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    Au mois de novembre, le Haut Conseil de la Santé Publique publiait son rapport sur le formaldéhyde, substance reconnue comme cancérigène, afin de fixer de nouvelles doses à respecter pour mieux protéger les populations. à leur tour, les médecins de l'Association Santé Environnement France qui trouvent ces recommandations obsolètes viennent de publier un petit guide vert du bio-ménage qui donne quelques conseils simples, tous basés sur des études scientifiques récentes, pour nettoyer en préservant sa santé.

     « En menant cette étude, notre objectif n’était pas d’être exhaustif mais de montrer que dès la naissance nous sommes plongés dans un bain chimique. En tant que médecins, nous voulions prévenir et sensibiliser au maximum à la protection des plus sensibles. Aussi, il nous semble absurde d’exposer les nourrissons à cette pollution alors que nous pourrions l’éviter », a déclaré le Dr Pierre Souvet, Président de l’ASEF.

    « Avec cette étude, nous espérons inciter les entreprises à mettre sur le marché des produits moins polluants, mais aussi inciter les décideurs politiques à rendre obligatoire l’étiquetage des matériaux d’ameublement afin que le consommateur puisse réellement choisir. En attendant, nous conseillons aux parents de mettre le lit à « dégazer » dans le garage quelques mois avant l’arrivée de bébé... L’objectif étant que demain nous ne regrettions pas nos actes d’aujourd’hui », ajoutait le Dr Patrice Halimi, Secrétaire Général de l’ASEF.

    Toutes ces déclarations sont arrivées avant les fêtes de Noël, au moment où les parents achetaient des cadeaux qui pouvaient contenir du formaldéhyde, afin de les mettre en garde contre ce produit. 

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    Le formaldéhyde, ou formol, est sans doute l'un des composés chimiques le plus commun et le plus polluant de l'atmosphère de nos habitations. C'est en effet une substance largement utilisée par l'industrie pour fabriquer les matériaux de construction ainsi que différents équipements de la maison. On le trouve également dans de nombreux produits d'entretien, des produits de combustion et des produits cosmétiques et pharmaceutiques.

    Ses effets sur la santé peuvent aller d'une simple irritation des yeux et de la muqueuse nasale à de sévères réactions allergiques. Mais surtout, depuis juin 2004, il est classé par le Centre international de recherche sur le cancer (CICR) dans la catégorie des cancérogènes pour l'homme (groupe 2 A) avec un risque plus élevé de cancer des sinus, de la gorge et des voies respiratoires, et un cancérogène établi du rhinopharynx pour les personnes ayant travaillé avec le formaldéhyde pendant plusieurs années.

    Ce poison est impliqué dans des leucémies, cancer du cerveau, du colon, des organes lymphatiques. Il est toxique pour le foie, le système immunitaire, le système nerveux, les organes de reproduction.

    À ce sujet, dès 1981, le directeur de OSHA (Occupational Safety and Health Administration), le Dr. Peter Infante a signalé que le formaldéhyde avait un pouvoir carcinogène, mais l’Administration a essayé de cacher cette nouvelle et de faire démissionner le Dr Infante, qui écrivit alors au Dr. John Higginson, directeur de l’Agence internationale pour la recherche sur le cancer, pour désapprouver la décision de cacher la nature carcinogène de la substance. Signalons que le Dr Infante, spécialiste de l’évaluation des substances toxiques travaille également pour l’IARC (International Agency for Research on Cancer), le National Cancer Institute (NCI) et fait partie du Comité de Toxicologie de la National Academy of Sciences.

    Il est ainsi utile d’avoir dénoncé ses dangers, mais parmi toutes ces mises en garde, on s’est bien gardé de nous avertir qu’il est aussi utilisé pour désactiver des toxines bactériennes ou des virus dans le processus de fabrication de certains vaccins, tels le Pentavac, le Tétravac, le DTP de Pasteur, le vaccin H1N1, l’Imovax, l’Havrix, le Vaxigrip, le Mutagrip, et bien d’autres.

    Il est évident que si le formaldéhyde est dangereux et carcinogène dans notre environnement, il l’est encore davantage lorsqu’on l’injecte directement dans le corps humain, particulièrement dans celui des bébés dès l’âge de deux mois, quand ce n’est pas à leur naissance.

    Il est primordial de faire circuler cette information qui semble n’intéresser personne,même pas ceux qui dénoncent les dangers de ce toxique, car le domaine des vaccins, de leur sécurité et de leur nécessité est un dogme intouchable. Il est grand temps de prévenir les consommateurs de vaccins qu’il est plus dangereux de se faire injecter ce poison dans le corps que d’en avoir dans les matériaux de construction ou les meubles.

     Agrippal (grippe)

    Avaxim (hépatite A)

    Celvapan (grippe A-H1N1 2009)

    DTPolio Sanofi Pasteur MSD (diphtérie, tétanos, poliomyélite)

    Focetria (grippe A-H1N1 2009)

    Fluarix (grippe)

    Fluvirine (grippe)

    Gripguard (grippe)

    Immugrip (grippe)

    Imovax Polio (poliomyélite)

    Infanrixtetra (diphtérie, tétanos, poliomyélite, coqueluche)

    Infanrixquinta (diphtérie, tétanos, poliomyélite, coqueluche, hiB)

    Influvac (grippe)

    Mutagrip (grippe)

    Pandemrix (grippe A-H1N1 2009)

    Pentavac (coqueluche, diphtérie, tétanos, poliomyélite, hiB)

    Previgrip (grippe)

    Revaxis (diphtérie, tétanos, poliomyélite)

    Tetagrip (grippe)

    Tetravac-Acellulaire (coqueluche, diphtérie, tétanos, poliomyélite)

    Ticovac (méningo-encéphalite à tiques)

    Tyavax (hépatite A, typhoïde)

    Vaccin Genhevac B Pasteur (hépatite B)

    Vaxigrip (grippe)

    Source: Sylvie Simon 

     

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    Un grand merci à mon ami Bernard pour cette trouvaille

    LES TOURS GWEN

    Dans les années 1980, vers l'époque où la Guerre Froide se réduisait graduellement, les tours du Ground Wave Emergency Network (GWEN -- réseau d'urgence d'ondes terrestres) ont été construites à travers les États-Unis. De près de 100 mètres de haut avec de longs fils de cuivre tombant sur le sol en structure radiale, elles transmettent des rafales d'ondes à très basse fréquence (VLF) de 150 à 175 KHertz, sur un cercle de 480 Km de diamètre. Les messages sont transmis à intervalles de 20 minutes, ou si une autre source est utilisée, à ses propres intervalles. Elles sont étrangement réparties à travers les USA. Elles émettent aussi des ondes UHF de 225 à 400 MHertz. Leur but n'est pas complètement clair. Officiellement elles sont pour le programme de Continuité du Gouvernement (COG) dans le cadre de la Federal Emergency Management Agency (FEMA -- agence fédérale de gestion d'urgence) (illégalement commencée par le colonel Oliver North comme la Federal Emergency Military Agency), mais ce peut être une couverture.
    Le colonel Paul Hanson, directeur du programme GWEN pour l'Air Force, a déclaré : Les tours ne contribueront pas à mener une guerre nucléaire, car elles seraient détruites dans tout affrontement prolongé.

    Comme le système GWEN est basé sur des transistor, les tours sont particulièrement vulnérables à l'EMP des frappes nucléaires. Leur emplacement est bien connu, ce qui les laisse exposées aux attaques. Le docteur en médecine Robert Becker estime qu'elles ont un autre but :

    Le GWEN est un excellent système, combiné à la résonance cyclotron, pour produire des modifications comportementales dans la population civile. La moyenne de l'intensité du champ géomagnétique continu varie d'un endroit à l'autre à travers les États-Unis. Par conséquent, si l'on veut une résonance ionique spécifique dans le vivant d'une localité, on aura besoin d'une fréquence spécifique pour ce lieu. L'espacement de 322 Km entre émetteurs GWEN à travers les États-Unis permettrait d'accorder les fréquences spécifiques à la force du champ géomagnétique dans chaque domaine GWEN. (Robert O. Becker, docteur en médecine, dans Contre-courant : Le péril de la pollution électrique.)

    En 1975, la revue International soviétique Life déclarait dans une discussion sur le contrôle électronique de l'esprit que d'importants groupes de gens pouvaient ressentir une disparition de l'activité mentale à cause de l'électricité atmosphérique. Le journal poursuivait en disant qu'un générateur sonore, accordé sur des infrasons dont la fréquence est sous le seuil d'audition pouvait créer des sentiments de dépression, de peur, de panique, de terreur, et de désespoir.

    Depuis la création de la Homeland Security avec un financement presque illimité après la catastrophe du WTC le 11 septembre 2001, des signes indiquent que le réseau GWEN sera étendu. Parce que la Homeland Security, le Northern Command (une administration militaire intérieure illégale créée après le 9-11), la FEMA, le ministère de la justice, et l'application de la loi, ont maintenant un fonctionnement imbriqué, l'expansion du réseau GWEN a manifestement un objectif de mauvaise augure.

    Deux des plus grands partisans des armes non létales (ANL) psychotroniques sont le colonel retraité de l'US Army John Alexander, en charge du programme ANL au Los Alamos National Laboratory (LANL), depuis qu'il a pris sa retraite de l'armée en 1988, et Janet Morris. Alexander est membre de l'AVIARY, un groupe d'officiers et de scientifiques du ministère de la défense mandaté pour discréditer toute recherche sérieuse sur les OVNI. Chaque membre a un nom d'oiseau et Alexander est connu sous le nom de Pingouin, et ils sont « profondément CIA. »

    Morris est directrice de recherche de l'US Global Strategy Council (USGSC), qui a des liens avec la CIA et le gouvernement fédéral, présidé par le Dr Ray Cline, ancien directeur adjoint de la CIA. Morris « joue un rôle de liaison entre les russes et les fonctionnaires US. » Elle a organisé les démonstrations de psychotronique des experts russes pour les responsables US, et a signalé que les russes sont intéressés par la conversion de leurs équipements militaires en ANL à usage US. Pour cacher au public étasunien l'utilisation secrète des équipements psychotroniques du KGB, une série d'articles de désinformation sont parus dans la presse sur le « non létal » tel que « les filets, les mousses, les matériaux collants à accrocher sur l'attaquant, les combinés du genre matraque, et les substances visqueuses collantes de haute technologie tirées sur les criminels qui s'enfuient. »

    L'US Army n'ayant pas le droit de développer certains types d'armes, la recherche et le développement doivent se faire à l'extérieur, le plus souvent au ministère de l'énergie. Le colonel Alexander et Janet Morris, focalisés sur le développement et l'utilisation des armes psychotroniques, représentent les intérêts de l'armée, de la CIA, et des dirigeants. Les laboratoires d'armements nucléaires de Los Alamos et de Livermore ont fait venir des scientifiques russes et des agents du KGB pour collaborer dans les laboratoires et dans d'autres agences US. La collaboration impliquait non seulement le développement d'armes, dans ce cas-ci essentiellement psychotroniques, mais aussi les méthodes de contrôle politique après le 9-11. Des généraux du KGB étaient conseillers à la Homeland Security pour le développement du contrôle interne et les passeports à l'intérieur des USA. Ce qui se profile à l'horizon pour le peuple étasunien est clair... Et ce n'est pas la démocratie.

    En permettant à l'URSS de cibler dans un but inconnu des étasuniens (Signal de Moscou), le gouvernement US a été en mesure de conduire le projet Woodpecker à travers un autre État, contournant ainsi la loi US. Les États-Unis ont fait de même pour la Russie. Echelon, le système de surveillance par satellite de la NSA, a servi aux mêmes fins. Les pays membres ont été capables d'espionner leurs propres citoyens en recevant les informations de seconde main, en provenance d'autres pays membres.

    Dans le milieu des années 80, plus de deux douzaines de scientifiques travaillant chez Marconi Corporation en Grande-Bretagne, sont morts mystérieusement de « suicides et d'accidents. » Ils étaient sous contrat pour du travail classé confidentiel pour la marine britannique et étasunienne. Les chercheurs ont signalé que certains des ingénieurs informaticiens des projets écrivaient des logiciels liés à la visée de points sur le corps, similaires aux points d'acupuncture, avec des armes à énergie dirigée.

    Quel que soit ce qu'ils faisaient, les militaires US et britanniques et les gouvernements collaboraient manifestement à des projets classés hautement confidentiels. En fait, depuis le 9-11, plus de 50 microbiologistes de renommée mondiale ont été assassinés ou sont morts mystérieusement, et presque tous l'ont été aux USA ou au Royaume-Uni. Nombre d'entre eux travaillaient sur des armes biologiques à spécificité ethnique.
    Du milieu à la fin des années 80, des systèmes psychotroniques ont été mis en place aux USA et en Grande-Bretagne. C'est parti avec l'installation des tours GWEN et de HAARP aux USA. Quand la Guerre Froide a pris fin en 1992, tout ce qu'ils avaient à faire, c'était de « les inaugurer. »

    Un conférence secrète parrainée par le laboratoire d'armements nucléaires de Los Alamos s'est tenue au Laboratoire de Physique Appliquée de l'Université Johns Hopkins en novembre 1993. Le colonel Alexander servait de président de conférence. La ministre de la justice, Janet Reno, de nombreux scientifiques, des experts en armement militaire, les services de renseignement et les services de la police locale, participaient à la réunion. Le principal objectif de la réunion était de préparer les responsables de l'application de la loi à l'utilisation des armes psychotroniques de contrôle de l'esprit. Certains des exposés donnés étaient :
    Dr George Baker de l'agence de la défense nucléaire : « Armes à radiofréquences : Une très séduisante option non létale. »
    Dr Clay Easterly du laboratoire national d'Oak Ridge : « Application des fréquences électromagnétiques extrêmement basses aux armes non létales. »

    « Armes à radiofréquences, technique des micro-ondes de haute puissance, technique acoustique. »
    Zbiegniew Brzezinski, une recrue de Rockefeller et fondateur de la Commission Trilatérale, a révélé beaucoup d'informations renvoyant aux années 70 sur des techniques maintenant divulguées. Il a écrit dans Entre deux âges :

    "Calculées avec précision, des attaques électroniques excitées artificiellement pourraient mener à une forme d'oscillations qui produit un niveau d'énergie relativement élevé sur certaines régions de la Terre ... On pourrait développer un système qui nuirait sérieusement aux performances du cerveau d'une très grande population dans des régions choisies pendant une période prolongée." (Zbiegniew Brzezinski, Between Two Ages, 1971).

    Quand un activiste contre l'électropollution a demandé à Motorola le but de la fréquence de 10 hertz, sur l'onde porteuse de son nouveau système radio pour la police, il n'a pas obtenu de réponse (communications personnelle avec Libby Kelley, président du Marin County Health Council, 2003). J'ai appris de mes propres enquêtes et de mes nombreux entretiens que, quand la Guerre Froide a pris fin, ce système a émis à travers les USA par l'intermédiaire du systèmes radio Motorola, de la police et des pylônes radio des interventions d'urgence, des tours de téléphonie cellulaire, des satellites, et d'un autre produit Motorola -- TETRA -- au Royaume-Uni : Coûtant 2,9 milliards de livres sterling, TETRA le nouveau système de communication de la police du Royaume-Uni a été décrit par un scientifique indépendant comme susceptible de provoquer « plus de victimes civiles que toutes les organisations terroristes du monde mises ensemble. » (Jay Griffiths, Une révolte populaire, The Ecologist, le 17 septembre 2004)

    Source: http://rustyjames.canalblog.com/archives/2011/05/09/21089459.html


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    Des chercheurs catalans ont publié en novembre leurs travaux : comment introduire un « code-à-barres »  dans les cellules d'un embryon. Cette analyse cherche à débusquer ce qui crée un nouveau risque moral, éthique, déontologique, et même scientifique pour une société qui non seulement accepte, mais aussi promeut ce type de pratiques. Irons-nous vers le règne des « bébé-design », quand les parents vont « choisir sur mesure » les caractéristiques de leur progéniture ? Ou saurons-nous résister à cette forme biopolitique de domination ? Le Comité Consultatif National d'Éthique pour les Sciences de la Vie et de la Santé vient de publier un rapport sur les recherches portant sur les cellules souches[1].

    Cela occupe largement les médias. On trouve dans ce texte des rappels importants sur les règles éthiques qui peuvent être transposées dans des Lois afin de permettre aux sociétés de conduire des politiques scientifiques en adéquation avec les conceptions partagées de ce que signifie l'être humain. Certes, des différences, voire des divergences existent, et ce débat sur les « cellules souches » est aussi, en sens inverse, une façon pour les chercheurs en bio-médecine de faire évoluer les normes éthiques, ce qui conduit aussi à une meilleure compréhension des activités humaines mettant en jeu les notions de vie et de personne.

    C'est un processus dialectique entre la recherche et la société qui prend du temps, mais qui permet d'éviter que des
    travaux en science ou ingénierie du vivant ne poussent à des transformations de notre conception même de l'humanité sans que les sociétés ne puissent dire leur mot, avec toutes les contradictions et les opinions qui forment les approches du monde. Or certaines recherches en ingénierie de la reproduction humaine me semblent imposer des changements radicaux sans que l'on prenne le temps de réfléchir aux conséquences. Ainsi en va-t-il d'une recherche publiée le 18 novembre, qui n'a, à mon sens, pas recueilli toute l'attention nécessaire : des chercheurs catalans ont implémenté des codes-à-barre à l'intérieur des cellules d'embryons de souris et s'apprêtent à reproduire l'expérience sur des embryons humains.

    L'ordre des choses et l'ingénierie du vivant:


    De toutes les règles qui semblent partagées par les différentes approches du débat éthique autour de l'embryon, il en est une qui semble commune : l'embryon n'est pas une « chose » comme les autres. En termes éthiques, « éviter toute réification de l'embryon » : « Il serait tout aussi excessif de considérer l'embryon en phase pré-implantatoire comme un simple amas de cellules d'origine humaine que de le sacraliser en tant que personne humaine en puissance. La notion de « processus embryonnaire en cours » témoignerait peut-être de l'énigme qui entoure la nature exacte de l'embryon aux premiers stades de sa vie. Quoi qu'il en soit, et en raison même de cette énigme, le Comité affirme son attachement à l'idée selon laquelle l'embryon humain doit, dès sa formation, bénéficier du respect lié à sa qualité. » Avis No 67 du 18 janvier 2001 sur l'avant-projet de révision des lois de bioéthique.

    L'embryons qui ne seraient fabriqués qu'afin de servir d'objets de laboratoire. Une interdiction confirmée par la Convention d'Oviedo[3] : « La constitution d'embryons humains aux fins de recherche est interdite ». On peut pour autant s'interroger sur la finalité de certaines recherches en ingénierie de la fécondation : ont-elles réellement des buts thérapeutiques, et ne nécessitent-elles pas la mise à disposition d'embryons humains à simple fins de recherche ? Un interrogation que soulève par exemple une recherche menée à l'Université Autonome de Barcelone (Universitat Autònoma de Barcelona). Une recherche aux conséquences dévastatrices, publiée le 18 novembre 2010 par le journal « Human reproduction » : A novel embryo identification system by direct tagging of mouse embryos using silicon-based barcodes[4]. Il s'agit d'une recherche commune à des biologistes (Département de Biologie cellulaire, de physiologie et d'immunologie de l'UAB) et des chercheurs de l'Institut de microélectronique de Barcelone, visant à implanter dans chaque cellule d'un embryon un dispositif en silicium pouvant faire office de « code-à-barre », selon les termes mêmes employés par les chercheurs dans le titre de leur article. huxley C'est l'Université Autonome elle-même qui assure la publicité de l'article en publiant une note sur son site web[5]. Une version grand public de la recherche qui sera très largement reprise dans les sites anglo-saxons (une recherche sur Google au 5/12/2010 permet de constater que les 5 premières pages sont occupées par des sites qui reprennent en l'état le communiqué de presse).

    Il y aurait beaucoup à dire sur cette nouvelle manière de valoriser les recherches par des communiqués de presse provenant des universités, mais aussi sur la servilité de ce web que l'on dit ouvert à toutes les plumes, mais qui pour l'essentiel ne prend pas le temps de l'analyse. En effet, tous ces sites ne font que reprendre le communiqué sans commenter, sans s'interroger, sans applaudir ni s'indigner… Une pauvreté de la critique scientifique[6] qui nous laisse désarmés. La recherche autour de cette technique d'implantation a été menée sur des embryons de souris. L'équipe des biologistes a réalisé une micro-injection du code-à-barres en silicium mis au point par les électroniciens. Celui-ci est lisible sous microscope. Introduit dans l'espace périvitellin, qui est compris entre la zone pellucide et la membrane plasmatique de l'ovocyte, le dispositif doit disparaître une fois l'embryon implanté dans l'utérus… Ce que réussit l'expérience, à quelques exceptions près.

    Un nouvel exploit de la technique biologique et microélectronique… Mais l'objectif de cette recherche mérite qu'on s'arrête un instant. À l'heure actuelle, les embryons récoltés ou congelés, sont identifiés sur les éprouvettes elle-mêmes. Les vérifications, par double contrôle humain, sont donc plus longues et minutieuses, les contenus étant régulièrement changés de récipients durant l'Assistance Médicale à la Procréation. Pour les auteurs de l'article, il s'agit d'accélérer et de sécuriser le processus, ce qui d'après le site du transhumaniste Raymond Kurzveil (un des seuls à ajouter de courtes remarques au texte de l'Université[7]) devrait permettre de meilleurs taux de succès des fécondations in vitro (FIV)…

    Or nous ne pouvons être naïfs à ce point.Ces changements dans la procédure de l'Assistance Médicale à la Procréation ne sont pas seulement des « garanties » de suivi de l'embryon… Le terme même de code-à-barres utilisé par les chercheurs renvoie à la logique de « marchandise » qui menace toute la filière de la FIV. Accélérer les processus pour leur assurer une meilleure réussite serait effectivement un progrès… Mais pourquoi, au delà des embryons destinés à la réimplantation immédiate, tester la méthode sur des embryons congelés ? Parce que congelés, ces derniers pourraient s'échanger entre cliniques, devenir matière première, certifiée directement dans l'embryon, et pas seulement sur l'emballage.

    Nous entrons dans une période où les plus riches sur la planète vont avoir recours aux cliniques pour choisir lescaractéristiques de leur descendance. On commence à parler de « bébé-design » (designer babies). Le diagnostic génétique pré-implantatoire est un test réalisé sur un embryon de 3 jours, alors qu'il dispose de six cellules. Il doit permettre de repérer des maladies génétiques graves avant l'implantation. Or l'accélération des traitements techniques, l'usage de l'informatique, les connaissances statistiques des liens entre les zones de l'ADN et les traits physiques (couleurs des yeux, des cheveux, taille,…) permettent l'usage du test bien au delà, notamment pourchoisir le sexe, et bientôt d'autres caractères. La sélection du sexe est autorisée aux États-Unis, et nombreuses sont les cliniques qui la proposent.

    Ainsi, une enquête de 2006 menée par le John Hopkins Hospital montre que près de la moitié des cliniques pratiquant le diagnostic rendent possible le choix du sexe. Plus loin encore, 3 % de ces cliniques accéderaient à des demandes des parents, par exemple pour que l'enfant d'un couple de sourds soit lui aussi atteint de cette infirmité, soi-disant afin de mieux partager la culture et les pratiques de ses parents. C'est tout un secteur que l'on peut difficilement appeler « médical » qui se développe autour des cliniques de la fertilité. Une étude de 2007 menée par la New York University School of Medicine et publiée dans la revue « Journal of Genetic Counseling » voudrait distinguer les propositions commerciales des cliniques, souvent reprises par les journaux des attentes du public. Leur conclusion est plutôt optimiste : « Une grande majorité des personnes ayant répondu à notre enquête sont favorables à des testgénétiques complémentaires pour dépister des maladies, mais pas pour des améliorations. Il ne semble pas que l'heure des "bébé-design" soit proche »[9]. Pourtant, cet optimisme pourrait être contrebalancé par les conditions même de l'étude. Il s'agit de questionnaires posés à des patients du NYU Human Genetics Program for prenatal genetic counseling avant leur entretien. Or seules 45 % des personnes ont répondu.

    Ajoutons que l'on répond rarement à une enquête par des positions qui ne sont pas socialement acceptées. La moitié des 999 répondants refusent tout test génétique. Et malgré tout, s'ils ne sont pas majoritaires, 10 % des répondants accepteraient de faire des tests pour augmenter les compétences athlétiques ; 12,6 % pour obtenir une intelligence supérieure ; 10,4 % pour une haute taille et 9,2 % pour améliorer la longévité. Des chiffres que pour ma part je trouve non négligeables, d'autant qu'il faut les doubler pour les rapporter au nombre de répondants souhaitant des tests génétiques. On peut aussi en conclure qu'il existe bel et bien un réel « marché de niche » alimenté par les fantasmes d'une part non négligeable des personnes souhaitant des contrôles génétiques sur leur descendance. Et comme tout marché de niche, celui-ci est « poussé par la technologie ».

    Il se développera en fonction de l'offre émanant des cliniques, ce qui en spirale renforcera l'acceptabilité sociale de ce nouvel eugénisme. Le choix de mener un certain type de recherches orientées vers cette figure d'un « homme augmenté » va accélérer cette spirale. Il existe des formes de collusion entre cette marchandisation de la reproduction sélective par les cliniques et les « recherches » sur les techniques reproductives et la génétique des populations humaines. Ainsi, cet article publié en 2007 dans le journal Nature genetics qui décrit une méthode pour déterminer une corrélation entre le génome et la couleur des cheveux, des yeux ou la pigmentation de la peau[10]. Le chercheur se veut propre sur lui : « Je m'oppose avec véhémence à ce que mes travaux soient utilisés pour produire des enfants sur mesure »…
     

    Pourtant ce type de travaux inspire la clinique « The Fertility Institutes » qui annonce la possibilité prochaine de choisir la couleur des cheveux, des yeux; et plus encore !Le Docteur Steinberg, qui dirige cette clinique déclare ainsi : « La sélection des traits est un service, et nous comptons l'offrir prochainement ».C'est aussi dans ce cadre que l'expérience des biologistes catalans prend tout son sens.


    Quand on aura réalisé de tels diagnostics pré-implantatoires sur des cellules embryonnaires contenant un « code-à-barres », on pourraaisément ouvrir une banque de données indiquant les traits repérés derrière cet identifiant unique; congeler l'embryon, et l'utiliser « à la demande ». Pourtant, tous ces chercheurs affirmeront avoir fait cela « pour la science », en toute « indépendance scientifique ». Ils auront reçu des financements et des autorisations. On peut même prévoir que les informaticiens qui écriront les algorithmes d'exploitation des banques de données à venir permettant de faire coïncider les désirs des parents, leur propre morphologie, et les caractéristiques des embryons disponibles sur le marché ne seront intéressés que par le challenge technique que cela représente.Le meilleure des mondes est en marche ou est ce le pire à venir.....

     

    Comité Consultatif National d'Éthique pour les Sciences de la Vie et de la Santé. AVIS No 112 Une réflexion
    éthique sur la recherche sur les cellules d'origine embryonnaire humaine, et la recherche sur l'embryon humain
    in vitro [http://www.ccne-ethique.fr/docs/AVIS112.pdf]. [http://ecolosphere.net/archives/1450-un-code-a-barres-pour-identifier-les-embryons

    2. Merci à Dorothée Benoît-Browaeys de l'Association Vivagora de m'avoir signalé ces travaux. La vigilance
    associative sur les sciences et ingénieries du vivant est centrale dans la situation actuelle. [remonter
    [http://ecolosphere.net/archives/1450-un-code-a-barres-pour-identifier-les-embryons

    3. Convention pour la protection des Droits de l'Homme et de la dignité de l'être humain à l'égard des applications
    de la biologie et de la médecine : Convention sur les Droits de l'Homme et la biomédecine Oviedo
    [http://conventions.coe.int/Treaty/fr/Treaties/Html/164.htm], 4.IV.1997. [remonter
    [http://ecolosphere.net/archives/1450-un-code-a-barres-pour-identifier-les-embryons4. A novel embryo identification system by direct tagging of mouse embryos using silicon-based barcodes Sergi
    Novo, Leonardo Barrios, Josep Santaló, Rodrigo Gómez-Martínez, Marta Duch, Jaume Esteve, José Antonio
    Plaza, Carme Nogués and Elena Ibáñez, Human Reproduction, 2010, DOI : 10.1093

    Source: http://rustyjames.canalblog.com/archives/2011/03/25/20719658.html

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    Cette rubrique sera consacrée aux témoignages de victimes de la vaccination et des thérapies iatrogéniques.

    Si vous avez été une de ces victimes, ou quelqu'un de votre entourage, vous pouvez nous envoyer votre histoire.

    Les témoignages doivent être les plus lapidaires possibles mais argumentés. Ceux qui ont été attestés dans des revues ou des journaux peuvent également être mis en ligne avec le lien correspondant.

    Vous pouvez accepter ou refuser que votre nom soit cité. Si vous refusez, seules vos initiales seront inscrites. Si vous acceptez vous devrez également donner votre autorisation de mise en ligne à la fin de votre témoignage (elle ne sera pas mentionnée dans l'article). 

    Pour éviter les abus ou un pseudo-témoignage le mail devra être nominatatif avec une adresse valide, sans quoi le témoignage ne sera pas diffusé.

    En cas de procédure en cours aucun élément du dossier ne doit y figurer ni les noms des intéressés.

    Merci pour votre compréhension.

     

    Alexander Horwin a reçu 16 injections de vaccins avant l’âge de 17 mois.

     

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     Dès l’âge de quatre mois, après ses premiers vaccins, il a manifesté des troubles du sommeil, une grande nervosité, pleurant et criant plusieurs fois par nuit, avec des périodes de spasmes et de convulsions. Ensuite apparurent des infections aux oreilles et des maux de ventre, mais le pédiatre ne cessait d’affirmer aux parents qu’il n’y avait pas lieu de s’inquiéter. Lorsqu’il eut un an, ses jambes se couvrirent d’eczéma. Le pédiatre rassura à nouveau les parents et ordonna de la crème à la cortisone qui ne fit aucun effet. L’enfant reçut bien évidemment ses rappels de vaccins et, lorsqu’il commença à vomir, le pédiatre prétendit qu’il avait une infection virale, diagnostic confirmé par un spécialiste. 

    Lorsque Alexander eut deux ans, on découvrit qu’il était atteint d’un cancer au cerveau, un médulloblastome. Après deux opérations qui ont duré 16 heures, ses parents furent contraints par le gouvernement de le soumettre à la chimiothérapie. Trois mois plus tard, encore sous chimio, l’enfant décédait d’un sarcome leptoméningé. 

    Pour un article qui a paru à l’époque dans le magazine Votre Santé, j’ai posé dix questions à sa mère, Raphaele Moreau-Horwin, qui est d’origine française mais vit aux États-Unis, mariée avec un Américain.
     
    Comment votre fils a-t-il pu avoir un cancer si jeune ?
    Il n’existe aucun antécédent de cancer dans nos deux familles qui ont toujours bénéficié d’une grande longévité. Mes grands parents n’étaient pas vaccinés, ma mère a reçu un seul vaccin, j’en ai eu sept, mon fils en a eu beaucoup trop. Alexander était grand et fort pour son âge, sa nourriture était saine, nous ne vivons pas près d’un site nucléaire, nous n’utilisons pas de pesticides. En dépit de notre désespoir, nous nous sommes lancés dans une enquête quasiment policière, lisant des milliers d’articles dans la littérature médicale. Un jour, en consultant le carnet de santé de notre fils, j’ai pris conscience de la quantité énorme de vaccins qu’il a reçus avant de développer son cancer. Que contenaient ces vaccins et quels étaient leurs effets secondaires ?
     
    Comment avez-vous établi le lien entre les vaccins et le cancer ?
    Nous avons découvert qu’aucun des vaccins administrés aux enfants n’a fait l’objet d’études sur leurs risques carcinogènes et nous avons identifié six manières dont la vaccination peut induire un cancer, directement ou indirectement. Les cancers des enfants augmentent dans des proportions inquiétantes, pourquoi les « autorités » ne mènent-elles pas des études sérieuses sur ce sujet ? La réponse est très simple : l’argent. La recherche médicale est financée par les compagnies pharmaceutiques et le gouvernement (grâce à nos impôts). Les deux parties ont tout intérêt à maintenir la situation telle qu’elle est actuellement. Pourquoi un laboratoire ferait-il des études pour prouver que les produits qu’il vend risquent de causer des cancers ?
     
    La médecine classique n’a jamais admis que les vaccins pouvaient être carcinogènes.
    Personne ne peut répondre à cette question car aucune étude n’a été menée en ce sens, pas plus que sur leurs risques mutagènes ou tératogènes. Or, les vaccins contiennent des substances carcinogènes. Ainsi, si vous téléphonez à l’Association américaine des pédiatres en leur demandant quelle est la dose maximum de dérivés de mercure, d’aluminium ou de formaldéhyde qui peut être tolérée par l’organisme d’un enfant, ils vous répondront que toute dose est dangereuse car ces substances sont toutes potentiellement carcinogènes. Or, elles se trouvent dans la plupart des vaccins. Si vous injectez vous-même ces produits à vos enfants, vous irez en prison mais si les médecins le font, ils ne risquent rien.
     
    Certains virus eux-mêmes sont réputés être carcinogènes.
    Le rapport entre certains virus et certains cancers est un fait médicalement accepté. Il existe des dizaines de milliers de virus mais bien peu ont subi des tests pour détecter leur pouvoir carcinogène. En outre, des virus peut être sans danger par eux-mêmes mais peuvent devenir redoutables lorsqu’ils sont combinés avec d’autres. On les appelle des « virus helper ». Et lorsque vous savez qu’on injecte des bactéries et des virus cultivés sur des tissus animaux tels que ceux des singes qui contiennent leur propre population de virus, il est difficile de savoir ce qui se trouve dans la « soupe » vaccinale qui sera introduite dans le corps sain de votre enfant.
     
    De toute manière, le fait que les vaccins peuvent causer des lésions temporaires ou permanentes du cerveau est établi.
    Les fabricants de vaccins eux-mêmes l’admettent. Ainsi; Lederle, fabricant du vaccin tétanos-diphtérie-coqueluche le signale dans son mode d’emploi. « Des séquelles neurologiques durables et des décès ont été rapportés » signale le P.D.R., équivalent du Vidal français mais plus complet, dans son édition de 1997.
     
    Comment un médulloblastome a-t-il pu céder la place à un sarcome leptoméningé ?
    La plupart des drogues contenues dans les chimiothérapies sont bien connues pour leurs effets carcinogènes et mutagènes et la FDA le reconnaît. Cependant, chaque jour, des centaines d’enfants reçoivent ces substances mortelles. Le système immunitaire d’Alexander, affaibli par la chimiothérapie qui lui a été imposée et qui était fabriquée par le laboratoire qui fabrique aussi les vaccins, n’a pas eu la force de combattre ce nouveau cancer.
     
    Une analyse du tissu tumoral prélevé dans le cerveau de votre enfant a révélé la présence du virus simien SV 40. Il est évident qu’on ne peut plus évoquer une « coïncidence » entre la vaccination et le cancer. Le SV 40 n’est pas arrivé « par hasard » dans le cerveau de l’enfant ! 

    Au cours des années 50 et 60, le vaccin antipolio qui a été injecté à des millions d’enfants était pollué par un virus simien qu’on a appelé SV 40 et ce virus était carcinogène. Le vaccin fut ensuite retiré de la vente mais aujourd’hui, on retrouve ce virus dans de nombreux cancers dont des cancers du cerveau. Le SV 40 est souvent associé au médulloblastome, la plus fréquente des tumeurs du cerveau en pédiatrie. Est-ce une coïncidence ? Je ne le crois pas. On a découvert que le SV 40 peut se transmettre d’une génération à l’autre.
     
    On trouve aussi le SV 40 dans des mésothéliomes (cancer des poumons) et des ostéosarcomes (cancer des os).
    En 1997, au cours d’une conférence sur le SV 40, des chercheurs ont considéré « l’énorme augmentation dans l’incidence des mésothéliomes dans la seconde partie du vingtième siècle qui a coïncidé avec l’inoculation malencontreuse de millions de personnes avec le vaccin antipolio contaminé par le SV 40 ». Ils ont ajouté qu’on trouve davantage de tumeurs cérébrales chez les vaccinés que chez les non vaccines. Aussi se pose une question fondamentale : Le SV 40 des années 50 serait-il de retour ? Les parents transmettent-ils le cancer à leurs enfants ? Le cancer est souvent associé à une déficience immunitaire. Mais les vaccins aussi peuvent engendrer les mêmes déficiences. Les scientifiques commencent à comprendre que l’inoculation de billions de virus dans un organisme est un événement anormal qui engendre dans le corps une réaction anormale. Si le système immunitaire réagit fortement à la soudaine invasion de billions de virus, il peut ne plus être capable ensuite de faire face à une autre agression tel un cancer.
     
    Il faudrait donc vérifier l’état du système immunitaire avant toute vaccination.
    Les fabricants de vaccins avouent qu’on ne devrait pas vacciner un enfant qui ne présente pas une réponse immunitaire satisfaisante. Mais il y a là une contradiction car, d’après le rapport du Comité médical de la Fondation de la Déficience Immunitaire publié en 1992 « la plupart des déficiences immunitaires ne peuvent être diagnostiquées avant l’âge de un an ». Or, avant un an, l’enfant a déjà reçu une bonne dose de vaccins. Il est donc incontestable que cette pratique est irresponsable et dangereuse. Ainsi, la réponse à ce paradoxe est que chaque vaccination d’un enfant est un jeu de roulette russe.
     
    Vous semblez décidés à vous battre pour prouver la responsabilité des autorités vaccinales et gouvernementales.
    Nous irons aussi loin qu’il le faudra pour étaler au grand jour le danger réel et bien caché des vaccins. Ceci dit, nous avons engagé les meilleurs avocats spécialistes de cette question et travaillons avec des virologues de réputation internationale. Nous devons cela à notre fils et ferons tout pour que ce drame ne se reproduise plus.
     
    Les Horwin ont les moyens d’y parvenir, financiers et surtout intellectuels, ce qui n’est pas courant. Michael, le père, est devenu avocat et défend les malades et sa femme Raphaele a étudié la biologie pour mieux comprendre. Ce drame a eu lieu il y a plus de dix ans, mais les parents espèrent que le cas dramatique de leur enfant pourra un jour ébranler enfin les certitudes de nos vaccinateurs « à tout va ».
     
    Science du 7 novembre 1986 (234, 746-747) a publié les résultats des expériences menées aux États-Unis par R.T. Javier, F. Sedarati, et T.G. Stevens, de Los Angeles, et qui ont montré que deux virus inoffensifs mis en présence l’un de l’autre, peuvent se recombiner et donner naissance à un « mutant » pathogène. Cette souche virulente peut alors entrer en conflit avec son hôte et déclencher une maladie, voire la mort. Mais lorsqu’un tel accident se produit des années plus tard, personne ne songe à établir un lien entre les deux événements.
     

    Et personne n’en parle lorsqu’il s’agit de campagnes vaccinales ou de multiplication des vaccins chez un même individu.

    Suite ici:  http://sortirduchaos.wordpress.com/2011/05/13/vaccins-temoignages-de-victimes

     

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    Merci à Kheirëddine Angus Léonis
     

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    Avec les dernières avancées scientifiques, et les témoignages des descendants des Mayas et des Aztèques, les crânes de cristal nous amènent à nous interroger sur le passé de l’humanité et son avenir.

     

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    D'OU VIENNENT LES CRANES DES CRISTAL ?

    Selon les Mayas, les crânes de cristal seraient d’antiques ordinateurs. Les Itzas, venus de l’Atlantide, ont apporté les crânes avec eux, ils contiendraient d’importantes informations sur les origines de l’humanité et son destin. Les prêtres mayas utilisaient les crânes lors de cérémonies dont la signification nous échappe encore.

     

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    Voici la légende des crânes selon les descendants des peuples amérindiens :

    Au commencement, il existait 12 mondes où une vie humaine était présente. La Terre était appelée « la planète des enfants ».

    Les onze autres mondes ont rassemblé leurs connaissances dans une sorte d’ordinateur holographique, les crânes de cristal.

    Des « Anciens », ont amené ces crânes sur Terre et ont fait don de la connaissance aux hommes.
    Ils aidèrent les hommes à construire quatre grandes civilisations : Lémurie, Mu, Mieyhun et l’Atlantide.

    Les 13 crânes étaient conservés dans une pyramide appelée « l’Arche ». Plusieurs civilisations ont été les gardiennes de l’Arche : les Olmèques puis les Mayas et enfin les Aztèques. Ces derniers en auraient fait un mauvais usage.

     

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    QUEL EST LE MESSAGE LAISSE PAR LES CRANES DE CRISTAL ?

    Les descendants de ces civilisations n’ont pas tout oublié concernant ces crânes.

    Ils continuent de transmettre son message. Celui-ci est d’ailleurs tout à fait d’actualité :

    Si l’homme continue à prendre les ressources de la Terre sans rien lui rendre en échange, le quatrième monde ou cinquième soleil, celui dans lequel nous vivons, doit prendre fin le 21 décembre 2012, et ce sera le dernier.

    Les crânes furent dispersés par les prêtres Aztèques après la conquête espagnole. Ils devaient rester séparés car leur pouvoir collectif était trop puissant pour être utilisé avec sagesse par l’homme.

     

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    LES CRANES DE CRISTAL ONT DONC ILS UN RAPPORT AVEC L'AVENIR DE L'HUMANITE ?

    Certains vont crier à la supercherie, mais doit-on rejeter en bloc cette histoire considérée comme sacrée par les Indiens ?

    Si nous supposons que certains crânes sont authentiques, pourquoi ne pas étudier cela plus profondément en mettant de côté une trop grand scepticisme scientifique et des élucubrations un peu folles affirmant que ces crânes sont forcément issus d’une technologie extraterrestre?

    Pourquoi ne pas voir plutôt un message de sagesse, laissé par des civilisations aujourd’hui disparues qui n’étaient pas si primitives que cela?  Ecoutons avec une oreille plus attentive leurs descendants qui continuent aujourd’hui à transmettre la sagesse des crânes.

     

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    Comprenons dans notre conscience : Si dans son inconscience et son avidité, l’homme ne prend pas rapidement conscience que la Terre, son unique refuge, ne peut continuer à être pillée sans graves conséquences, l’humanité disparaîtra avec elle à plus ou moins long terme.

     

     

    Nous aurons très bientôt leur message


     

     

     

     

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Cr%C3%A2ne_de_cristal


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