• Vaccins ! Témoignages de Victimes

     

    Cette rubrique sera consacrée aux témoignages de victimes de la vaccination et des thérapies iatrogéniques.

    Si vous avez été une de ces victimes, ou quelqu'un de votre entourage, vous pouvez nous envoyer votre histoire.

    Les témoignages doivent être les plus lapidaires possibles mais argumentés. Ceux qui ont été attestés dans des revues ou des journaux peuvent également être mis en ligne avec le lien correspondant.

    Vous pouvez accepter ou refuser que votre nom soit cité. Si vous refusez, seules vos initiales seront inscrites. Si vous acceptez vous devrez également donner votre autorisation de mise en ligne à la fin de votre témoignage (elle ne sera pas mentionnée dans l'article). 

    Pour éviter les abus ou un pseudo-témoignage le mail devra être nominatatif avec une adresse valide, sans quoi le témoignage ne sera pas diffusé.

    En cas de procédure en cours aucun élément du dossier ne doit y figurer ni les noms des intéressés.

    Merci pour votre compréhension.

     

    Alexander Horwin a reçu 16 injections de vaccins avant l’âge de 17 mois.

     

    Accueil

     

     Dès l’âge de quatre mois, après ses premiers vaccins, il a manifesté des troubles du sommeil, une grande nervosité, pleurant et criant plusieurs fois par nuit, avec des périodes de spasmes et de convulsions. Ensuite apparurent des infections aux oreilles et des maux de ventre, mais le pédiatre ne cessait d’affirmer aux parents qu’il n’y avait pas lieu de s’inquiéter. Lorsqu’il eut un an, ses jambes se couvrirent d’eczéma. Le pédiatre rassura à nouveau les parents et ordonna de la crème à la cortisone qui ne fit aucun effet. L’enfant reçut bien évidemment ses rappels de vaccins et, lorsqu’il commença à vomir, le pédiatre prétendit qu’il avait une infection virale, diagnostic confirmé par un spécialiste. 

    Lorsque Alexander eut deux ans, on découvrit qu’il était atteint d’un cancer au cerveau, un médulloblastome. Après deux opérations qui ont duré 16 heures, ses parents furent contraints par le gouvernement de le soumettre à la chimiothérapie. Trois mois plus tard, encore sous chimio, l’enfant décédait d’un sarcome leptoméningé. 

    Pour un article qui a paru à l’époque dans le magazine Votre Santé, j’ai posé dix questions à sa mère, Raphaele Moreau-Horwin, qui est d’origine française mais vit aux États-Unis, mariée avec un Américain.
     
    Comment votre fils a-t-il pu avoir un cancer si jeune ?
    Il n’existe aucun antécédent de cancer dans nos deux familles qui ont toujours bénéficié d’une grande longévité. Mes grands parents n’étaient pas vaccinés, ma mère a reçu un seul vaccin, j’en ai eu sept, mon fils en a eu beaucoup trop. Alexander était grand et fort pour son âge, sa nourriture était saine, nous ne vivons pas près d’un site nucléaire, nous n’utilisons pas de pesticides. En dépit de notre désespoir, nous nous sommes lancés dans une enquête quasiment policière, lisant des milliers d’articles dans la littérature médicale. Un jour, en consultant le carnet de santé de notre fils, j’ai pris conscience de la quantité énorme de vaccins qu’il a reçus avant de développer son cancer. Que contenaient ces vaccins et quels étaient leurs effets secondaires ?
     
    Comment avez-vous établi le lien entre les vaccins et le cancer ?
    Nous avons découvert qu’aucun des vaccins administrés aux enfants n’a fait l’objet d’études sur leurs risques carcinogènes et nous avons identifié six manières dont la vaccination peut induire un cancer, directement ou indirectement. Les cancers des enfants augmentent dans des proportions inquiétantes, pourquoi les « autorités » ne mènent-elles pas des études sérieuses sur ce sujet ? La réponse est très simple : l’argent. La recherche médicale est financée par les compagnies pharmaceutiques et le gouvernement (grâce à nos impôts). Les deux parties ont tout intérêt à maintenir la situation telle qu’elle est actuellement. Pourquoi un laboratoire ferait-il des études pour prouver que les produits qu’il vend risquent de causer des cancers ?
     
    La médecine classique n’a jamais admis que les vaccins pouvaient être carcinogènes.
    Personne ne peut répondre à cette question car aucune étude n’a été menée en ce sens, pas plus que sur leurs risques mutagènes ou tératogènes. Or, les vaccins contiennent des substances carcinogènes. Ainsi, si vous téléphonez à l’Association américaine des pédiatres en leur demandant quelle est la dose maximum de dérivés de mercure, d’aluminium ou de formaldéhyde qui peut être tolérée par l’organisme d’un enfant, ils vous répondront que toute dose est dangereuse car ces substances sont toutes potentiellement carcinogènes. Or, elles se trouvent dans la plupart des vaccins. Si vous injectez vous-même ces produits à vos enfants, vous irez en prison mais si les médecins le font, ils ne risquent rien.
     
    Certains virus eux-mêmes sont réputés être carcinogènes.
    Le rapport entre certains virus et certains cancers est un fait médicalement accepté. Il existe des dizaines de milliers de virus mais bien peu ont subi des tests pour détecter leur pouvoir carcinogène. En outre, des virus peut être sans danger par eux-mêmes mais peuvent devenir redoutables lorsqu’ils sont combinés avec d’autres. On les appelle des « virus helper ». Et lorsque vous savez qu’on injecte des bactéries et des virus cultivés sur des tissus animaux tels que ceux des singes qui contiennent leur propre population de virus, il est difficile de savoir ce qui se trouve dans la « soupe » vaccinale qui sera introduite dans le corps sain de votre enfant.
     
    De toute manière, le fait que les vaccins peuvent causer des lésions temporaires ou permanentes du cerveau est établi.
    Les fabricants de vaccins eux-mêmes l’admettent. Ainsi; Lederle, fabricant du vaccin tétanos-diphtérie-coqueluche le signale dans son mode d’emploi. « Des séquelles neurologiques durables et des décès ont été rapportés » signale le P.D.R., équivalent du Vidal français mais plus complet, dans son édition de 1997.
     
    Comment un médulloblastome a-t-il pu céder la place à un sarcome leptoméningé ?
    La plupart des drogues contenues dans les chimiothérapies sont bien connues pour leurs effets carcinogènes et mutagènes et la FDA le reconnaît. Cependant, chaque jour, des centaines d’enfants reçoivent ces substances mortelles. Le système immunitaire d’Alexander, affaibli par la chimiothérapie qui lui a été imposée et qui était fabriquée par le laboratoire qui fabrique aussi les vaccins, n’a pas eu la force de combattre ce nouveau cancer.
     
    Une analyse du tissu tumoral prélevé dans le cerveau de votre enfant a révélé la présence du virus simien SV 40. Il est évident qu’on ne peut plus évoquer une « coïncidence » entre la vaccination et le cancer. Le SV 40 n’est pas arrivé « par hasard » dans le cerveau de l’enfant ! 

    Au cours des années 50 et 60, le vaccin antipolio qui a été injecté à des millions d’enfants était pollué par un virus simien qu’on a appelé SV 40 et ce virus était carcinogène. Le vaccin fut ensuite retiré de la vente mais aujourd’hui, on retrouve ce virus dans de nombreux cancers dont des cancers du cerveau. Le SV 40 est souvent associé au médulloblastome, la plus fréquente des tumeurs du cerveau en pédiatrie. Est-ce une coïncidence ? Je ne le crois pas. On a découvert que le SV 40 peut se transmettre d’une génération à l’autre.
     
    On trouve aussi le SV 40 dans des mésothéliomes (cancer des poumons) et des ostéosarcomes (cancer des os).
    En 1997, au cours d’une conférence sur le SV 40, des chercheurs ont considéré « l’énorme augmentation dans l’incidence des mésothéliomes dans la seconde partie du vingtième siècle qui a coïncidé avec l’inoculation malencontreuse de millions de personnes avec le vaccin antipolio contaminé par le SV 40 ». Ils ont ajouté qu’on trouve davantage de tumeurs cérébrales chez les vaccinés que chez les non vaccines. Aussi se pose une question fondamentale : Le SV 40 des années 50 serait-il de retour ? Les parents transmettent-ils le cancer à leurs enfants ? Le cancer est souvent associé à une déficience immunitaire. Mais les vaccins aussi peuvent engendrer les mêmes déficiences. Les scientifiques commencent à comprendre que l’inoculation de billions de virus dans un organisme est un événement anormal qui engendre dans le corps une réaction anormale. Si le système immunitaire réagit fortement à la soudaine invasion de billions de virus, il peut ne plus être capable ensuite de faire face à une autre agression tel un cancer.
     
    Il faudrait donc vérifier l’état du système immunitaire avant toute vaccination.
    Les fabricants de vaccins avouent qu’on ne devrait pas vacciner un enfant qui ne présente pas une réponse immunitaire satisfaisante. Mais il y a là une contradiction car, d’après le rapport du Comité médical de la Fondation de la Déficience Immunitaire publié en 1992 « la plupart des déficiences immunitaires ne peuvent être diagnostiquées avant l’âge de un an ». Or, avant un an, l’enfant a déjà reçu une bonne dose de vaccins. Il est donc incontestable que cette pratique est irresponsable et dangereuse. Ainsi, la réponse à ce paradoxe est que chaque vaccination d’un enfant est un jeu de roulette russe.
     
    Vous semblez décidés à vous battre pour prouver la responsabilité des autorités vaccinales et gouvernementales.
    Nous irons aussi loin qu’il le faudra pour étaler au grand jour le danger réel et bien caché des vaccins. Ceci dit, nous avons engagé les meilleurs avocats spécialistes de cette question et travaillons avec des virologues de réputation internationale. Nous devons cela à notre fils et ferons tout pour que ce drame ne se reproduise plus.
     
    Les Horwin ont les moyens d’y parvenir, financiers et surtout intellectuels, ce qui n’est pas courant. Michael, le père, est devenu avocat et défend les malades et sa femme Raphaele a étudié la biologie pour mieux comprendre. Ce drame a eu lieu il y a plus de dix ans, mais les parents espèrent que le cas dramatique de leur enfant pourra un jour ébranler enfin les certitudes de nos vaccinateurs « à tout va ».
     
    Science du 7 novembre 1986 (234, 746-747) a publié les résultats des expériences menées aux États-Unis par R.T. Javier, F. Sedarati, et T.G. Stevens, de Los Angeles, et qui ont montré que deux virus inoffensifs mis en présence l’un de l’autre, peuvent se recombiner et donner naissance à un « mutant » pathogène. Cette souche virulente peut alors entrer en conflit avec son hôte et déclencher une maladie, voire la mort. Mais lorsqu’un tel accident se produit des années plus tard, personne ne songe à établir un lien entre les deux événements.
     

    Et personne n’en parle lorsqu’il s’agit de campagnes vaccinales ou de multiplication des vaccins chez un même individu.

    Suite ici:  http://sortirduchaos.wordpress.com/2011/05/13/vaccins-temoignages-de-victimes

     

    « LE MESSAGE DES CRANES DE CRISTALDes chercheurs catalans ont découvert le moyen d'introduire un code barre dans un embryon »
    Yahoo! Google Bookmarks

    Tags Tags : , , , ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires

    Vous devez être connecté pour commenter