• Allopathie vs Homéopathie

     

    Les essais désespérés de l’allopathie pour assassiner l’homéopathie

     

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    Nous avons tous appris avec stupeur et horreur les derniers déboires du Dr Martine Gardénal avec la Cour européenne, mais en vérité c’était plus l'homéopathie qu’elle-même qui était jugée. Son problème est exactement le même que celui du Dr Andrew Wakefield qui n’est qu’un bouc émissaire dans la bataille acharnée des vaccinalistes qui veulent faire taire les dissidents.

    On retrouve dans ces deux procès le même mépris pour les malades qui ne peuvent s’exprimer, le même déni de Justice, le médecin condamné d’avance…

    Que ne ferait-on pas pour discréditer l’homéopathie et les médecines alternatives qui représentent un réel danger pour l’industrie pharmaceutique car elles ne coûtent pas cher, n’ont pas d’effets secondaires, éliminent en grande partie les drogues allopathiques et, surtout, responsabilisent les patients, remettant ainsi en cause l’engrenage mortel de la société de consommation.

    Cette guerre sans merci dure depuis 1796, lorsque le Dr Samuel Hahnemann a publié, dans une revue scientifique, un essai sur « une nouvelle approche pour identifier les propriétés curatives des médicaments.

      

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    Photo Samuel Hahnemann

     

    C’est après avoir traduit Materia Medica, ouvrage du médecin écossais William Cullen que Hahnemann découvrit que certaines plantes pouvaient provoquer des symptômes similaires à ceux de certaines maladies, ce qui lui rappela la loi de similitude, évoquée dans le Cursus Hippocraticus. Après avoir développé la technique des dilutions afin de contourner le problème de la toxicité de certains produits, il gagna une certaine notoriété lorsqu’il réussit, grâce à sa découverte, à prévenir et à traiter la scarlatine qui était devenue épidémique en Allemagne, et sa technique thérapeutique connut un remarquable essor en Europe. Elle fut ensuite introduite aux États-Unis en1825 par le Dr Hans Burch Gram, qui avait étudié l’homéopathie en Europe.

    La première école médicale américaine d’homéopathie, le Hahnemann Medical College and Hospital, fut fondée en 1835. En 1849, tandis que le choléra faisait rage dans la ville de Cincinnati, deux médecins homéopathes publièrent des statistiques qui indiquaient que seulement 3 % des 1 116 patients qu’ils avaient traités étaient décédés des suites de la maladie. Pourtant, à cette époque, on estimait que de 33 % à 50 % des patients atteints de cette maladie en mouraient.

     

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    Mais la France, toujours à la traîne pour reconnaître les nouvelles thérapies, s’évertuait déjà à supprimer la concurrence de la médecine reconnue, c’est-à-dire l’allopathie. L’Académie de Médecine exerça alors de fortes pressions pour que Hahnemann ne puisse pas rester en France. En 1836, Guizot répondit alors : « Hahnemann est un savant de grand mérite. La science doit être pour tous. Si l’homéopathie est une chimère ou un système sans valeur propre, elle tombera d’elle-même. Si elle est au contraire, un progrès, elle se répandra malgré toutes nos mesures de préservation, et l’Académie doit le souhaiter avant tout autre, elle qui a la mission de faire avancer la science et d’encourager les découvertes ».

    Bien que l’Académie ne l’ait pas souhaité, et malgré tous les mauvais coups qu’on a pu lui porter, l’homéopathie est loin d’être « tombé d’elle-même », bien au contraire. Dès la fin du XIXe siècle, cette pratique connut un très grand essor en Europe et en Amérique du Nord et, actuellement, ses supporters sont de plus en plus nombreux, et rien n’indique que la popularité de cette thérapeutique soit en déclin, ni auprès des professionnels qui la conseillent, ni auprès des patients qui la réclament.

     

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    Alors que dans la plupart des pays de la Communauté européenne les homéopathes, médecins ou non, sont parfaitement admis, chez nous, dans les meilleurs cas, la médecine officielle ne reconnaît qu’un effet placebo à l’homéopathie. Combien de fois ai-je entendu dire, au sujet de certains médecins : « mais ce n’est qu’un homéopathe ! », comme si ce qualificatif était « un moins » par rapport à l’allopathie. Au contraire, c’est un plus car les médecins homéopathes ont tous réussi leur cursus médical, mais ils ont ensuite appris l’homéopathie, dont la formation complète de clinicien nécessite de 2 à 3 ans d’étude à temps plein. C’est donc une spécialité, au même titre que les autres, et ceux qui se soignent ainsi ne s’y trompent pas.

    Ainsi, l’homéopathie et les médecines alternatives représentent un réel danger pour l’industrie pharmaceutique puisqu’elles ne coûtent pas cher, n’ont pas d’effets secondaires, éliminent en grande partie les drogues allopathiques et, surtout, responsabilisent les patients, remettant ainsi en cause l’engrenage mortel de la société de consommation. Il est donc nécessaire de l’« éradiquer », comme les microbes !

     

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    Il y a quelques années, à l’époque où régnait la terreur des prions, le ministère de la Santé trouva une nouvelle occasion de faire disparaître l’homéopathie en interdisant 173 remèdes homéopathiques en dilutions inférieures à 4 CH sous le prétexte qu’étant d’origine animale, ces substances risquaient de contaminer les consommateurs par des virus. Comment ces produits constitués d’eau pure pulvérisée sur des granules de lactose et qualifiés de « placebos » auraient-ils pu transmettre des germes, virus et champignons ? Et, comble du ridicule, à la même époque le même ministère persistait à imposer des vaccins composé des mêmes substances d’origine animale à des doses non diluées et directement injectées dans le corps, franchissant brutalement toutes les barrières mises en place par la nature pour protéger l’individu.
    Comme cette tactique n’a pas été suivie d’effets spectaculaires sur les patients, en 2004, le ministre de la santé, Jean-François Mattei, qui ne « croyait pas en l’homéopathie », et n’a sans doute jamais entendu parler de la physique quantique et de l’effet électromagnétique de certaines substances, avait réduit le remboursement de l’homéopathie de 65 % à 35 %, ce qui avait provoqué une chute des prescriptions homéopathiques au profit de produits beaucoup plus chers pour la sécurité sociale. Il espérait sans doute jeter un discrédit sur l’homéopathie — l’un des rares secteurs de la médecine et de la pharmacie françaises à être au premier rang mondial — en espérant amener un certain nombre de patients à s’orienter vers une « médecine plus efficace » d’après les pouvoirs publics, mais quatre à cinq fois plus onéreuse, ce qui devait donner un résultat inverse de celui qui était annoncé.  

    En effet, les 40 % de Français qui se soignent par l’homéopathie coûtent bien moins cher à la Sécurité sociale, d’autant que ces médicaments ne génèrent pas d’effets secondaires — alors que les maladies iatrogènes sont en expansion constante —, et les patients sont fidèles à leur médecin, contrairement à ceux qui se soignent par l’allopathie et multiplient les visites et les traitements. L’homéopathie responsabilise les patients, remettant en cause l’engrenage mortel de la société de consommation.

    Ainsi, sous le couvert fallacieux de l’économie, cette décision du Ministre qui a favorisé l’industrie pharmaceutique relevait d’une parfaite logique commerciale visant uniquement à éradiquer l’homéopathie.

    Mais cela n’a pas découragé les vingt cinq millions de personnes qui l’utilisent régulièrement et qui se soignent hors notre médecine de troupeau et ses « protocoles », portant ainsi préjudice à la consommation de nombreux médicaments allopathiques.
    Toutefois, les tenants de l’allopathie ne s’estiment pas vaincus pour autant.  Puisqu’on ne peut pas « éradiquer » l’homéopathie, il faut « éradiquer » les vrais homéopathes. Déjà, nos pouvoirs publics ont décidé de n’admettre qu’une infime partie de sa pharmacopée, et de nombreux médecins l’utilisent comme ils le font pour l’allopathie, c’est-à-dire en considérant chaque médicament comme spécifique d’une maladie, identique chez chacun de nous, et non comme un remède personnalisé. De la sorte, ces médecins ordonneront de plus en plus d’examens — puisque la plupart d’entre eux ne sont plus capables de poser un diagnostic — puis consulteront leur ordinateur pour rédiger une ordonnance. De cette manière, l’homéopathie, devenue médecine de troupeau, n’aura plus aucun effet et sera peu à peu abandonnée du propre chef des utilisateurs, à cause de son « manque d’efficacité ».

     

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    Mais pour y parvenir, il faut supprimer les véritables homéopathes, surtout lorsqu’ils représentent un danger pour l’industrie pharmaceutique, comme Martine Gardénal qui est présidente de la Société des médecins homéopathes spécialistes, et consultant à l’Insep (Institut national des sports et de l’éducation physique). Elle est donc un bouc émissaire de choix et le paie durement.

     

    Vidéos de  Martine Gardénal

     

       

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