations.com/article-homeopathie-comment-cela-fonctionne-67234177.html

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