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    Mon article paru dans NEXUS N° 71 - - -  de novembre-décembre 2010

    Le « dépistage » a tout va est devenu à la mode. Tout comportement de notre corps doit être soumis à de fréquentes et régulières vérifications : surveillance de la tension, de la prostate, du taux de cholestérol, du diabète et bien d’autres pathologies qui nous menacent sournoisement. Il existe ainsi des campagnes-promotions de dépistage qui font la fortune des laboratoires et les belles heures des médias qui n’éprouvent aucune gêne à nous rappeler plusieurs fois par jour qu’il est urgent de faire vérifier notre corps comme nous le faisons pour nos moteurs de voitures.

    Mais le plus inutile et le plus dangereux des dépistages est celui du cancer du sein. À travers les medias, toutes les instances de santé incitent les femmes à faire, chaque année, une mammographie pour éviter ce cancer, mais personne ne signale à toutes celles qui vont se conformer à ces examens qu’ils comportent de nombreux risques.

    Le Dr Henri Pradal, pharmaco-toxicologue, avait fort bien résumé la situation, il y a trente ans. Pour lui, les « dictateurs du scalpel et du radium » ont su entretenir pendant des décennies une propagande mensongère sur l’efficacité de leur pratique en s’appuyant sur l’argument non vérifiable qu’un diagnostic précoce donne au cancéreux toutes les chances de guérir. Il affirmait : « Il est facile de démontrer que la radiographie des seins de toute une population féminine particulièrement exposée au cancer provoque davantage de processus cancéreux qu’elle n’en dépiste. » D’autres médecins partagent ce point de vue.

    « Le champ du cancer aux États-Unis est délimité par un monopole médical qui assure un flot constant de bénéfices pour les compagnies pharmaceutiques, les firmes de technologie médicale, les instituts de recherches et les Agences gouvernementales telles que la FDA, le National Cancer Institute, et l’American Cancer Society. » Cette déclaration vient de deux cancérologues réputés, le Dr John Diamond, membre du Royal Australian and New Zealand College of Psychiatry et ancien Président de l’Académie Internationale de Médecine Préventive, et le Dr Lee Cowden, de l’Université St Louis du Missouri. Tous deux sont bien placés pour savoir de quoi ils parlent.

    Une étude, publiée le 20 octobre 1993 dans le Journal of National Cancer Institute, montre une augmentation très nette du cancer du sein après les traitements par rayons de certaines maladies bénignes du sein chez les femmes âgées de plus de 40 ans au moment des premiers traitements.

    Déjà, en 1995, le Dr Samuel Epstein, président de la Coalition pour la Prévention du Cancer, Médaille d’Or de l’Académie de Médecine Albert Schweitzer, auteur de plusieurs centaines d’articles scientifiques sur le sujet, profitait d’une journée nationale de mammographie organisée le 18 octobre aux États-Unis, pour dénoncer les dangers de cette pratique qui, pour lui, n’a jamais fait la preuve de son utilité. Il a insisté sur le fait que lorsque le cancer du sein est ainsi détecté, il existe depuis au moins huit ans et a donc déjà touché les ganglions lymphatiques ou d’autres organes, particulièrement chez les femmes jeunes. Dans son important ouvrage The Politics Of Cancer revisited, paru en 1998 mais non traduit en français, il critique très largement le lobby du cancer et soutient que chez les femmes en pré-ménopause, un cancer détecté sur quatre n’est pas un vrai cancer, mais qu’en revanche, un cancer sur quatre n’est pas détecté.

    Les années passées depuis cette époque n’ont pas changé son opinion et, douze ans plus tard, il confirmait ces déclarations dans un article intitulé « Les dangers cachés des mammographies chez les femmes en pré-ménopause ». « Quoique l’on vous dise, refusez les mammographies de routine, particulièrement si vous êtes en pré-ménopause. Les rayons augment vos chances d’attraper un cancer. »

    En effet, la pratique annuelle de deux mammographies sur chaque sein pendant une période de dix ans provoque une exposition à 5 rads pour chaque sein, ce qui correspond à la très forte radiation subie par les femmes qui se trouvaient à un kilomètre et demi de l’endroit où furent larguées les bombes atomiques sur le Japon.

    Pour Epstein, ajoutées à une angoisse inutile, les mammographies répétées augmentent les risques de cancer. « Des études récentes basées sur les dix années précédentes indiquent une augmentation très nette des cancers quelques années après le début de ces examens fréquents, ce qui confirme la grande sensibilité des seins en pré-ménopause et l’effet carcinogène des radiations ».

    La dose moyenne de rads reçus en mammographie pour deux images par sein est de 1 à 4 unités, mais d’après le Pr Epstein, la dose peut parfois être dix fois supérieure. Et Rosalie Bertell, l’une des autorités les plus respectées internationalement en ce qui concerne les dangers des radiations, affirme que chaque rad augmente de 1 % les risques de cancer du sein et correspond à une année de vieillissement. Ces deux spécialistes du cancer ont réitéré leur avertissement dans un article très détaillé et édité par le prestigieux International Journal of Services en 2001 (31(3) : 605-615), intitulé « Les dangers et la non-fiabilité des Mammographies », avec le concours de Barbara Seaman, fondatrice et directrice du Women's breast cancer movement. L’article explique que la plupart des cancers ont été détectés par les malades eux-mêmes et que rien ne vaut la palpation mensuelle de leurs seins par les sujets à risque, « une pratique alternative efficace et sans danger ».

    Le Pr Epstein est loin d’être le seul à critiquer cette habitude et le NCI (National Cancer Institute) a publié des statistiques qui montrent que chez les femmes de moins de 35 ans, les mammographies peuvent provoquer 75 cancers pour 15 cancers correctement diagnostiqués.

    Après avoir passé en revue toute la littérature mondiale disponible sur le sujet, les docteurs Wright et Muller, de l'Université de Colombie Britannique, ont recommandé l'annulation du financement public des mammographies parce que le « bénéfice obtenu est minime et le mal causé est important. » D’après le Lancet du 1er juillet 1995, les études les plus complètes ne montrent pas de taux de survie accru grâce aux mammographies de routine.

    Le NIH (National Institute of Health) estime que ces examens occultent 10 % des tumeurs malignes chez les femmes de plus de 50 ans. À son tour, une étude suédoise menée sur 60,000 femmes a démontré que 70 % des tumeurs détectées par mammographie n’étaient pas des tumeurs. Or, outre le stress émotionnel causé par ces diagnostics erronés, ces femmes ont aussi subi des biopsies toujours dangereuses.

    Quant au Dr James Howenstine, médecin américain qui a 34 ans de pratique privée et hospitalière, il signale que « des campagnes massives encouragent les femmes à avoir une mammographie chaque année. Ce rituel annuel génère des résultats faux positifs et faux négatifs qui mènent à des opérations inutiles et une considérable anxiété chez les femmes incorrectement diagnostiquées. »

    Enfin, le 8 janvier 2000, The Lancet publiait une étude danoise qui réduisait à néant l’espoir des cancérologues qui croyaient alors qu’en dépistant plus précocement les cancers du sein par mammographie, on réussirait à faire baisser leur incidence et leur mortalité. Le journal concluait qu’en termes de mortalité, une politique de dépistage du cancer du sein « ne serait pas justifiée ».

    Une étude publiée en 2005 par le New England Journal of Medicine, confirme que 30 % des cancers chez les femmes de 40 ans ne sont pas détectés par les mammographies.

    Et en mars 2006, le mensuel La Recherche signalait à son tour, dans son numéro 395, que « la mortalité par cancer du sein a très peu diminué depuis 20 ans », alors que « les cas diagnostiqués, eux, explosent ». Le journal ajoutait que certains experts dénonçaient les effets pervers du dépistage qui « conduirait à détecter et à traiter des tumeurs mammaires qui n’auraient pas mis la vie de la patiente en danger ».

    Le Dr Ken Walker, gynécologue à Toronto, mais aussi le plus célèbre des journalistes médicaux canadiens sous le pseudonyme de « Dr Gifford-Jones », partage son avis : « Les femmes de 40 à 49 ans qui subissent régulièrement des mammographies, sont deux fois plus susceptibles de mourir d’un cancer trois ans plus tard que celles qui gardent leurs seins sous leurs chemisiers ». Ce médecin diplômé d’Harvard estime lui aussi que les diagnostics précoces constituent un mensonge car « il faut huit ans pour qu’une tumeur soit assez importante pour être décelée, ce qui laisse le temps aux cellules cancéreuses de se propager dans l’organisme. Cela n’est pas vraiment un diagnostic précoce ».

    À ses yeux, des milliers de femmes servent de cobayes depuis de nombreuses années, pendant que la Médecine cherche de tous côtés les causes du cancer, des bactéries aux gènes, sans penser une seule seconde que l’un des principaux responsables est l’industrie du cancer elle-même.

    Ces mammographies exposent les tissus sensibles du sein à des radiations dangereuses, alors que les spécialistes estiment qu’il n’existe pas de « dose acceptable » de radiation. Pour le Pr Anthony Miller, de l’Institut National du Cancer de Toronto, l’ADN du sein est plus vulnérable aux doses réduites de radiation que les tissus thyroïdiens ou la moelle des os.

    D’après Diana Hunt, diplômé du centre médical d’UCLA, spécialiste des rayons X, « les radiations reçues par le sein au cours d’une seule mammographie correspondent à 11,9 fois la dose absorbée annuellement par le corps entier ».

    La pratique annuelle de deux mammographies sur chaque sein pendant une période de dix ans provoque une exposition à 5 rads pour chaque sein, En conséquence, si une femme commence à subir des mammographies annuelles dès l’âge de 55 ans, à 75 ans elle aura reçu 20 rads. Évidemment, ce pourcentage est proportionnel à l’âge du début des mammographies, ce qui est effarant à l’heure actuelle où elles sont pratiquées de plus en plus tôt. En comparaison, les femmes qui ont survécu aux bombardements de Hiroshima ou Nagasaki ont absorbé 35 rads.

    Et plus les cellules du sein sont jeunes, plus leur ADN est endommagé par les radiations. En outre, ce risque est multiplié par 4 chez les femmes porteuses du gène A-T, soit environ 1,5 à 2% des sujets. Le pourcentage peut sembler minime, mais on estime qu’aux États-Unis environ 10,000 cancers par an sont dus aux mammographies chez les femmes porteuses de ce gène. Une seule mammographie augmente de 4 à 6 fois leur risque de cancer.

    Ces recommandations ont été confirmées par la

    Task Force (groupe de travail) du ministère de la santé des États-Unis qui recommande de retarder les mammographies jusqu’à l’âge de 50 ans, lorsque la poitrine est moins sensible aux radiations. La coalition nationale du Cancer du sein s’est jointe à ces conseils qui s’appuient sur l’augmentation de ce cancer de 20 % depuis 1975 malgré la multitude de mammographies et les milliards dépensés par les assurances.

    Pour les jeunes femmes, les chiffres sont encore plus inquiétants, car une étude du Canadian National Breast Cancer, qui date de 1992, a démontré une augmentation de 52 % de la mortalité par cancer du sein chez les jeunes femmes qui subissent des mammographies. En outre, les femmes enceintes exposées aux radiations mettent leur fœtus en danger avec des risques de leucémies ou de malformations, et les enfants exposés aux radiations peuvent à leur tour développer un cancer du sein à l’âge adulte. Ajoutons à ce terrifiant constat que depuis l’introduction des mammographies, l’incidence d’un certain carcinome du sein aurait augmenté de 328 %.

    Le Dr William John Gofman, professeur émérite de biologie moléculaire et cellulaire à Berkeley et chargé de cours à l’école de médecine de l’université de Californie à San Francisco, spécialiste des effets biologiques des rayons X et des dangers nucléaires, lauréat du prix Nobel, estimait que 75 % des nouveaux cas de cancer étaient provoqués par les irradiations médicales comme les rayons X, scanners, mammographies, tomographies et fluoroscopies. Il leur imputait également la responsabilité de nombreux cas de maladies coronariennes.

    Alarm und Fehlalarm 

    (Alertes et fausses alertes), Markus Grill signale que « les cabinets de radiologie reçoivent les citadines, alors que des "Mammobil" se rendent à domicile dans les campagnes. 54 unités mobiles sillonnent actuellement l’Allemagne, l’une d’elles appartient à un groupement de radiologues. Coût de l’investissement : 400,000 euros, dont 200,000 pour l’appareil de radiographie. Si chaque jour ouvrable, soit 250 jours par an) 80 femmes se font examiner au tarif de 57 euros remboursés par les caisses, l’équipement spécialisé génère un chiffre d’affaires de plus d’un million d’euros par an. L’intérêt économique est évident pour les radiologues.

    Et il pose la question qui dérange : « Mais l’intérêt pour la santé publique est-il équivalent ? »

    Le Spiegel conclut : « On estime que chaque médecin devra examiner en moyenne par trimestre 225 individus en bonne santé et gagnera 21 euros pour les 20 minutes passés (75 minutes par jour). Pour le suivi classique d’un patient, le médecin reçoit 13 euros par mois, pour un examen approfondi 30 euros. Les dépistages sont par conséquent motivés surtout par l’intérêt financier. »

    Telle est également la conclusion de Peter Sawicki, Directeur de l’IQWiG (Institut allemand de la qualité et l’efficacité du système de santé), qui pense que les études « sérieuses » répondent aux critères d’une médecine qui prend en compte les éléments scientifiques probants et non les simples « avis d’experts ».

    « Pour l’individu lambda, la probabilité d’échapper au cancer grâce aux dépistages se situe entre 0,05 % et 0,1 %. Autrement dit, si 1,000 à 2,000 personnes participent sur plusieurs années aux programmes de dépistage, seule l’une d’entre elles sera sauvée. » Ce comportement, rare actuellement chez la plupart des médecins, lui a coûté sa démission forcée de l’Institut. Cela n’a rien de surprenant car l’industrie pharmaceutique allemande s’est plainte à maintes reprises du comportement de l’Institut et particulièrement de celui de son directeur qui les a souvent empêchés de mettre certains médicaments sur le marché. En outre, Peter Sawicki s’évertuait à réclamer aux laboratoires les études non publiées, ce qui n’est pas « médicalement correct ».

    En Allemagne, on pratique en moyenne cinq fois plus de frottis que dans le reste de l’Europe, alors que les femmes allemandes meurent de ce cancer beaucoup plus souvent que dans d’autres pays.

    Quant à la ministre de la santé, Ulla Schmidt, elle est une fervente du dépistage au point que, malgré de nombreuses protestations, elle a inclus dans la loi de santé publique le paragraphe 62 pénalisant financièrement tous les malades d’un cancer qui ne se sont pas soumis aux dépistages recommandés.

    Tout ceci nous prouve bien que la réalité médicale n’a rien à voir avec la propagande organisée par les laboratoires et si bien relayée par les médias.

    En France, les « contrats d'amélioration des pratiques individuelles » (Capi) sont souscrits de manière volontaire et individuelle par les praticiens, pour une durée de trois ans. Les médecins signataires s'engagent à atteindre 16 objectifs de santé publique dans trois domaines : la prévention (par exemple améliorer les taux de patients âgés vaccinés contre la grippe et de dépistages du cancer du sein), un meilleur suivi des pathologies chroniques comme le diabète ou l'hypertension, et l'optimisation des prescriptions de médicaments. Dix mille praticiens, soit plus d'un sur six, ont ainsi signé un contrat avec l'Assurance-maladie.

    Sous la plume d’Olivier Auguste, Le Figaro du 25 septembre 2009 nous prévenait : « Les volontaires recevront jusqu'à 7 euros par an et par patient s'ils atteignent certains objectifs, comme le nombre de patients âgés vaccinés ou de patientes ayant effectué une mammographie. »

    Les syndicats médicaux sont hostiles à cette relation directe entre médecin et Sécurité Sociale, mais notre remarquable ministre Roselyne Bachelot s’est réjouie du succès des Capi.

    On savait déjà que la recherche de rentabilité se retrouve partout, toute profession confondue. On le savait pour la Police, la Gendarmerie, les impôts et autres administrations, mais il est invraisemblable qu’un médecin touche, en dehors de ses honoraires, une prime au rendement des dépenses de santé. Et cela pour des examens qui, non seulement n’ont pas fait la preuve de leur utilité, mais ont bel et bien fait la preuve de leur nocivité.

    Sylvie SIMON

    "Tout le monde devrait savoir que l’essentiel de la recherche sur le cancer relève, dans une large mesure, de l’escroquerie et que les grandes organisations de recherche sur le cancer négligent leur devoir envers ceux qui les soutiennent".

    Linus Pauling Prix Nobel de chimie 1954 et de Paix 1962 




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    L'omega 7 vient essentiellement de l'Argousier. L'huile d'Argousier est utilisé depuis plus de 12 siècles par la médecine traditionnelle chinoise et tibétaine pour préserver la santé digestive et urogénitale. Les scientifiques ont la preuve que les tissus les plus délicats de notre corps, comme la peau et les membranes muqueuses du système digestif et du système urogénital, peuvent bénéficier grandement des acides gras essentiels Omega 7. Le stress de l'environnement, un régime alimentaire mal adapté, le vieillissement normal peuvent nuire ces membranes sensibles. Les acides gras essentiels Omega 7 sont considérés, comme de la nourriture qui pourrait protéger, hydrater, et même rétablir ces membranes.

    Oméga-7 préserve les muqueuses digestives et urogénitales, facilite la régénération du système gastro-intestinal, fortifiant de la peau, prévient le vieillissement cutané et l’apparition des rides.

    L'argousier (Hippophae rhamnoides L.) est un arbuste décidu, rustique et dioïque qui appartient à la famille des Éléagnacées. Ses fruits, des baies orangées qui s'installent en masses compactes sur les branches, comptent parmi les plus nutritifs et vitaminés de tout le règne végétal. Ils sont consommés depuis des siècles en Europe et en Asie d'où l'arbuste provient.

    Les fruits, de même que les feuilles et les graines, sont très riches en vitamines C, E, A, B1, B2, F, K et P, en protéines (principalement globuline et albumine), en acides gras saturés (acides palmitique et palmitoléique) et insaturés (acides linolénique et linoléique), en acides aminés, en sucres et en hydrates de carbone. Son activité antioxydante est de 93,6%.

    L'argousier porte ses premiers fruits vers l'âge de quatre ans. Un verger produit environ 10 tonnes de fruits, 165 kg de graines et 1,5 tonne de feuilles à l'hectare.

    On le retrouve un peu partout au Québec: comme arbuste ornemental, dans les haies brise-vent ou en bordure des routes. Il est cultivé pour ses fruits en Saskatchewan et en Colombie-Britannique. Il  peut  tolérer  des températures  de -43°C à + 40°C et il est considéré comme résistant à la sécheresse. Il développe rapidement un système racinaire extensif, ce qui en fait une plante idéale pour freiner l'érosion du sol. Il est utilisé fréquemment dans les terrains dégradés pour sa capacité à fixer l'azote atmosphérique et à conserver les autres éléments nutritifs essentiels.

    Actuellement, l'argousier attire l'attention de nombreux chercheurs à travers le monde, incluant ceux de l'Amérique du Nord, principalement pour ses valeurs nutritives et médicinales. La concentration en vitamine C de ses fruits est 30 fois supérieure à celle de l'orange, 25 fois celle de la fraise et 5 fois celle du kiwi. Leur teneur en vitamine E excède celle du blé, du maïs et de la fève de soja. En Europe et en Asie, on utilise des préparations d'huile d'argousier dans les hôpitaux pour le traitement des brûlures, des plaies de lit et autres complications cutanées. Une dizaine de médicaments ont été conçus à partir des huiles et sont disponibles sous différentes formes (liquide, pastilles, liniments, suppositoires, aérosols, etc.). En usage interne, l'argousier est employé pour le traitement et la prévention des ulcères d'estomac et du duodénum, de l'hyperlipémie du sang, des maux d'yeux, de la gingivite et des maladies cardio-vasculaires comme l'hypertension artérielle et les maladies coronariennes.

    En Europe, on trouve des jus, des gelées, des liqueurs, des bonbons, des tablettes de vitamine C et de la crème glacée à l'argousier. En Chine et en Russie, on retrouve aussi des huiles, des breuvages alcoolisées, du thé, des confitures, des colorants alimentaires ainsi que des shampooings anti-pellicules et contre la perte des cheveux. L'industrie des cosmétiques considère d'ailleurs que les huiles de l'argousier ont des propriétés uniques pour ralentir le vieillissement de la peau. Plusieurs crèmes faciales fabriquées en Europe et en Asie en contiennent. Le potentiel pour les applications cutanées telles que les masques, les lotions pour le corps, les crèmes solaires et les shampooings est considérable. L'industrie des nutraceutiques considère également avec un grand intérêt l'argousier. Le jus de l'argousier peut servir de supplément vitaminé dans les breuvages pour sportifs, les feuilles peuvent être transformées pour en faire des tisanes revigorantes et nutritives, les huiles peuvent entrer dans la composition d'aliments qui aident à prévenir les maladies cardio-vasculaires, etc.

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    Des tas de choses qui nous auraient horrifiés il y a 20, 30 ou 40 ans, on été peu à peu banalisées et nous dérangent mollement à ce jour, ou laissent carrément indifférents la plupart des gens.

    Le gavage permanent d'informations de la part des médias sature les cerveaux qui n'arrivent plus à faire la part des choses...

    Merci à Alfred Schanzenbacher

     

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    Au mois de novembre, le Haut Conseil de la Santé Publique publiait son rapport sur le formaldéhyde, substance reconnue comme cancérigène, afin de fixer de nouvelles doses à respecter pour mieux protéger les populations. à leur tour, les médecins de l'Association Santé Environnement France qui trouvent ces recommandations obsolètes viennent de publier un petit guide vert du bio-ménage qui donne quelques conseils simples, tous basés sur des études scientifiques récentes, pour nettoyer en préservant sa santé.

    « En menant cette étude, notre objectif n’était pas d’être exhaustif mais de montrer que dès la naissance nous sommes plongés dans un bain chimique. En tant que médecins, nous voulions prévenir et sensibiliser au maximum à la protection des plus sensibles. Aussi, il nous semble absurde d’exposer les nourrissons à cette pollution alors que nous pourrions l’éviter », a déclaré le Dr Pierre Souvet, Président de l’ASEF. 

    « Avec cette étude, nous espérons inciter les entreprises à mettre sur le marché des produits moins polluants, mais aussi inciter les décideurs politiques à rendre obligatoire l’étiquetage des matériaux d’ameublement afin que le consommateur puisse réellement choisir. En attendant, nous conseillons aux parents de mettre le lit à « dégazer » dans le garage quelques mois avant l’arrivée de bébé... L’objectif étant que demain nous ne regrettions pas nos actes d’aujourd’hui », ajoutait le Dr Patrice Halimi, Secrétaire Général de l’ASEF.

    Toutes ces déclarations sont arrivées avant les fêtes de Noël, au moment où les parents achetaient des cadeaux qui pouvaient contenir du formaldéhyde, afin de les mettre en garde contre ce produit.

    Le formaldéhyde, ou formol, est sans doute l'un des composés chimiques le plus commun et le plus polluant de l'atmosphère de nos habitations. C'est en effet une substance largement utilisée par l'industrie pour fabriquer les matériaux de construction ainsi que différents équipements de la maison. On le trouve également dans de nombreux produits d'entretien, des produits de combustion et des produits cosmétiques et pharmaceutiques.

    Ses effets sur la santé peuvent aller d'une simple irritation des yeux et de la muqueuse nasale à de sévères réactions allergiques. Mais surtout, depuis juin 2004, il est classé par le Centre international de recherche sur le cancer (CICR) dans la catégorie des cancérogènes pour l'homme (groupe 2 A) avec un risque plus élevé de cancer des sinus, de la gorge et des voies respiratoires, et un cancérogène établi du rhinopharynx pour les personnes ayant travaillé avec le formaldéhyde pendant plusieurs années.

    Ce poison est impliqué dans des leucémies, cancer du cerveau, du colon, des organes lymphatiques. Il est toxique pour le foie, le système immunitaire, le système nerveux, les organes de reproduction.

    À ce sujet, dès 1981, le directeur de OSHA (Occupational Safety and Health Administration), le Dr. Peter Infante a signalé que le formaldéhyde avait un pouvoir carcinogène, mais l’Administration a essayé de cacher cette nouvelle et de faire démissionner le Dr Infante, qui écrivit alors au Dr. John Higginson, directeur de l’Agence internationale pour la recherche sur le cancer, pour désapprouver la décision de cacher la nature carcinogène de la substance.  Signalons que le Dr Infante, spécialiste de l’évaluation des substances toxiques travaille également pour l’IARC (International Agency for Research on Cancer), le National Cancer Institute (NCI) et fait partie du Comité de Toxicologie de la National Academy of Sciences.

    Il est ainsi utile d’avoir dénoncé ses dangers, mais parmi toutes ces mises en garde, on s’est bien gardé de nous avertir qu’il est aussi utilisé pour désactiver des toxines bactériennes ou des virus dans le processus de fabrication de certains vaccins, tels le Pentavac, le Tétravac, le DTP de Pasteur, le vaccin H1N1, l’Imovax, l’Havrix, le Vaxigrip, le Mutagrip, et bien d’autres.

    Il est évident que si le formaldéhyde est dangereux et carcinogène dans notre environnement, il l’est encore davantage lorsqu’on l’injecte directement dans le corps humain, particulièrement dans celui des bébés dès l’âge de deux mois, quand ce n’est pas à leur naissance.

    Il est primordial de faire circuler cette information qui semble n’intéresser personne, même pas ceux qui dénoncent les dangers de ce toxique, car le domaine des vaccins, de leur sécurité et de leur nécessité est un dogme intouchable. Il est grand temps de prévenir les consommateurs de vaccins qu’il est plus dangereux de se faire injecter ce poison dans le corps que d’en avoir dans les matériaux de construction ou les meubles.

    Par: Sylvie Simon

     

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    Conférence de Edward Griffin sur la vitamine B17... C'est un témoignage exceptionnel d'un médecin américain qui nous confortent , nous soit-disant conspirationnistes (termes qui ne devrait plus avoir lieu d'être après recherches et curiosités!!) , sur le contrôle globa...l des firmes pharmaceutiques et de la haute autorité de contrôle sanitaires américaine nommée Food and Drug Administrfation (FDA) ,institution identique à l'AFSSAPS en France et qui n'est pas en reste face face aux crimes éthiques !!!!!

    Ce document dénonce le fait que la vitamine b17 appelée également Laetrile anéantisse les cancers , mais ne soit pas distribuée largement au public ... d'ailleurs ce courageux Edward Griffin cite on ne sait qui , mais situe bien l'industrie pharmaceutique et qui n'est rein de moins qu'un business :"...une solution au cancer est connue , il provient de la nature , mais il n'est pas largement accessible au public car il ne peut pas être breveté , c'est pourquoi il n'est pas intéressant pour l'industrie pharmaceutique...

     

     

    Les Hunzas, un peuple du Pakistan vivent vieux et en santé et n'ont pratiquement pas de cancer. Ils mangent entre autre des abricots et ouvrent la noix pour en déguster la semence. Cette graine d'abricot contient de la vitamine B17  connue comme faisant partie des vitamines anti-cancéreuses. Certains chercheurs ont découvert qu'une déficience de la vitamine B17 causerait le cancer et l'anémie falciforme (sickle cell anemia). Cette vitamine détruirait les cellules cancéreuses sans affecter les cellules en santé, devenant ainsi une chimiothérapie naturelle. Si cette vitamine était  développée, le cancer qui touchera bientôt une personne sur deux, ne serait pas un problème !

    Cette vitamine découverte en 1830 n'a jamais été reconnue par le FDA (foor and drug administration), un organisme similaire à Santé Canada qui échangent souvent les informations. C'est pourquoi cette vitamine n'est pas populaire. De plus, son goût est amer et la plupart des gens n'apprécient pas ce goût. Les végétariens sont souvent informés de prendre suffisamment de vitamine B12, car elle est absente dans les plantes. Par contre, l'être humain peut produire sa propre vitamine B12 à partir de la vitamine B17.

    La nourriture riche en vitamine B17 inclue: l'orge, l'amande (celle qui est amère et non sucrée), le cassava natal, le pois chiche (haricot de garbanzo), l'herbe ( blé et plusieurs autres), la lentille, l'huile de lin, le maïs, le millet, le sorgho et les graines de plusieurs fruits (pomme, abricot, prune, cerise, nectarine, pêche). Cette nutrition santé a presque disparu du menu moderne de la population. Près de 1200 plantes contiennent cette vitamine B17 et plusieurs produits naturels de guérison du cancer peuvent être riches de cette vitamine. Pour aider à prévenir le cancer, manger quelques graines d'amande "amère" ou d'abricot tous les jours.

    Il faut aussi s'assurer d'avoir assez de zinc, sinon la vitamine B17 ne sera pas absorbée. De plus, les résultats seront plus efficaces si cette vitamine est prise avec d'autres nutriments tel que la vitamine C, les autres vitamines B, la vitamine A, le manganèse, le magnésium et le sélénium. La plupart des professionnels de la santé qui prescrivent cette vitamine, le feront de concert avec un programme axé sur une diète plus équilibrée, un complexe vitaminique, des minéraux, des enzymes et des acides gras essentiels. Le soya n'est pas recommandé car il diminuerait ou empêcherait l'absorption de certains minéraux tel que la calcium, magnésium, cuivre, fer et zinc.

    Source: http://namastedauphinblanc.spaces.live.com/Blog/cns!BEC3F215715F2855!1795.entry

    Vitamine B17 : hydrosoluble     Ou la trouver principalement :
    Etablit la synthèse de l'hémoglobine, des acides gras et aminés, indispensable pour l'utilisation des vitamines B.     Céréales complètes, riz complet, jaune d'oeuf, levure de bière.
          
    Le manque de vitamine B17 provoque :     
    Fatigue, peau sèche, insomnie, douleurs musculaires, manque d'appétit...     
     
    Vitamine F : acides gras essentiels liposoluble     Ou la trouver principalement :
    Indispensable pour la synthèse de la lécithine, la myéline et les prostaglandines.     Huile de flétan, huile de germe de blé, l'huile de bourrache......
          
    Le manque de vitamine F provoque :     
    Angine de poitrine, artériosclérose, psoriasis, varices, ongles et cheveux cassants, eczéma, allergies, acné...

    Vitamine C : hydrosoluble     Ou la trouver principalement :
    Indispensable à la formation des dents, des os, du collagène, à la guérison des plaies et brûlures. Stimule les facultés intellectuelles, améliore les performance sportive......     Cassis, oranges, citrons, persil, choux, navet...
          
    Le manque de vitamine C provoque :     
    Allergies, problèmes digestif, anémie, saignement de gencives, cicatrisation lente, saignement de nez...

    La vitamine B17, également connue comme l'amygdaline, est fondamentalement un glycoside. Au départ, elle a été isolée à partir des graines de l'arbre Prunus dulcis, également connu sous le nom d'amandes amères, par Pierre-Jean Robiquet et Boutron-AF Charlard.

    L'extraction a eu lieu en l'an 1803 et a été suivie par une enquête approfondie sur le glycoside, par Liebig et Wöhler, en 1830. On croit que la vitamine B17 contribue à prévenir ainsi que guérir le cancer. Toutefois, il n'y a eu aucune preuve concluante la même chose.

    Dans les lignes suivantes, nous avons fourni des informations sur les sources, les fonctions et la carence de vitamine B17, ainsi que ses avantages sur la santé.

    L'apport quotidien recommandé en vitamine B17
    L'apport quotidien recommandé pour une personne, dans le contexte de la vitamine B17, se situe autour de 100 mg / jour.

    Bienfaits de la vitamine B17 sur la santé
    Il a été affirmé que la vitamine B17 a certaines propriétés médicinales qui la rendent utile dans le traitement ainsi que la prévention du cancer.

    Il contribue à réduire la douleur associée à l'arthrite.

    L'apport en vitamine B17 a été trouvé pour aider à réduire l'hypertension artérielle.

    Elle permet de maintenir la santé et du bien être d'une personne.

    Il renforce la capacité du corps à résister aux infections comme le rhume et la grippe.

    Sources de vitamine B17

    Germes du pomme
    Noyaux d'abricot
    Pousses de bambou
    Orge
    Collets de betterave
    Amande amère
    Levure de bière
    Le riz brun
    Sarrasin
    Haricots beurre
    Noix de cajou
    Manioc
    Noyaux de cerise
    Canneberges
    Groseilles
    Les feuilles d'eucalyptus
    Fèves
    Les graines de lin
    Pois chiches
    Groseilles
    Myrtilles
    Lentilles
    Haricots de Lima
    Viande de lin
    Framboises
    Noix de macadamia
    Millet, graine de millet
    Haricots mungo
    Graines de nectarines
    Noyaux de pêche
    Noix de pécan
    Noyaux de prunes
    Graines de Prune
    Framboises
    Épinards
    Choux

    Fonctions de vitamine B17

    Il garde le cancer sous contrôle et permet également de prévenir le cancer.
    Elle joue un rôle dans le bien-être général d'une personne.

     

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