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    La conspiration fait peur ! Alors on s’en protège par le déni !

    Le déni est encore une zone d’ombre sur laquelle il faut à nouveau apporter un éclairage. Ceci afin de le faire apparaître sous toutes les facettes de son influence sur notre façon de penser en étant confronté à la réalité.

     

    Le Mythe Hypnotique du 11 Septembre 2001 – 3ème partie – Déni*Obéissance*Hypnose



    Qu’est-ce que le déni ?

    Définition du Larousse : Refus inconscient de reconnaitre une réalité extérieure traumatisante.

    Le terme du « déni » est avancé par S. Freud en 1923 pour caractériser un mécanisme de défense par lequel un sujet nie la réalité d’un fait qu’il perçoit et qu’il ne peut cependant admettre.

    Plus qu’une négation, le mot « dé-ni » exprime bien un refus catégorique de reconnaître ce que les sens montrent : Le mécanisme prouve là son efficacité en tant que défense du moi, dans le sens où il empêche un conflit entre une perception réelle fortement désagréable pour le moi et la perception voulue en accord avec la réalité pré-construite de l’individu, non par une comparaison de ces deux réalités, l’une extérieure, l’autre de pensée, mais par une suspension de jugement et donc de décision vis à vis de ces contradictions.

    Ce qui sous-entend qu’il y a bien une part de conscience dans le déni, car la personne n’est pas totalement inconsciente de la réalité perçue.

    Mais si cette réalité perçue engendre chez la personne une peur qui devient insoutenable au point qu’elle ne peut (ou ne veut) pas l’admettre, alors se déclenche en elle cette stratégie du déni, qui consiste à être sourd ou aveugle ou encore insensible à une partie de la réalité.

    Dans le cas du 11/9 et le fait que certains soutiennent qu’il s’agit d’un complot, le stratagème du déni est utilisé par la peur parce qu’il vient comme une bouée de sauvetage pour éviter à la personne de perdre tous les repaires sur lesquels elle à construit ses croyances, lui permettant ainsi de se conforter dans une pseudo sécurité.

    Et c’est bien là que ce situe le fondement du problème : le besoin de sécurité !

    Le sentiment de sécurité fait taire les peurs !

    Ce besoin de sécurité s’exprime autant au niveau physique, que psychologique. Et pour nous assurer cette sécurité nous nous sommes placés sous la protection d’une autorité supérieure.  Suite

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    Gardasil : Témoignage d’une mère désespérée. Attention si vous avez une ado !



    Je m'appelle Rachel et j'ai fait vacciner ma fille Laetitia en 2007 avec le vaccin GARDASIL.

    Dès la deuxième injection et surtout depuis la 3e, ma fille ainsi que toute la famille vit un véritable enfer. Quotidiennement depuis 4 ans, Laetitia doit affronter des nausées, syncopes, douleurs insupportables à la tête et au ventre, des paralysies imprévisibles de la jambe et du bras droit (ce qui l'a conduite à perdre le contrôle de sa voiture cet été, des phases de pertes de poids importantes, environ 8 kg en une semaine qu'elle reprend la semaine suivante sans presque rien manger puisque tous les jours elle a envie de vomir. Elle perd ses cheveux par poignées, est blanche comme un cadavre, elle est très essoufflée en permanence, ne peut plus courir, a des difficultés à marcher longtemps a cause du mal au ventre, n'y voit presque plus de loin, ne supporte plus la chaleur ou la lumière vive. Elle ne peut plus sortir avec ses amies, aller au cinéma sans tomber dans les pommes, se concentrer, rester très longtemps devant un écran quel qu’il soit. Elle a constamment des bouffées de chaleur, des troubles du langage, de l'équilibre...

    Deux mois après la 3e injection, un kyste fonctionnel de 6,5 cm est apparu sur son ovaire, elle a du être hospitalisée plusieurs semaines pour ne pas qu'il se rompe et crée une hémorragie interne ; il y a 2 mois, un autre kyste de 5 cm est apparu et elle a dû de nouveau rester allongée 10 jours sans marcher. Elle ne peut plus prendre de pilule car son taux de triglycéride monte à 4,76 alors que le maximum ne doit pas être supérieur à 1,90, sinon il y a risque d'AVC ou d'arrêt cardiaque, elle a donc passé son été enfermée dans sa chambre à cause de la chaleur et dans l'angoisse de l'AVC.

    Elle est inscrite en fac, mais n'est quasiment jamais en cours, puisque souvent hospitalisée. En 4 ans, elle a vu une bonne soixantaine de médecins tous spécialistes en quelque chose, qui l'ont analysée et n'ont pas su dire ce qui avait déclenché tout cela. Elle a passé des dizaines d’examens, radios, échographie, scanner, doppler, IRM, ponction lombaire…etc…

    Depuis 4 ans, toutes les semaines, elle a des prises de sang. Elle a subi des électroencéphalogrammes, des électrocardiogrammes, tous sans résultats.

    À l'heure actuelle, aucun médecin ne veut prendre position contre le vaccin et tous affirment qu’il est sûr, ce qui est loin d’être le cas. Ne sachant que faire, ils prétendent qu'elle fait un rejet du vaccin parce que je l’ai obligée à le faire contre son avis et qu'elle se déclenche volontairement tout ces symptômes. C'EST DU DÉLIRE...

    Elle va avoir 21 ans et cela fait 4 ans qu'elle n'a plus de vie sociale et tout le reste de la famille non plus d'ailleurs, car il nous est impossible de prévoir quoi que ce soit, ne sachant pas dans quel état elle va être le lendemain ou les jours suivants.

    À bout d'argument j'ai décidé de prendre un avocat et c'est pour cette raison que le 8 juillet dernier j'ai fait une demande à la CRCI de Lyon avec Me Oudin. Depuis, je me suis exprimée dans le journal de FR3, celui de M6, sur RTL, sur France 5 le magazine de la santé, j'ai aussi écrit des articles dans Le Monde, Libération, Gloser, Rebelle santé, La Provence, et je compte bien continuer à alerter la population qui se trouve dans notre situation et à qui les médecins n’arrêtent pas de rabâcher que c'est une coïncidence si son état de santé s’est détérioré du jour au lendemain.

     Depuis ces injections, ma fille n'a cessée de subir l'humiliation continuelle de nombreux spécialistes qui lui disent sans cesse que son cas relève de la psychiatrie, qu'elle n'a qu'à se faire suivre.

    Lorsqu'elle était hospitalisée, on lui balançait son plateau repas sur la table alors qu'elle était en train de vomir, on l’attrapait parce qu'elle hurlait de douleur, on me disait qu'il fallait que je la laisse, que je m'en occupais trop et c'est pour ça qu'elle était malade. J’étais soi-disant trop stressée et lui communiquais mon stress...

    Nous nous sommes heurtées à des gens qui nous traitaient de menteuses, d'affabulatrices, et d'autres qui nous disaient que personne ne nous avait obligées à faire ce vaccin et que si nous l'avions fait il fallait accepter les effets indésirables. Un professeur nous a même expliqué que pour tout vaccin il y avait des pertes et qu'il fallait bien en sacrifier certains pour en sauver des milliers d'autres et que ce n'était pas de chance que ce soit tombé sur nous, INOUÏ TOUT DE MÊME ! Comment ose-t-on  dire ça a une mère ?

    Un médecin lui a même dit : « tu n'a pas de petit ami en ce moment, c'est aussi la faute du Gardasil ? »

    Et quand je parle de mon souci quant à l'avenir, on me répond que même sans le vaccin il n'était pas sûr qu'elle ne serait pas tombée malade autrement... ÉVIDEMMENT !

    Je pense qu'il faudrait leur donner un exemplaire du rapport VAERS de mars 2011 qui fait état des problèmes que cause le Gardasil rien qu'aux États-Unis. Il faudrait également qu'ils se renseignent aussi sur le fait que 13 scientifiques Allemands mettent en doute, ce vaccin, qu'en Espagne, en Autriche, en Inde, en Écosse, tout le monde le dénonce...

    QUAND LES FRANCAIS VONT-ILS SE REVEILLER ET OUVRIR LES YEUX ? EST-IL PLUS IMPORTANT DE SE PREOCUPER D'UNE TAXE SUR LES BOISSONS GASEUSES QUE DU FAIT QUE DES CENTAINES DE GAMINES ONT LEUR VIE FOUTUE EN L'AIR, parce que simplement on nous a fait croire qu'en les vaccinant on les PROTÉGERA ?

    Ne vous laissez plus faire ni manipuler par peur, plus nous serons et plus nous arriverons à faire que nos enfants ne soient plus considérés comme des bouts de viandes.

    Rachel Celli, mère de Laetitia

     

    Gardasil : Témoignage d’une mère désespérée. Attention si vous avez une ado !



    A son tour, Jean Jacques Bourguignon, père d’Océane, lance un appel aux autres parents :

    La loi du silence, la loi de l’argent ! 

    ATTENTION ! SI VOUS AVEZ UNE ADO A LA MAISON

    Surtout ne pas faire dans l'immédiat la vaccination du Cancer de l'utérus au GARDASIL de Sanofi Pasteur.


    Ma fille OCEANE BOURGUIGNON de 15 1/2 ans a déclaré une sclérose en plaque violente suite à cette vaccination au Gardasil.

    Elle restera avec des séquelles importantes.

    Le Neurologue et Pédiatre de L'hôpital de Dax qui la suivent avec ceux de Bordeaux nous ont informés le soir du  5 avril 2011 qu'ils remontaient l'information de ce cas sur les services AFSSAPS en incriminant ce vaccin GARDASIL

    Dans le meilleur des cas : Attendre pour réaliser cette vaccination !

    Je pense que ce médicament risque fortement d'être arrêté (Il fait parti des quelques médicaments sous surveillance pour survenue de  maladies auto immunes, mais aucun rapport réalisé par L'Afssap depuis 2008). 

    Et Jean Jacques Bourguignon a envoyé une lettre envoyée au Dr de L'AFSSAP BDX qui traite ces dossiers. Il n'attend aucune réponse mais « de savoir qu'elle aura vu sa fille en photo » lui permet d’espérer qu’elle aura « une bonne prise de conscience ».

    Il a écrit :

     Je m'adresse à vous en tant que parent dans le désarroi. Pensez vous que ce Gardasil va faire encore pas mal de dégâts chez nos ados avant de l'interdire.

    Je voudrais vous envoyer des photos d'Oceane pour que ce ne soit pas qu'un dossier pour vous ! parmi d'autres. (Trois attaques en moins de deux mois) .

    Et voila le résultat ! 16 ans au mois de Mai. quel avenir ! Bonne anniversaire ma fille!

    Cordialement.

    Jean Jacques Bourguignon

    Source: Sylvie Simon

     

    Entrevue audio

    C'est étonnant parce que c'est jamais en lien avec le vaccin !!!!

    Coudonc y en a dont bien des hasards... Lizette

    http://www.ckoi.com/estrie/audioplayer-emission.php?mp3=113409



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    Ère Nouvelle et survie de l’âme

    SOURCE: OLIVIER DE ROUVROY

    Il y a une trentaine d’années paraissait aux États-Unis le livre du Docteur Raymond Moody, intituléLa Vie après la vie.

    Écrit sur la base des témoignages de plus d’une centaine de personnes ayant repris connaissance après une expérience de coma profond ou avoir été déclarées cliniquement mortes, ce livre fut à l’époque un énorme best-seller (plusieurs millions d’exemplaires vendus à travers le monde en quelques mois). Il déclencha une intense émotion chez la plupart des lecteurs, car il permettait pour la première fois d’établir un lien et des analogies troublantes entre les différents récits de toutes ces personnes confrontées à des NDE (near death experiences), c’est-à-dire à des expériences « aux portes de la mort. »

    Plus de 80 % des « miraculés » interrogés par le Docteur Moody déclaraient :

    - avoir revécu en une infime fraction de seconde l’ensemble de leur incarnation terrestre avec une précision, une acuité et un luxe de détails stupéfiants.

    - avoir ensuite traversé une sorte de tunnel sombre et lugubre et y avoir éprouvé une angoisse indicible.

    - avoir, au bout d’un laps de temps variable, remarqué une magnifique lumière qui brillait au loin.

    - avoir alors été irrésistiblement attirés par cette source de lumière qui diffusait en même temps un amour extraordinaire.

    - avoir éprouvé une joie et un bonheur indescriptibles au contact chaleureux de cette source d’amour et de lumière.

    - avoir rencontré, dans la lumière de cette source, des amis ou des membres de leur famille décédés qui les avaient convaincus de retourner dans le plan physique, souvent pour achever une mission d’aide ou d’éducation envers des enfants, des parents âgés, malades ou indigents, ou bien un travail bénéfique à l’ensemble de la collectivité.

    - être revenus à contre cœur et à regret dans le monde des « vivants ».
    Le chemin que l’humanité est actuellement en train d’emprunter et qui conduira bientôt à l’avènement de l’Ère Nouvelle, rappelle étrangement celui que l’âme traverse au cours de ces phénomènes de décorporation associés aux NDE, tels qu’ils ont été décrits et répertoriés dans le livre de Raymond Moody : sentiment de grande détresse, tristesse de ne pouvoir réellement communiquer les uns avec les autres, et peur du lendemain ; puis attirance vers la Lumière assortie d’un éveil et d’un élargissement de nos centres de perception ; enfin retrouvailles avec nos frères et sœurs de la Grande Communauté, notre Famille galactique, ceux que certains nomment « les extraterrestres ».

    Est-on pour autant en droit d’affirmer que notre périple actuel à destination de la 4D se terminera par une sorte de « NDE collective » aboutissant à la « mort » de l’homme ancien et à sa renaissance au sein d’un nouveau monde où nous pourrons enfin vivre, créer, travailler tous ensemble dans la paix, échanger librement avec nos frères et sœurs de la Grande Communauté ? C’est bien possible, tout simplement parce qu’en nous élevant vibratoirement (comme l’âme le fait en NDE), nous acquerrons un point de vue différent et donc une nouvelle conscience de la vie, la Conscience de la Lumière ; et nous irons naturellement chercher nos repères et nos informations directement dans la grande Banque de données de l’Univers.

    C’est ce qui ressort de l’expérience et des travaux d’un brillant scientifique américain d’origine russe, le Docteur George Rodonaïa.

    Avant d’immigrer d’Union Soviétique aux États-Unis en 1989, il avait travaillé en tant que chercheur au Département de Psychiatrie de l’Université de Moscou. Il est resté célèbre pour avoir vécu en 1976 l’un des cas les plus longs d’expérience de mort imminente clinique jamais enregistré.

    Considéré comme un opposant au régime totalitaire communiste, il fut percuté volontairement par une voiture du KGB près de l’aéroport de Moscou et déclaré « mort » après que les secouristes eurent constaté la cessation de tout signe d’activité vitale. Il resta dans cet état de mort apparente durant plus de trois jours dans une morgue de Moscou où son corps avait été déposé dans un sac en plastique hermétiquement fermé. Puis il revint « miraculeusement » à la vie, au moment où un médecin légiste, chargé de son autopsie, avait déjà commencé à pratiquer une perforation de son abdomen.

    Avant son EMI (expérience de mort imminente), il travaillait en tant que neuropathologiste. Il était également un athée convaincu. Mais son expérience, en même temps qu’elle bouleversa sa vie, lui ouvrit la voie de la spiritualité. Après avoir obtenu un doctorat en médecine et en neuropathologie, et être devenu prêtre de l’Église Orthodoxe d’Orient, il décida de s’expatrier au Texas où il devint pasteur méthodiste avant de se consacrer entièrement au rapprochement entre les religions, prônant l’émergence d’une spiritualité mondiale basée sur la fraternité entre les hommes.

     

    Ère Nouvelle et survie de l’âme


    « La première chose dont je me souvienne concernant mon expérience de mort imminente, » raconte-t-il dans l’un de ses livres, « c’est que je me suis retrouvé dans un royaume d’obscurité totale. Je ne ressentais pas de douleur ; je restais totalement conscient de mon existence en tant que George, mais tout était ténèbres autour de moi, une obscurité absolue et complète – la plus sombre des noirceurs, plus sombre que n’importe quelle ombre, plus noire que n’importe quel noir. C’était ce qui m’environnait, ce qui m’oppressait. J’étais horrifié ! Je n’étais pas du tout préparé à cela. J’étais sous le choc du constat que j’existais toujours, mais je ne savais pas où je me trouvais. La seule pensée qui revenait sans cesse dans mon esprit était : « Comment puis-je continuer à être alors que je suis mort ? ». C’était ce qui me troublait le plus.

    Lentement, je me suis repris et j’ai commencé à penser à ce qui était arrivé, à ce qui se passait. Mais cela ne m’a rien amené de revigorant ou de décontractant. Pourquoi suis-je dans cette obscurité ? Que vais-je faire ? Puis je me suis souvenu de la phrase célèbre de René Descartes : « Je pense donc je suis. » Cela m’a enlevé un poids énorme, car c’est alors que j’ai été sûr d’être encore en vie, bien qu’à l’évidence, dans une dimension très différente. Puis j’ai pensé : « Si je suis, pourquoi ne serais-je pas positif ? ». C’est ce qui m’est venu à l’esprit. « Je suis George et je suis dans l’obscurité, mais je sais que je suis. Je suis ce que je suis. Je ne dois pas être négatif. »

    Puis j’ai pensé : « Comment puis-je déterminer ce qui est positif dans les ténèbres ? ». « Eh bien, » me suis-je dit, « ce qui est positif c’est la lumière. » Alors, soudainement, je me suis retrouvé dans la lumière ; intense, blanche, brillante et forte ; une lumière très puissante. Cette clarté était comme le flash d’un appareil photo, mais non fractionnée. Une luminosité constante. Au début, j’ai trouvé que l’intensité de la lumière était douloureuse. Je ne pouvais pas la regarder directement. Mais peu à peu, j’ai commencé à me sentir en sécurité et soudain tout a semblé sans problème.

    Juste après, j’ai pu voir toutes ces molécules qui volaient tout autour, des atomes, des protons, des neutrons qui volaient partout. D’un certain côté, c’était totalement chaotique, cependant, ce qui me procurait une telle joie, c’est que ce chaos possédait aussi sa propre symétrie. Cette symétrie était magnifique, unifiée, complète et elle m’inondait d’une joie immense. J’ai vu, étalée devant mes yeux, la forme de la vie et de la nature dans l’univers. C’est à ce moment que se sont évanouies toutes les inquiétudes que j’avais conservées au sujet de mon corps, car il était clair pour moi que je n’en avais plus besoin, qu’en fait il constituait une limitation.

    Tout fusionnait dans cette expérience, il m’est donc difficile d’indiquer une séquence exacte des évènements. Le temps tel que je l’avais connu s’était arrêté ; le passé, le présent et l’avenir étaient d’une certaine manière confondus pour moi dans l’unité intemporelle de la vie.

    À un moment, j’ai subi ce que l’on appelle le « processus de passage en revue de la vie » ; j’ai vu en un instant m’apparaître l’ensemble détaillé de ma vie du commencement à la fin. J’ai assisté en direct à toutes les scènes de ma vie, quasiment comme dans une image holographique se déroulant devant moi avec une précision inouïe. Les mots « passé » et « avenir » avaient perdu toute signification, il ne subsistait que la réalité du présent, du maintenant. Ce n’était pas comme si cela avait commencé à ma naissance et continué avec ma vie à l’université de Moscou. Tout est apparu en même temps. J’y étais. C’était ma vie.
    Je n’ai pas ressenti de culpabilité ou de remords pour des choses que j’avais faites. Je ne me sentais pas comme ceci ou comme cela concernant mes échecs, mes erreurs ou mes succès. Je ne faisais que ressentir ma vie pour ce qu’elle est. Et j’en étais satisfait. J’ai accepté ma vie pour ce qu’elle est.

    Pendant ce temps, la lumière rayonnait en moi un sentiment de paix et de joie. C’était très positif. J’étais si heureux d’être dans la lumière. Et j’ai compris ce que la lumière signifiait. J’ai appris que toutes les lois physiques de la vie humaine ne sont rien comparées à cette réalité de l’univers. J’ai aussi réalisé qu’un trou noir n’est qu’une autre partie de cet infini qu’est la lumière.

    Je me suis rendu compte que cette réalité est partout. Il ne s’agit pas simplement de la vie terrestre mais de la vie infinie. Non seulement tout est connecté, mais tout ne fait aussi qu’un. J’ai donc ressenti une plénitude avec la lumière, le sens que tout est bien pour moi et pour l’univers.

    Je pouvais être partout instantanément, y être vraiment. J’ai essayé de communiquer avec les gens que je voyais. Certains sentaient ma présence, mais aucun n’a réagi. J’ai ressenti la nécessité de m’instruire au sujet des Écritures et de la philosophie. On souhaite, on reçoit. On pense et cela vient à soi. J’y ai donc pris part, je suis remonté dans le temps et j’ai vécu les pensées de Jésus et de ses disciples. J’ai entendu leurs conversations, j’ai fait l’expérience de leur repas, de faire passer le vin, des odeurs, des goûts, je n’avais cependant pas de corps. J’étais pure conscience. Si je ne comprenais pas ce qui se passait, une explication arrivait. Mais aucun professeur ne parlait. J’ai exploré l’Empire romain, Babylone, le temps de Noé et d’Abraham. Toutes les époques que l’on peut nommer, j’y suis allé.

    Donc j’y étais, inondé de toutes ces bonnes choses et de cette expérience merveilleuse, lorsque quelqu’un a commencé à m’inciser l’estomac. Pouvez-vous imaginer cela ? Ce qui est arrivé, c’est que l’on m’avait emmené à la morgue. Ma mort avait été prononcée et on m’y avait laissé pendant trois jours. Une enquête sur les causes de ma mort avait été décidée, on avait donc envoyé quelqu’un pour pratiquer une autopsie sur moi. Lorsqu’on a commencé à m’inciser l’estomac, j’ai ressenti comme une grande puissance qui me prenait par le cou et me poussait vers le bas. C’était si puissant que j’ai ouvert les yeux et j’ai ressenti une énorme douleur. Mon corps était froid et j’ai commencé à trembler. On a immédiatement arrêté l’autopsie et on m’a emmené à l’hôpital où je suis resté les neuf mois suivants, dont la plus grande partie sous respirateur.

    Lentement, j’ai recouvré la santé. Mais je ne pouvais plus être le même, car tout ce que je voulais faire désormais et pour le restant de mes jours, c’était étudier la sagesse. Ce nouveau centre d’intérêt m’a conduit à fréquenter l’Université de Géorgie où j’ai obtenu mon second doctorat en psychologie des religions. Puis je suis devenu prêtre de l’Église orthodoxe d’Orient. Finalement, en 1989, nous sommes venus en Amérique et je travaille maintenant au Texas en tant que pasteur indépendant rattaché à une église méthodiste.

    De nombreuses personnes m’ont demandé en quoi je crois, comment mon EMI a changé ma vie. Tout ce que je peux dire c’est que maintenant je crois au Dieu de l’Univers. À la différence d’autres personnes, cependant, je n’ai jamais appelé la lumière Dieu, car Dieu est au-delà de notre compréhension. Dieu, je pense, est encore plus que la lumière, car Dieu est aussi l’obscurité. Dieu est tout ce qui existe, tout – et cela, c’est totalement hors de notre capacité à l’appréhender. Donc je ne crois pas au Dieu des Juifs, ou des Chrétiens, ou des Hindous, ou à toute autre idée religieuse de ce que Dieu est ou n’est pas. Tout cela c’est le même Dieu et ce Dieu m’a montré que l’Univers dans lequel nous vivons est un superbe et merveilleux mystère ou tout est en connexion pour toujours et à jamais.

    Toute personne ayant eu une expérience de Dieu telle que la mienne, qui a ressenti ce sentiment profond de connexion avec la réalité, sait qu’il n’y a qu’une seule œuvre réellement significative à accomplir dans la vie, c’est aimer ; aimer la nature, aimer les gens, aimer les animaux, aimer la création elle-même, juste parce que cela existe. Servir la création de Dieu avec une main chaleureuse et aimante de générosité et de compassion – c’est la seule existence qui ait du sens… »

    Voici un extrait inédit d’une émouvante interview accordée par le regretté George Rodonaïa à Raymond Moody en 1996, au cours de laquelle il reprend l’essentiel de ce récit :



    George Rodonia était sans conteste un précurseur. Son expérience individuelle de mort imminente (EMI) présente en effet de nombreuses similitudes avec le voyage que l’humanité a commencé aujourd’hui à entreprendre collectivement. …

    De grands changements ont commencé à se produire. Ces changements, qui correspondent à la traversée de l’Ombre dans l’expérience de George Rodonaïa peuvent s’avérer inconfortables, déconcertants pour certains. Car dans tout changement il y a du désarroi et de la tristesse. Et la tristesse est souvent profonde. Elle est lourde. Et elle touche davantage ceux qui se sont ouverts et cherchent en eux leur divinité. Mais les vents qui rugissent ont aussi pour vocation de chasser les nuages. Ce sont des vents de changement et la tristesse n’est que temporaire.

    Ils sont en train de chasser l’ancienne énergie de la Terre et de libérer les humains qui l’habitent. Mais comme ce qui vient n’est pas encore complètement accessible, ce qui domine reste pour le moment ce sentiment de mal-être, d’incertitude et de peur de l’avenir. Nous sommes actuellement au cœur du tunnel, mais nous commençons à apercevoir la lumière qui brille au loin. Et nous nous sentons de plus en plus attirés par elle.

    Sommes-nous prêts à nous laisser aspirer totalement par cette lumière et à nous libérer ? Telle est la question. Sommes-nous prêts à nous affranchir définitivement des anciens modèles et des anciennes formes ? Sommes-nous prêts à nous libérer de la dualité dans laquelle nous avons vécu ? Sommes-nous prêts à nous permettre de nous élever, de lâcher prise sur les blessures du passé, de libérer l’Esprit en nous pour qu’il se manifeste, de rétablir la connexion à cette divinité qui essaie de s’exprimer en nous et nous pousse à aller de l’avant ?

    Les blocages, les murs que nous avons construits autour de nous, les barrières que nous avons placées entre nous ne nous permettent pas d’être libres. Pour être libres, nous devons d’abord apprendre à nous aimer. Sommes-nous prêts à nous aimer ? Sommes-nous prêts à vraiment nous aimer nous-mêmes, pas en se limitant à nous faire plaisir, mais en acceptant, comme George Rodonaïa au cours de son EMI, tout ce que nous avons fait, tout ce que nous avons été, tout ce que nous sommes, autant en lumière qu’en ombre ? Sommes-nous prêts à vraiment nous aimer nous-mêmes autant que nous avons aimé les autres et autant que nous avons essayé d’aimer Dieu ?

    Pour réussir notre transition vers l’Ère Nouvelle nous devons, comme George Rodonia, réaliser qu’il n’y a qu’une seule œuvre réellement significative à accomplir dans la vie, c’est aimer : aimer la nature, aimer les gens, aimer les animaux, aimer la création elle-même, juste parce que nous sommes vivants, parce que nous sommes divins, et que nous sommes indestructibles.
    Olivier de Rouvroy
    Octobre 2011

    Source:  Conscience Quantique

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    L’exposition à la lumières blanche des LED inhibe la mélatonine


    Les ampoules de lumière blanche produite par des LED qui émettent la lumière selon une longueur d’onde plus courte,  inhibent de manière beaucoup plus puissante la sécrétion de mélatonine que les classiques ampoules orange-jaune, montre une étude publié dans la revue, the Journal of Environmental Management.

    La mélatonine est l’hormone qui régule les rythmes circadiens, c’est à dire l’horloge biologique de l’être humain, influençant le cycle du sommeil et les autres rythmes circadiens.

    L’exposition à la lumière produite par des LED (Light-Emitting Diode), les diodes électroluminescentes, supprime de manière 5 fois plus puissante la sécrétion de mélatonine que ne le fait la lumière orange-jaune issue des lampes à sodium. Pour le Pr Abraham Haim de l’université d’Haïfa, tout comme les polluants, il devrait exister une régulation pour la pollution liée à l’éclairage artificiel la nuit.

    La lumière blanche des LED est en réalité une lumière bleue émise à une longueur d’onde de 440-500 nanomètres. Elle a pour effet d’agir directement sur la glande pinéale, située dans le cerveau, et de supprimer la sécrétion de mélatonine. Cette diminution de la production de mélatonine peut entrainer des troubles comportementaux, des troubles du sommeil et d’autres anomalies chez l’être humain. Le manque de mélatonine est par exemple incriminé dans la dépression saisonnière, fréquente dans les payx nordique au cours des longs hivers.

    C’est la première fois que des scientifiques évaluent l’effet des différents types d’éclairage sur la sécrétion de mélatonine, en particulier les éclairages utilisés au sein des villes pour illuminer les rues, les boutiques, et les centres commerciaux.

    Ils ont pris comme référence l’effet sur la mélatonine provoqué par les classiques ampoules orange-jaune anciennement utilisées dans les villes : les ampoules utilisées pour éclairer les stades inhibent de manière 3 fois plus importante la mélatonine, et les LED, 5 fois plus. Or actuellement, les LED sont de plus en plus utilisées partout, sous prétexte de modernisation et parce qu’elles consomment moins d’énergie.

    Les scientifiques mettent donc en garde contre les répercutions que l’usage massif de ces lumières blanche au sein des villes aura sur les habitants. Le premier pas, selon les scientifiques, est de prendre conscience qu’il existe une véritable pollution lumineuse, afin de réduire l’utilisation des lumières blanches et de la sur illumination des villes.

    Source
    Limiting the impact of light pollution on human health, environment and stellar visibility
    Fabio Falchi, Pierantonio Cinzano, Christopher D. Elvidge, David M. Keith, Abraham Haim
    Journal of Environmental Management, 2011; 92 (10): 2714-2722

    Crédit Photo Ceative Commons by Stuck in Customs
     

    Source:  http://www.docbuzz.fr/2011/09/19/123-exposition-aux-lumieres-blanche-led


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